Histoire de Touraine, depuis la conquête des Gaules par les Romains, jusqù'a l'année 1790; suivie du dictionnaire biographique de tous les hommes célebres nés dans cette province

Jean Louis Chalmel

Description

*. :" (A f \ t- ~->*^ 't- iî 'WN' HISTOIRE DE TOURAINE. TOME IV. WïlOSSÎ tIBRAIRE aAUMua IMPRIMERIE DE H. FOURNIER; KUlî DE SEINE, N» 1 4. HISTOIRE DE TOURAINE, depuis la conquête des gaules par les romains, jusqu'à l'année 1790; SUIVIE DU DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE DK TOUS LES HUMMES CELEBRES NES DA.KS CETTE FROVINCS. Par J.-L. CHALMEL. TOME IV. »^9C«Mi PARIS, CHEZ H. FOURMER Je, LIBRAIRE, RUE DE SEIKE, N» i4. A TOURS, CHEZ MAME,A. IMPRIMEUR-LIBRAIRE; ET CHEZ MOIST , LIBRAIRE. MDCCC XXVIII. fHAOSSir LÎFIIAIRE SALMUR WAY •/1L 1973 %. Qi \W^^^ar servir avec distinction dans contre Espagnols, même succès en Hongrie, sous le maréchalet ensuite avec le Feuillade. De retour dans sa patrie, il fut nomméde La gouverneur decapitaine des garde^-du-corps Lorraine,, de France en mais au mois deet enliii maréchal 16^5,• étant allé prendre le commandement de l'arméemars 1676, Sambre et sur la Moselle ilmourut à Nancy leréunie sur la , suivant de soixante-cinq ans.23 mars âgé Il n'avait qu'un fils, mort en 1701 de trente-un ans,âgé une fillesans avoir été marié , et qui épousa le marquis de Nangis. (Louis d'), vicomte de Thouars, princeI. AMBOISE de Talmont, etc. , né au château de Roche-Corbon vers iSga , d'ingelger et de Jeanne Craonétait fils II de , et se trouva héritierde la seigneurie d'Amboise après la mort de Pierre II, son oncle paternel.

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• Antiquities
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Extrait

*^ 't- iî 'WN' HISTOIRE DE TOURAINE. TOME IV. WïlOSSÎ tIBRAIRE aAUMua IMPRIMERIE DE H. FOURNIER; KUlî DE SEINE, N» 1 4. HISTOIRE DE TOURAINE, depuis la conquête des gaules par les romains, jusqu'à l'année 1790; SUIVIE DU DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE DK TOUS LES HUMMES CELEBRES NES DA.KS CETTE FROVINCS. Par J.-L. CHALMEL. TOME IV. »^9C«Mi PARIS, CHEZ H. FOURMER Je, LIBRAIRE, RUE DE SEIKE, N» i4. A TOURS, CHEZ MAME,A. IMPRIMEUR-LIBRAIRE; ET CHEZ MOIST , LIBRAIRE. MDCCC XXVIII. fHAOSSir LÎFIIAIRE SALMUR WAY •/1L 1973 %. Qi \W^^^ar servir avec distinction dans contre Espagnols, même succès en Hongrie, sous le maréchalet ensuite avec le Feuillade. De retour dans sa patrie, il fut nomméde La gouverneur decapitaine des garde^-du-corps Lorraine,, de France en mais au mois deet enliii maréchal 16^5,• étant allé prendre le commandement de l'arméemars 1676, Sambre et sur la Moselle ilmourut à Nancy leréunie sur la , suivant de soixante-cinq ans.23 mars âgé Il n'avait qu'un fils, mort en 1701 de trente-un ans,âgé une fillesans avoir été marié , et qui épousa le marquis de Nangis. (Louis d'), vicomte de Thouars, princeI. AMBOISE de Talmont, etc. , né au château de Roche-Corbon vers iSga , d'ingelger et de Jeanne Craonétait fils II de , et se trouva héritierde la seigneurie d'Amboise après la mort de Pierre II, son oncle paternel." />

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'WN'HISTOIRE
DE TOURAINE.
TOME IV.
WïlOSSÎ tIBRAIRE
aAUMuaIMPRIMERIE DE H. FOURNIER;
KUlî DE SEINE, N» 1 4.HISTOIRE
DE
TOURAINE,
depuis la conquête des gaules par les romains,
jusqu'à l'année 1790;
SUIVIE
DU DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE
DK TOUS LES HUMMES CELEBRES NES DA.KS CETTE FROVINCS.
Par J.-L. CHALMEL.
TOME IV.
»^9C«Mi
PARIS,
CHEZ H. FOURMER Je, LIBRAIRE, RUE DE SEIKE, N» i4.
A TOURS,
CHEZ MAME,A. IMPRIMEUR-LIBRAIRE;
ET CHEZ MOIST , LIBRAIRE.
MDCCC XXVIII.
fHAOSSir LÎFIIAIRE
SALMURWAY •/1L 1973
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AVERTISSEMENT
s'attendre à ne voir figurer icidoit pasOn ne
par de grands talens ouparnoms connusque des
ainsi notreéclatantes. S'il en était ,des actions
bientôt remplie. Notre devoir, autâche serait
historien d'une province, a étécontraire, comme
de tout reproduire, parcede tout recueillir et
on aurait punousreprocherl'omis-qu'autrement
tel article que peut-être on eût trouvé desion de
,
mais il netrop dans une biographie générale;
minutieuse, querésulte pas de cette exactitude
prétention faire des grandsnous ayons eu la de
hommes de tous ceuxdont nous avons parlé. L'es-
prit de localité ne nous point aveuglé juque-là,a
et Ton s'apercevra sans peine que notre qualité
de compatriote n'a eu aucune influence sur notre
critique et notre impartialité. Nous avons fait
revivre des noms sans doute justement oubliés,
mais seulement comme historien , et non comme
apologiste. Ainsi, nul n'a été exclu de notre tra-
vail et il a suffi quelquefois qu'un personnage,
pour trouver dignitéplace , eût été revêtu d'uneyVj AVERTISSEMENT.
éminentc qui pourtant n'est pas toujours le signe
,
d'un mérite éminent. On ne peut se dissimuler
qu'oncependant ne voit pas sans une certaine
satisfaction des compatriotes figurer sur la scène
du monde avec !a tiare ou la barrette , le bâtonde
maréchal ou la toge de chancelier, et ce sentiment
d'amour-propre territorial devient plus vif encore
lorsque ces dignités ont été le prix des vertus et
des talens.
Quant aux écrivains , en quelque genre que ce
soit , nous n'avons négligé ni soins ni recherches
pour faire connaître toutes leurs productions , et
nous avons apporté une attention scrupuleuse à
indiquer lesen titres et les éditions. Il estquelques
poètes peu connus , et dont les ouvrages se ren-
contrent très-difficilement. Alors nous en avons
cité quelques passages , soit pour louer, soit pour
blâmer, mais nous n'avons pas été prodigue de
semblables citations, à l'aide desquelles il eût été
facile de grossir inutilement ce volume. D'ailleurs
il n'est pas entré dans notre plan de donner une
bibliothèque raisonnée des auteurs tourangeaux.
Nous nous bornons souvent à indiquer leurs
serait pourouvrages, dont l'analyse superflue
sont généralement connus, plus in-ceux qui et
encore à l'égard ceux qui sont tombésutile deAVERTISSEMENT. Vlj
n'avons ni la volonté,dans un oubli dont nous
ni le pouvoir de les tirer.
sommes abstenu de parler des per-Nous nous
sonnages encore vivans. L'amitié qui nous lie à
éloges suspects , et Tonquelques-uns rendrait nos
pourrait attribuer à un motif contraire les ré-
flexions critiques émanées de notre manière de
voir et de sentir à l'égard des autres, quoique
jamais rien d'hostile n'ait existé entre eux et nous.
L'esprit de parti n'a que trop souvent dirigé la
plume de ceux qui ont entrepris de juger leurs
contemporains encourir, et nous ne voulons pas
ce reproche. Nous sacrifions donc très-volontiers
le plaisir de la louange à la crainte de blesser
quelques amours-propres, et nousaimons à croire
qu'on approuvera notre réserve.