Le Bouddha et sa réligion

J. (Jules) Barthélemy Saint-Hilaire

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• Buddhism

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• Nombre de lectures: 24
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 32 Mo

Extrait

" PARIS LIBRAIRIE '^'ACADÉMIQUE DIDIER ET LIBRAIRES-ÉDITEURSG"\ DES AUGUSTINS. 7>\\o5, QIAI 186^2 Rpsoivp de touii dvn\\> I» WEIITISSEMENT SUR LE NIRVANA BOUDDHIQUE contestéOn a beaucoup Tinterprétalion qu'après Bnrnouf donnée du Nirvana Je j'ai bouddhique. ne m'en étonne Le culte du néant, devenu une pas. encore avec desaujourd'huireligion que professe diverses le ou le tiers demodifications quart peut-être c'est là un fait tellement extraordinairel'humanité, adû tout d'abord la et bientôt qu'il provoquer surprise, la Adorer le néant! Cela se ànégation. comprend peine. L'être est une idée tellement essentielle à l'inlelligence de l'homme c'est elle doit inévitablementque par qu'il commencer de concevoir ce n'estpour essayer qui AVEhTlSSEME^T ij en c'esteffort fasse sortir,pourpas; otiiuelquo qu'il tou-dans il estune enceinte infranchissable laquelle abusé derenfermé." />

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D DB DH A
ET SA RELIGION
J. BARTHÉLÉMY SAINT-HILAIRE
M K N ï U TM E B R DE I,' I S J T
des morales etSciences(Académie politiques)
ÉDITIONNOUVELLE
SUR I.E MRVANA BOUDDHIQDE
DULES ORIGINES BOUDDHISME
ANS AVANT J. C.(545 )
LE BOUDDUISME DANS LINDE AU VII' SIÈCLE
DE NOTRE ÈRE
LE BOUDDHISME ACTUEL DE CEYLAN
1858 ^
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PARIS
LIBRAIRIE '^'ACADÉMIQUE
DIDIER ET LIBRAIRES-ÉDITEURSG"\
DES AUGUSTINS. 7>\\o5, QIAI
186^2
Rpsoivp de touii dvn\\>I»WEIITISSEMENT
SUR
LE NIRVANA BOUDDHIQUE
contestéOn a beaucoup Tinterprétalion qu'après
Bnrnouf donnée du Nirvana Je
j'ai bouddhique.
ne m'en étonne Le culte du néant, devenu une
pas.
encore avec desaujourd'huireligion que professe
diverses le ou le tiers demodifications quart peut-être
c'est là un fait tellement extraordinairel'humanité,
adû tout d'abord la et bientôt
qu'il provoquer surprise,
la Adorer le néant! Cela se ànégation. comprend peine.
L'être est une idée tellement essentielle à
l'inlelligence
de l'homme c'est elle doit inévitablementque par qu'il
commencer de concevoir ce n'estpour essayer quiAVEhTlSSEME^T
ij
en c'esteffort fasse sortir,pourpas; otiiuelquo qu'il
tou-dans il estune enceinte infranchissable laquelle
abusé derenfermé.nécessairement Quand, parjours
saisir enfin l'idéevaines subtilités de il a crumots,
de laàdu il ne tarde méprisenéant, s'apercevoirpas
a c'estcommet : ce n'est le néant ;qu'il penséqu'il pas
l'existence. Une formeune transformation desimple
existenouvelle a celle a mais elle
;remplacé qui péri
cette des-tout aussi bien celle l'a etque qui précédée;
n'est confir-toute réelletruction, qu'elle est, qu'une
Tlêre dans sa éternelle et indé-mation de plénitude
fectible. On demander à Platon et à Parménidcpeut
combien cette idée du néant nous etéchappe, que
elle causer àd'illusions notre avantpeut esprit qu'il
n'en reconnaisse l'absolue On
impossibilité. peut
d'Aristote combien est fausse toute con-apprendre
du non-etre uneception qui impliquerait négation
Une choseuniverselle. cesser d'être cepeut qu'elle
elle devenir ce n'était Voilàétait; peut qu'elle pas.
les bornes fort étroites du ou du néant. Sousnon-être,
tout autre il est et il n'estinconcevable,aspect,
le d'une(jue mensonge sophistique coupable, quoî-
dans ses L'être n'ahabile,(jue dangereuses hypothèses.
ni commencement ni les êtres seuls etnaissentfin;
dansmeurent son sein à il n'estlui,immuable; quant
au la morl tout cesujelpas plus changement ;qu'à