LE DÉBAT SUSSKIND–SMOLIN OU POURQUOI LE PRINCIPE ANTHROPIQUE EST UNE TOTALE MANIPULATION par Miles Mathis Incapables de répondre ou même de s’occuper des problèmes réels et immédiats, les physiciens théoriciens de pointe se sont maintenant cachés derrière des ésoté- rismes sans signification et des jeux philosophiques débiles. Un exemple du pre- mier cas est le débat Hawking–Penrose sur les trous noirs. Bien que j’aie démontré que nous ne savons pratiquement rien sur les mécanismes de notre propre système solaire et que nous ne pouvons même pas expliquer l’orbite lunaire de manière sensée, les plus célèbres physiciens trouvent plus pressant de bricoler des systèmes mathématiques abstraits dans du vide à zéro donnée. En fait, mon champ unifié rend déjà tous leurs débats contestables, car les maths avec lesquelles ils jouent dépendent d’une interprétation uniquement gravitationnelle du champ principal de Newton et d’Einstein. C’est toujours le danger quand on discute des points de LE DÉBAT SUSSKIND–SMOLIN M. Mathis détail d’une théorie incomplète : un simple changement dans les fondations font immédiatement s’écrouler toutes les tours que l’on avait bâties sur elles. Comme exemple du second cas, nous pouvons examiner le débat Susskind–Smolin de 2004, dont on continue toujours à discuter aujourd’hui.
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