Le Maduré : l ancienne et la nouvelle mission
544 pages
Français

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VVô 2» .Ly^i-y^ia 'iâ LE MADURÉ. m r z ^fepn^ï^W «f©? £^£2? "£^ç§? '^ . SMADURE mLe E3 \m S te-S L'ANCIENNE ira===== =====ET £>. ËP LANOUVELLEMISSION, mS Ri le R. P. Auguste JEANTsJfT aparS -T auMissionnaire Maduré,. s Fellow de l'Université de Madras. a lf3g3aSS3aË3^E3^EB3BE^BSEBE3^^EaE3CTB^BEB a TOME I sS iS eSSŒSSSÊE^SESEŒSE3^'3ES3E30EE5Eï'^0EgS E J?4 îieBoctétc Bamtxjfïugusttn, &BROUWERDE O,DESCLÉE, E 1894. gBB^^iP^^amË^a^BSBaBSaa^Bg^B^B^B^E]^^ g^^3a2sss^^3Ë^^;^ag^^^aaiBr^^ des ressour-Des ouvriers recueillir la moisson,pour voilà ceces faire vivre les ouvriers,pécuniaires pour c'està la Mission de Maduré ou ;qui manquait plutôt, les ressources faisaient défaut leparce que d'argent que nombre de moissonneurs était insuffisant. leurMalgré au dedésir des collaborateurs P. Nobili,d'envoyer les instances de tant de Pères sollicitaientmalgré qui la faveur de lui être lesassociés, supérieurs n'ayant pas de à leur se trouvaient avoirsubsistance,quoi pourvoir les mains liées. C'est encore la Mission deparce que Maduré des nécessairesétait secoursdépourvue que le P. de Nobili ne donner suite au beauput projet le le P.dès formé de concert avecavait, début,qu'il de fonder un séminaire de brames à Maduré.Laertio, Ah ! si la mission du P. de Nobili avait eu les ressour- ces l'œuvre admirable de la de la Foique Propagation fournit de nos à tant démissions !... C'est de cejours besoin d'hommes et le P. Robert dutd'argent que CHAPITREPREMIÈRE PARTIE. I.42 avec ses à Cochin.

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Langue Français
Poids de l'ouvrage 27 Mo

Extrait

. ËP LANOUVELLEMISSION, mS Ri le R. P. Auguste JEANTsJfT aparS -T auMissionnaire Maduré,. s Fellow de l'Université de Madras. a lf3g3aSS3aË3^E3^EB3BE^BSEBE3^^EaE3CTB^BEB a TOME I sS iS eSSŒSSSÊE^SESEŒSE3^'3ES3E30EE5Eï'^0EgS E J?4 îieBoctétc Bamtxjfïugusttn, &BROUWERDE O,DESCLÉE, E 1894. gBB^^iP^^amË^a^BSBaBSaa^Bg^B^B^B^E]^^ g^^3a2sss^^3Ë^^;^ag^^^aaiBr^^ des ressour-Des ouvriers recueillir la moisson,pour voilà ceces faire vivre les ouvriers,pécuniaires pour c'està la Mission de Maduré ou ;qui manquait plutôt, les ressources faisaient défaut leparce que d'argent que nombre de moissonneurs était insuffisant. leurMalgré au dedésir des collaborateurs P. Nobili,d'envoyer les instances de tant de Pères sollicitaientmalgré qui la faveur de lui être lesassociés, supérieurs n'ayant pas de à leur se trouvaient avoirsubsistance,quoi pourvoir les mains liées. C'est encore la Mission deparce que Maduré des nécessairesétait secoursdépourvue que le P. de Nobili ne donner suite au beauput projet le le P.dès formé de concert avecavait, début,qu'il de fonder un séminaire de brames à Maduré.Laertio, Ah ! si la mission du P. de Nobili avait eu les ressour- ces l'œuvre admirable de la de la Foique Propagation fournit de nos à tant démissions !... C'est de cejours besoin d'hommes et le P. Robert dutd'argent que CHAPITREPREMIÈRE PARTIE. I.42 avec ses à Cochin." />

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DROITS RÉSERVÉS.TOUS
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A GRANDEURSA
ne la ne Jésus,Xart&e, Compagnie3l.*ap.e$çv
ne€t)èque Cucïnnopolp.
Monseigneur,
un désir de/~* 'EST Monseigneursatisfairepour^
ce livre a étévotre vénéréCanoz, prédécesseur, que
avait bien voulu en lire lesécrit. Le Prélatregretté
aux récitsetmanuscrites, donner, spécialementfeuilles
hauterésument les événements de son longépiscopat,saqui
lors-Hélas ! Vauteur ne se doutait gîière,approbation.
celuices le était oùécrivaitqu'il pages, que jour proche
auxdurant d'unavait, demi-siècle,près présidéqui
du seraitdestinées de la Nouvelle Mission Madtiré,
ravi à cette Mission. Mieux tout autre vous savez,qtie
dans deuil le diocèse deMonseigneur, quel Trichinopoly
le décès de son Pasteur.se trouva par premierplongé
lui unePuisse la divineBonté épargner longtemps perte
c'est le de notre Pèreaussi doulouretise ! Mais propre
à decéleste de la consolation la suite l'épreuve.placer
leavoir à lui son serviteurpourAprès rappelé fidèle
couronner dans la comme nous en avons lafermegloire,
il lui a choisi dans votre Monsei-
confiance, personne,
en nous aimons à retrouverun successetir quignerir,
a Dieu béni-et le cœurdu Père nous quittés.l'esprit qui
ra votre nous en avons l'assu-
épiscopat, Monseigneur,
rance. Il nous a donné comme tin des bénédictionsgage
dans les démonstrations de etvous destine,qu'il joie
de ontd' avec leslesquelles fidèles Trichinopolyaffection
leaccueilli letir nouveau Oui, Monseigneur,Pontife.
I.e Maduré.II
ciel visiblement à cette terre de dessouriait l'apostolat
des au à mémo-desXavier, Nobili, Britto, jour jamais
béni avec un éclat dont nous n'avionsrable et où, pas
été au milieu de Vencore témoins, tiniverselle,allégresse
Grandeur son entrée dans sa villeVotre jit épiscopale.
le cœur du bon Maître réserve à V. G. deCe que joies
et de sans doute aussi lescarconsolations, d'épreuves,
1
consolations issent dordinaire au de la Croix,pleur pied
dautres le diront un et leurs récits seront la con-;jour
tinuation de ce travail. Mon seul mérite sera de leur
avoir donné C'est à ce titre viens hum-l'exemple. queje
blement vous de vouloir bienprier, Monseigneur, per-
mettre ce seslivre, malgréque imperfections, paraisse
sous les et avec la bénédiction de Votre Gran-auspices
deur,
Dont suis,je
Avec le plusprofond respect,
le très obéissant serviteurenJ.-C.
A. S.Jean, J.

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