Les Canadiens-français de Lowell, Mass. [microforme] : recensement, valeur commerciale, valeur immobilière, condition religieuse, civile et politique, noms et adresses, suivis de la constitution et des règlements de l Union Franco-Américaine, Lowell, Mass.
197 pages
Français

Les Canadiens-français de Lowell, Mass. [microforme] : recensement, valeur commerciale, valeur immobilière, condition religieuse, civile et politique, noms et adresses, suivis de la constitution et des règlements de l'Union Franco-Américaine, Lowell, Mass.

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Description

LES CAXADIKNS DE LOWKF.L. WILLIAM H. £MERY, 29 A. Bâtisse Hildreth, Bureau Poste.)(Ancien de la nouvelle rue^u haut delOTS £L SATXIt Moody, de l'autre nouveau pont, à quelques mi-côté du nutes de marche seulement du centre de la ville. larre8t pas un la terre,et dévastarépandit le »angQui glorieux.un nomPour laisser bénit et pardonnesaint quiIl fut le prêtre cette mission,consacre sa vie àQui j tous donne,sans compter, àCelui qui, dévoué, la religion.Les biens de :Vierge MarieOblat de laIl fut le doux grand bienfaisant un ;sur la terre enIl passa sa patrie,quitta le sol deencore ilJeune l'Indien.évangéliserPour rivages.de lointainsdangers, surtous lesBravant ^ seul choix,qui fut sonDieu, ceIl travailla pour Sauvages,grand nombre del'enferEt sauva de Croix.par lapuissammentAidé d'œuvres si belles,tant ,couronnement àEt pour du Seigneur;de templesdoter LowellIl vint chapelles,desun couvent,le collège,Il fonda son labeur.mort pendantIl est la prairiecelui qui jonchegrand ?Lequel est ^ gémissants,blessésdeensanglantés,De corps prie.aime,sauve, édifie,prêtre quiOu le ?instantsdévoue à tousEt se de prièresregrets,d'amour, detantpourquoiCest Oblat,contient cetquicercueilIflondent le pierres,l'éclat desmalgrédéfaut,qu'ils fontTandis soldat.fameuxtombeau duAu Smith.Arthur 1 I.KS r-AXADiKNs T)K LoWKLT-. OLD LOWELL NATIONAL BANK. (CI-DEVANT LA LOWELLiBANK.) Bureaux :- 25 Rue Central Incorporée Banque de l'Ktat, ii Mai», i8;S. Autorisée faireà des affaires cc.

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Informations

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Nombre de lectures 30
Licence :
Langue Français
Poids de l'ouvrage 8 Mo

Extrait

LES CAXADIKNS DE LOWKF.L.
WILLIAM H. £MERY,
29 A. Bâtisse Hildreth,
Bureau Poste.)(Ancien de
la nouvelle rue^u haut delOTS £L SATXIt
Moody, de l'autre nouveau pont, à quelques mi-côté du
nutes de marche seulement du centre de la ville.
lar<<^esont de 40 et 50 pieds de parCSS LOTS
à pieds de profondeur et contiennent environ40 97
iiooo pieds carrés.
Lots Bâtit ne sont senlement qa'a 6000 deCes a
oii a peuprcs dix minutes de marcherUotel de Ville
de cet endroit.
un montantLes conditions sont très faciles, petit
comptant et la balance jiayable au mois ou à l'année.
Je n'emploie d'agents a commissionpas
cjui représentent com-ni autrement. Tous ceux se
me tels sont des imposteurs.
ALBERT RYAN est seul mon agent autorisé, il
J.
peut être vu à^non bureau, etCHARLES \V MEVTS,
que l'on trouvera toujours sur le terrain donnera toutes
lat
les informations requises.
bureau jours de la semaine,Mon est ouvert tous les
et tous les soirs, excepté mercredi soir.le
montez auPrenez l'élévateur et 5me
etagre a la Chanrbre 29 A. Bâtisse Uil-
ancien Bureau de Poste, et demandez M.dretb,
Ryan et il vous donnera les informations que vous
'
désirez.
William H. Emerv.I OWELL.LES CANADIENS DE
PropriétaireVive le
Qui peut dire, je suis cliez moi !
li|i"iïpliiï!-:;f!:^-:'.T'rf-i:
Pourquoi être bocdtaîre
•» Et payer loyer pendant des années.
Nous avons à Lowell un compatriote, M Jacques
Boisvert, peutqui vous vendre une maison à des
conditions les plus faciles.
L'acheteur peut payer de $ioo à $200 comptant et
la balance sous le système d'un loyer ordinaire,
*
tant chaque mois.
*.V t . '
~^Pour toutes informations, 'adre?sez-vous à : cK
*"';''
'k
Jacques Boisvert,
LOWELL, MASS.
'/6 V s: 3IsES
- Français(anadîcns
19OWEI9I9, {^^3S,DE
RECENSEMENT.
COMMERCIALE,VALEUR
VALEUR IMMOBILIERE,
eeNDiTieN.
CIVILE ET POLITIQUE,RELIGIEUSE,
SUIVIS DE LANOMS ET ADRESSES,
RèglementsdesConstitution et
DE
Franco«Americaine,fe'Union
MASS.LOWELL,
. • Editeur.9OOR5ONNIERE,i\.
:~-'"
. 1896./- 4^ ^ X
nLES CANADIKNS DE LOWEI.L
ARMES OU SCEAU DE L'UNION FRANCO-AMËRIG&INE.
Parti.—Au 1er. de bleu, blanc, rouge, à une feuille
d'érable couleur naturelle ; au 2me, d'azur chargés de
étoiles d'or, a» centre par le blazon etdeux sommé
l'aigle américain tenant dans son bec la devise Unum
Est\ au fond ciel mi-partie bleu et doré, au soleil
levant dont les rayons illuminent tout le sujet.
Ce sceau est magnificjue sous tous Ips rapports. Les
deux étoiles représentent les deux grands partis politi-
ques la feuille d'érable indique que nous
; appartenons
tous à la même famille, la nationalité canadienne-fran-
çaise, et que nos intérêts nationaux doivent primer nos
avantages ou parti.personnels de
Au-dessus rayonne le soleil du pro<^rès qui devra
nous inonder de ses rayons avec le succès de ce grand
mouvement. On voit ensuite, les ailes déployées, l'aigle
américain perché sur le drapeau américain, et tenant
dans son bec la belle devise ''Unum Est." Oui, soyons
unis, brillî-nteet la plus réussite viendra couronner nos
efforts.
S'y/SBINTRODUCTION,
En 1S87 je présentais au public et particulière-plus
ment à mes compatriotes -'Le Glidk pRANÇArs de la
"Nouvki.le-An(;leterre.
L'idée^ le but, le caractère de cette première publi-
cation, étaient de faire connaître l'étendue de nos affai-
nos industries, de nos sociétésres, de ; ce que nous
étions en un mot en nombre, en valeur et en force corn--
pétentes pour sauvegarder et faire valoir en temps et
notre langue, notre et notre nationalité., leslieu, foi
progrès étonnants que nous avions fait et ce qne nous
pouvions faire dans l'avenir.
du succès obtenu par cette œuvre toute'Heureux
nationale et encouragé par l'appréciation qu'elle avait
continuai le travail et en 1SS9 j'offris àreçue, je mes
adhérents, non seulement un Guide de lanombreux
Nouvelle-Angleterre, mais j'y ajoutai l'Etat de New-
York, le Grand Etat Empire.
qui ont généreusement s )uscrit et annoncéTous ceux
deuxième ouvrage, doivent se souvenir de sohdans ce
de lec'est pourquoi je me décidai en 1891 conti-utilité,
pour les du Nord, maisnuer non seulement Etats pourLES CANADIENS DE LOWELL.
INTRODUCTION—Suîte.
tous les Etats Unis, et sur la sollicitation d'hommes
éminents, prêtres et laïques, je publiai alors "Le
<ïuide Français des Etats-Unis."
Voilà bientôt cinq ans que ce dernier volume a été
livré à la publicité, néanmoins encore tout dernièrement
on en citait des extraits, et souvent on a recours poury
les fins de la statistique et du commerce.
Nul doute qu'il serait temps de le rééditer, ce qui ne
tardera pas d'arriver. Néanmoins, en attendant, je viens
donner au public, sur mes compatriotes desde Lovvell,
détails qui ne rentrent pas ordinai»-ement dans une com-
pilation comme les premières. C'est pourquoi je public
aujourd'hui "Les Canadiens-Français de Lowell."
Les Canadiens Français de Lowell méritent à plus
d'un titre que l'on s'occupe d'eux, car leur nombre, les
propriétés qu'ils possèdent et les négoces qu'ils exploi-
tent leur condition religieuse,; civile et politique, doi-
vent être connus, non seulement par ceux qui nous
entourent, mais aussi à l'étranger.
Cette publication pourvoit donc à cela et elle fournit
«n même temps des gravures et des détails importants
sur les principaux hommes publics, sur les édifices
religieux, civils et commerciaux, qui n'ont pas encore
«té donnés. J'aime à croire donc, que ce travail sera
apprécié et s'il en est ainsi, je m'estimerai satisfait d'avoir
contribué pour ma part à faire connaître avantageuse-
ment la Colonie Canadienne de Lovvell.
Editkur.LOWELL.DECANADIENSLES
P. Garîp.R.dula Ton)beSur
Heu solita're,ici, dans ce , ,Celui qui dort
fameux, ;,-,combats .|guerrier, par centgrani>re8t pas un
la terre,et dévastarépandit le »angQui
glorieux.un nomPour laisser
bénit et pardonnesaint quiIl fut le prêtre
cette mission,consacre sa vie àQui
j
tous donne,sans compter, àCelui qui, dévoué,
la religion.Les biens de
:Vierge MarieOblat de laIl fut le doux
grand bienfaisant un ;sur la terre enIl passa
sa patrie,quitta le sol deencore ilJeune
l'Indien.évangéliserPour
rivages.de lointainsdangers, surtous lesBravant
^
seul choix,qui fut sonDieu, ceIl travailla pour
Sauvages,grand nombre del'enferEt sauva de
Croix.par lapuissammentAidé
d'œuvres si belles,tant ,couronnement àEt pour
du Seigneur;de templesdoter LowellIl vint
chapelles,desun couvent,le collège,Il fonda
son labeur.mort pendantIl est
la prairiecelui qui jonchegrand ?Lequel est
^
gémissants,blessésdeensanglantés,De corps
prie.aime,sauve, édifie,prêtre quiOu le
?instantsdévoue à tousEt se
de prièresregrets,d'amour, detantpourquoiCest
Oblat,contient cetquicercueilIflondent le
pierres,l'éclat desmalgrédéfaut,qu'ils fontTandis
soldat.fameuxtombeau duAu
Smith.Arthur
1I.KS r-AXADiKNs T)K LoWKLT-.
OLD LOWELL NATIONAL BANK.
(CI-DEVANT LA LOWELLiBANK.)
Bureaux :- 25 Rue Central
Incorporée Banque de l'Ktat, ii Mai», i8;S.
Autorisée faireà des affaires cc.mtne Hanqia Nationale, 22 juin.
1865.
EXISTANT COVIMK CORPORATION DEIH IS ;:o ANS
DU 29 MAI, 1885.
Capital, . $200,000.
EDWARD W. TUCKE, Président.
CHARLES M. WILLIAMS, Caissier,
FRANK N. CHASE, Conteur.
DIRECTEURS
EDW. M. TUCKE, <;EORGE F. J'ENMMAN,
JOSEPH L. (flALIFOUX, PHINEAS Wh'iTIN(J.
PERCY PARKEl.'. PETER H. DONOHOE,
ARTEMAS R. WOODVVORTH, AV. W. CAREY,
CHAS, M. WILLIAMS-
Clercs, ALBERT |{. PHFF.P.RICK AND EDWIN T. SHAW.
Jours dVfc-'n te, Luiiii\ et Jeudi.
Election annuelle, Troisième Mardi de Janvier
Fleures de Banque, !» A. M. à 3 P. M.
Samedi, A. M.
! à 1 P. M.
8r"
*• J/ a combattu les bo»<( c^nthats.
"
'• // rt f>assc en faisant le bien.
/ ^oimr dontam Home, phase fnrgct m
Rev. Axdre Marie Garix, O. M. L,
en France, déc le 16Né le ^'ai, 1822, dé7
Février, 1S95, à Lowell, Mass

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