Les juifs, rois de l époque : histoire de la féodalité financière
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Les juifs, rois de l'époque : histoire de la féodalité financière

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ï-fr-.:'fa'*jVl/^ LKS ROIS DE LJUIFS, EPOQUE HISTOIRE LADE FÉODALITÉ FINANCIÈRE PAR A. TOUSSENEL L% apàculatiou légitime consiste k aebeter au meilieur marché revendre le eberpossible, pour ploa possible.... C'est l'Ame da commerce. ( Sylvain Dumun, ministre des Iravanx publics.) Les financiers soutiennent l'État comme la corde sou- tient le pendu. (Montesqaion.) La maison de mou père est une maison de prière . et vous en avez fait une caverne de voleurs. Jésus chassant les marchands du ( Temple. J Merctare, dieu de da eommereo etdes voleurs.IVloquence, ( Uylliologie. ) TOME DEUXIÈME PARIS GABRIEL DE LIBRAIRE-ÉDITEURGONET, RUE DES 6BEAUX-ARTS, ^847 / / 7/ / 4 v""^ HISTOIRE DE LA FEODALITE FINANCIERE DE L'IMPRlMKRiE DE CHAPELET DE UKlIE VAIIOIRARI), LES ROIS Î)KJUIFS, I/KPOQUE HISTOIRE DE r.\ FIMKCIÈREFÉODALITÉ PAU TOUSSENELA. I.a lê^'itime consiste à acheter au meilleurspéculaiion le chermarcbé possible, pour revfnUre plus possible .. i.'tîst l'îtme du commerf^e. Dumun, mini&tre dos travaux ( Sylvîiin publioR.^^ Les financiers soutiennent l'État comme la corde sou- i:i-nt le pendu. (Montesquieu.) la maison de mon est une maison de cvpère prit-re , fait une do voleurs.v>ius en avez caverne Jfsas chassant les marchands du !_ Temple.) etden voleurs.Mcr^'iive. dieu de i'«loqnfiiE r.A FÉODALITÉ FINANCIÈRE.6 ale ministère fera. La haute obtenu débanqueque servilité ministérielle les nouvelles officiellesla que dans le Journal des Débats avant défussent publiées universel.

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ius en avez caverne Jfsas chassant les marchands du !_ Temple.) etden voleurs.Mcr^'iive. dieu de i'«loqnfiiE r.A FÉODALITÉ FINANCIÈRE.6 ale ministère fera. La haute obtenu débanqueque servilité ministérielle les nouvelles officiellesla que dans le Journal des Débats avant défussent publiées universel." />

ï-fr-.:'fa'*jVl/^
LKS ROIS DE LJUIFS, EPOQUE
HISTOIRE
LADE
FÉODALITÉ FINANCIÈRE
PAR A. TOUSSENEL
L% apàculatiou légitime consiste k aebeter au meilieur
marché revendre le eberpossible, pour ploa possible....
C'est l'Ame da commerce.
( Sylvain Dumun, ministre des Iravanx publics.)
Les financiers soutiennent l'État comme la corde sou-
tient le pendu. (Montesqaion.)
La maison de mou père est une maison de prière . et
vous en avez fait une caverne de voleurs.
Jésus chassant les marchands du
( Temple. J
Merctare, dieu de da eommereo etdes voleurs.IVloquence,
( Uylliologie. )
TOME DEUXIÈME
PARIS
GABRIEL DE LIBRAIRE-ÉDITEURGONET,
RUE DES 6BEAUX-ARTS,
^847
/
/
7// 4 v""^
HISTOIRE
DE LA
FEODALITE FINANCIEREDE L'IMPRlMKRiE DE CHAPELET
DE UKlIE VAIIOIRARI),LES ROIS Î)KJUIFS, I/KPOQUE
HISTOIRE
DE r.\
FIMKCIÈREFÉODALITÉ
PAU TOUSSENELA.
I.a lê^'itime consiste à acheter au meilleurspéculaiion
le chermarcbé possible, pour revfnUre plus possible ..
i.'tîst l'îtme du commerf^e.
Dumun, mini&tre dos travaux
( Sylvîiin publioR.^^
Les financiers soutiennent l'État comme la corde sou-
i:i-nt le pendu. (Montesquieu.)
la maison de mon est une maison de cvpère prit-re ,
fait une do voleurs.v>ius en avez caverne
Jfsas chassant les marchands du
!_ Temple.)
etden voleurs.Mcr^'iive. dieu de i'«loqnfii<'C, du commerce
TOMK Dia XfKMK
PARIS
KGABRIEL DE LIBRAIRE-ÉDITEIGONET,
RUE DES BEAUN-AKTS, 6
4847
/LES ROIS DEJUIFS, L'ÉPOQUE.
HISTOIRE
DE LA
FÉODALITÉ FINANCIÈRE.
CHAPITRE PREMIER.
«enèvc.
H a un de bourse dit Genevoisproverbe qui qu'uny
vaut six Les habitants de Genève disent à leurjuifs.
tour ceux de Neufchâtel valent six Genevois.que
Genève est une des du et ducapitales protestantisme
du La mêmepuritanisme, par conséquent judaïsme.
foi et a dû les mêmespolitique engendrerreligieuse
mœurs en Suisse et en Juda. Les de Bostonpuritains
ont loin leurs d'Hel-poussé plus que coreligionnaires
vétie leur amour la ilspour Bible; portent presque
tous des noms ne sejuifs, pour que personne trompe
à de leur foi.l'enseigne
On dit la de la Suisse formidable sous leposition
de la militaire. Je la crois formi-rapport stratégie plus
dable financière.encore sous le de larapport stratégie
1wDE LA2 FÉODALITÉ FINANCIÈRE.
La est assise sur la comme leSuisse France, gui
La Suisse n'asur le chêne. d'armée,pas pas d'impôt.
une armée à elle.'*aurait-elle Les soldats dePourquoi
la de la sont làFrance, France,payés par l'impôt qui
veillent elle et sa neutralité. La Suissepour protègent
fait mieux de ne rien l'entretienque dépenser pour
de ses : elle vend ses soldats elle en tire un
,troupes
revenu. Ce ruine les lui faitnations,qui partout
elle. Je ferai même observer à ceàprofit propos, que
Suisse ne vend desla soldatsrépublicaine qu'aux
monarchies absolues. A c'est unPalerme, compatriote
Tell vous force à mettre basde Guillawne qui chapeau
affiche de collée surdevant une un mur,spectacle
sous ce mur est celui du du roi.
prétexte que palais
C'est la Suisse vend à tous lesquirépublicaine tyran-
naux d'Italie lesbaïonnettesavec ils
, lesquelles compri-
ment les velléités de cette malheureuse
d'indépendance
contrée. L'histoire flétrira un de
jour quelque appel-
lation ce rôle de valets de bourreauinfamante, que
un d'or les fils de la noble Helvétie.
jouent pour peu
Le consommateur suisse moitié moins cherpaye
le le sucre et le selfrançais,que que
la onlui fournit et le est un faitFrance; ceci, sait,
d'une immense dans la de concur-portée question
toute larence industrielle du de revient, question prix
du des denrées de nécessitédépendant prix première.
La en la les deSuisse, appliquant première principes
auxl'association seules branches d'industrie agricole
l'aridité de ses l'élève duque comportât montagnes,
bétail et la fabrication des a converti en,fromages
les eaux de ses Elle a réalisé lespactoles glaciers.
mômes dans lindustrie manufacturière. C'estprodiges<ainsi iiitrotluisuiit 1 alleu. diin' l hi divifioii duqu'en y
travail elle a le (Je l hoi
y accaparé i]iGiio|)ole jie,loji*
la lucrative lie toutes les iudusliiei; liuiii; inet. 11plus
a dans ville une d'universitéGenève, lettrée,y es|,tce
Lvoù se ibnl des cours depublics. prolebseur phy-
est rétribué à mille francs an,sique, qui peut-éue par
m'a-t-on mille Irancs dedit, revenu;possède, cinqcent
le de un lion delà localité,professeur géologie, quelque
achose comme huit cent mille francs de rente.sept
Genève deses rues d si lapaverait lingots argent,
fantaisie lui en un et si elle ne savaitprenait jour,
untirer du (jeuèvemétal;parti plus avantageux
achèterait les s ils étaient encoie à i encan;empires,
touset les tous lesconstitutionnels,gouvernements
de sont ougouvernements fabrique anglaise, plus
moins à l'encan.
Tous les les adultes de la Suisseans, ,beso^^neux
chasseurs duneintrépides d'espèces, pourvus pa-
àtience toute descendent de sesépreuve, montagnes
se dans les riches vallées de lapour répandre France,
terre et nour-généreuse hospitalière par excellence,
ricière de tous les Tous réus-complaisante parasites.
sissent à se caser en de à Paris ou danspeu temps
les autres villes commerciales du
grandes royaume;
tous ont 1 d'ordre et decar esprit persévérance qui
au succès. Tout ce monde-làdoit aboutir fait d'abord
de desdes habits ou bottes. Le tailleur estl'usure,
le iils familledes de se ruinent.banquier-ue qui
iNombre de hôtels de Paris à desgrands appartiennent
tailleurs suisses. de ces dont leBeaucoup industriels,
nom barbare dit assez lorigine étrangère, pratiquent
l aient lesusure à ce ilsjusqu qu acquis moyensDE LA FINANCIÈRE.U FÉODALITÉ
d'être Au bout de années d'exercice,probes. vingt
ils et font courir des chevauxlivrée,possèdent palais
sur achètentde devant no-,sang l'hippodrome par
taire ou ailleurs une belle fille et finis-
,jeune pauvre
sent se retirer sur les bords du lac dansnatal,par
villa délicieuse où s'achève
,quelque paisiblement
l'un de cesleur vieillesse. Et nobles usuriersquand
à l'humaine lea son tribut nature,payé journaliste
de l'endroit consacre à sa mémoire une notice tou-
chante. « La cause de la liberté et de la philanthropie
a l'un de ses ferventsperdu plus apôtres,aujourd'hui
la un de ses et nous unplus grands citoyens^patrie
abonné fidèle et exact dans ses payements.
Lausanne et Neufchâtel desBaie,Genève, possèdent
d'or dans les caves de toutes lesmonceaux déposés
Je me suis laissé dire Ge-quebanques européennes.
de millions sur les fondsnève avait près cinquante
5 et millions ou100, plusfrançais pour cinquante
Bâle'a bâti dont l'in-sur la de Mulhouse,place Lyon.
les maisons lui Genève adustrie et appartiennent.
et n'arrachera à l'An-arraché la Grèce au sultan , pas
malheureuse et del'Irlande
,gleterre plus plus digne
Genève soudoie des àla Grèce.pitié que journaux
la de M. leParis défendre Guizot,pour politique
étéJ'en savamment,protestant. parle ayant pendant
de l'une de ces feuillesun an le rédacteur en chef ,
etun ultra-doctrinaire de format,journal très-grand
dont la nepolémique belliqueuse répondait pas par-
son titre. Genèvefaitement aux depromesses impose
les tarifs lui conviennent sur les canaux de Francequi
du 17 avril C'est elle ne veut(ordonnance 1843). qui
réduise la rente. Le conseil des dix ,pas qu'on grand

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