MŒURS fiPULAIHI iLA ALE TABLE MŒURS ÉPULAIRES M LA BOURGEOISIE PROVINCIALE i i»it\m»Mi LES MŒURS ÉPULAIRES PROVINCIALELA BOURGEOISIE xv-w. ABBEVILLE A TABLE rr ECHEVIKAGELES CONVIVIALITES DE L PAF FILSALPHONSE PICARD ET uMuui'^MnrM 10OO TX ?7 deux essai* qui smirent sont,pour Vessentiel, sortis même* aitt. Ils *e complètentdes n proquement m'e*l donc venueL'idée de le* rappittàor Is titre m'exemptesous urne couverturecommune colhrtif de préambule. Ijtt mandement* au des cuisiniers,profil rôtisseur* el torernier*, témoigneront. *an* /> te la plu» stmple fl meilleure mani notable* bourgeois mangeaient el buraient par de- ntal notair, xdtrepar devant les argentier* de la ballade de* ja-:commune, pour faire mentir la Temps mr.OuêHli fera louié nmbi k Ânimmt en emftrie ty irw. rent pas leur histoire ls rélin e*t en nn PRARONDERNEST Miiii.Mi 1 1 \ I \i;i i Hlils Mnini.lsI IIGOURMANDES MIENS H Ill >lf lMir«lfiiosconipatriote> |»u m'appri-mln* «le puMn>*iec4csont leurs acte* •luinestiqucs. bm les mo lej boargaots, Ion* n.'aiiicon> la chanson, le dos au i« rentre à table; eenelle*dm |ueJqoelbis, idées neurs aux gènéro*aaavtot, asses clos capaoatoaaanea, mais estomacs ouverts et wijH a «in. ii aTaj*acta>| d*ajn>ai aroportions qweaBai . -Irait un tavanl ni gru 1 laûi double d'un Ksticnne, ne puta loui in faiMey 1-1«lu \i\ Ilil . de •!continuateuri en Qûtfl j. devenu l \illugrs. les l»ut'riiil> . uiaraiv I !•• -les vieux liraient menl ouque nom verstardons loi . •«..
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