Les terrasses de la vallée de la Mindel en aval de Jettingen - article ; n°2 ; vol.9, pg 135-151
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Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire - Année 1972 - Volume 9 - Numéro 2 - Pages 135-151
Im Bereich des unteren Mindeltales lassen sich 4 Schotterterrassen feststellen. Die stratigraphische Gliederung erfolgte auf Grund petrographischer, geologisch-morphologischer, fauntstischer und vor allem pedologischer Untersuchungen. a) Das oberste Niveau (Deckschotter) wird von einem petrographisch differenzierten, aber genetisch einheitlichen Schotterkorper und seinen max. 15 m mächtigen Deckschichten aufgebaut. Der Schotterkörper reicht von der Gunz bis an den Lech und liegt mit seiner Basis etwa 45-50 m über der Mindeltalaue. Es handelt sich möglicherweise um eine Ablagerung der Donaueiszeit. Beim derzeitigen Stand der Untersuchungen kann aber eine Zugehörigkeit zur Gunzeiszeit nicht ausgeschlossen werden. b) Einige, auf beiden Seiten des unteren Kammlachtales, bzw. des unteren Mindeltales gelegene, mehr oder weniger große Schottervorkommen lassen sich eindeutig einer einheitlichen Akkumulation zuordnen. Der gut aufgeschlossene Schotterkorper liegt mit seiner Basis 15-20 m liber der Talaue und wird stellenweise von max. 9 m mächtigen Deckschichten überlagert. Die Interpretation aller Untersuchungsergebmsse ergibt ein mindeleiszeitliches Alter des Schotters, womit A. Penck (1901-1909) bestätigt wird. c) Im Mindeltal lassen stch zwei kleinere Schotterreste bei Offingen und Jettingen (Schindbuhel) niveaumäßig mit dem im Kammlachtal — meist unter mächtigen Fließerdeschichten — noch gut erhaltenen rißeiszeitlichen Schotterkörper gut verbinden. Die Basis dieser Akkumulation liegt etwa in Höhe der Talaue oder etwas darüber. d) Die würmeiszeithchen Schotterablagerungen sind ca. 5 m mächtig und stellenweise von 3 m postglazialen Torfschichten bedeckt.
Quatre nappes alluviales ont été reconnues le long du cours inférieur de la rivière Mindel. Leur stratigraphie resulte des données de la morphologie, de la géologie, de la pétrographie, d'une faune de Mollusques et de la paléopédologie. Le niveau supérieur (cailloutis des plateaux) est formé d'une nappe alluviale pétrographiquement différenciée, mais génétiquement une, et d'une couverture limoneuse atteignant localement 15 m de puissance. Cette nappe s'étend de la rivière Gunz au Lech. Sa base est à environ 45-50 m au-dessus de la plaine alluviale de la Mindel. Cette nappe peut être attribuée au Donau. Mais dans l'état des recherches actuelles un rattachement au Gunz ne peut être exclu. Différents affleurements plus ou moins étendus des deux côtés du cours inférieur de la Kammlach et de la Mindel font incontestablement partie d'un même remblaiement. La base de cette nappe, où de nombreuses observations ont été possibles, est à 15-20 m au-dessus de la plaine alluviale. Cette nappe est recouverte par endroits de limons atteignant 9 m de puissance maximum. L'étude d'une faune de Mollusques contenue dans la nappe, l'étude du paléosol formé à son sommet, la présence à Offingen, au-dessus de cette nappe et d'un reste de ce paléosol, de deux séquences limoneuses séparées par un sol fossile interglaciaire confirment son attribution à la troisième période glaciaire avant le Postglaciaire actuel et justifient le maintien du stratotype tel que A. Penck l'a proposé. Dans la vallée de la Mindel, deux restes d'alluvions peu étendues près d'Offingen et Jettingen (Schindbühel) correspondent bien altimétriquement à la nappe alluviale du Riss, encore bien conservée dans la vallée de la Kammlach, sous d'épaisses colluvions. La base de ce remblaiement est à peu près au niveau du fond alluvial actuel ou un peu au-dessus. Les alluvions du Würm sont puissantes d'environ 5 m et sont couvertes localement de 3 m de tourbe postglaciaire.
17 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1972
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

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