Comment traiter les BMR en 2009

Rémy Gauzit

Description

Entérobactéries - BLSE : Prise en chargeRémy GauzitUnité de réanimation Ste MartheHôtel Dieu - Paris V GTA - Com AMM - Afssaps Et dire que tout commence par un bouchon de champagne…Février 2010Recommandations centrées sur E. coli CTX-MObjectifs« Que faire pour tenter de retarder le remplacement progressif des E. coli ampi-R par les E.coli BLSE CTX-M ? » ???Quel est le problème ?• E. coli : bactérie la + fréquente dans infect communautaires (IU++)8≈ 10 /g de selles • Infections urinaires : le plus• Depuis début 2000 : émergence desouvent bénignes, parfois nouvelles BLSE : les CTX-Mgraves (pyélonéphrites prostatites) • Infections digestives souvent• Espèce bactériennegraves : péritonites, mais aussi la plus concernée : E. coliinfections hépato-biliaires, intestinales (sigmoïdite), PAN...• Maîtrise de leur diffusion • Méningites néonatalescompliquée (communautaire et non • Diarrhées (E. coli toxinogène)pas nosocomiale) • Surveillance et prise en charge deces infections = enjeux +++ Dans le mondeEndémie SporadiqueEn EuropeE. coli C3G-REARSS 2008Mais également : Magheb, IndeEn France : données des réseaux de surveillanceDistribution de E.coli BLSE selon les prélèvements (AP HP 2007)N %Tous prélèvements379 100 % dont : Hémocultures16 4.2Séreuses, pus profond17 4.5Prélèvements respi protégés7 1.8Prélèvements respi non protégés 10 2.6Dispositifs inta-vasculaires55 1.3Urines 278 73 ...

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• Langue: Catalan

Extrait

Entérobactéries - rahc ne esirP BL   SE : egPrise en charge Rémy Gauzit Unitéde réanimation Ste Marthe Hôtel   Dieu -Paris V GTA -Com AMM -Afss   aps     

E u t  n d   i b r o e  u q c u h e o  t n o  d ut e     c c o ha m m m p e a n g c n e  e p … ar  

Février 2010

Recommandations centrées sur E. coli CTX-M Objectifs « Que faire pour tenter de retarder le remplacement progressif des E. coli ampi-R par les E.coli BLSE CTX-M ?»  

)enègonixot iloc .E(   seéhrraiD• selatanoén   setigninéM• ...NAP ,)etidïomgis(   selanitsetni ,seriailib-otapéh snoitcefni issua   siam ,setinotirép : sevarg tnevuos   sevitsegid snoitcefnI• )setitatsorp setirhpénoléyp(   sevarg siofrap ,senginéb   tnevuos sulp el :   serianiru snoitcefnI• Quel est le problème ?   • E. coli : bactérie la + fréquente dans infect communautaires (IU++) ≈10 8/g de selles   Ð • Depuis début 2000 : émergence de nouvelles BLSE : les CTX-M Ð • Espèce bactérienne la plus concernée : E. coli Ð • Maîtrise de leur diffusion compliquée (communautaireet non pasnosocomiale)   • Surveillan   ce etprise en chargede ces infections = enjeu   x +++

EndémieSporadique Dans le monde

En Europe E. coli C3G-R Mais également : Magheb, Inde EARSS 2008

En France : donnéesdes réseaux de surveillance   edecnallievrus   

Di s st e r l i o b n ut l i e o s n     p d r e é   lè E. v c e o m li e B nt L s SE  (AP    HP 2007)   Tousprélèvements dont : Hémo   cultures Séreuses, pus profond Prélèvements respi protégés Prélèvements respi non protégés Dispositifs inta-vasculaires5 Urines Autres N 973 61 17 7 01 5 287 64 % % 001 2.4 5.4 8.1 6.2 3.1 5.37 1.21 V. Jarlier,S. Fournier AP-HP 2007

 • Les recommandations Information, formation Monde médical : -existence d’une diffusion épidémique -risqu   e impasse thérapeutique Microbio   logistes : -identification suspectée si résistance aux C3G -méth   ode de détection BLSE (milieu enrichi enC3G) -résult   at de la recherche sur un CR envoyépar le labo -partic   ipation aux enquêtes de surveillance   Populati   on : existence d’un péril sanitaire -existence d’un nouveau péril fécal (hygiène de base) -usag   e excessif des ATB  

 •  • Les recommandations Mise en place réseau de surveillance national Hygiène Points critiques : hygiène des mains et gestion excrétas - précautions complémentaires «contact»/chez les patie   nts infectés ou colonisés en établissements de santéet EHPAD)