Rencontres HAS 2008 - Maladie d Alzheimer  comment améliorer les pratiques  - Rencontres08 PresentationTR6 FPasquier
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Rencontres HAS 2008 - Maladie d'Alzheimer comment améliorer les pratiques - Rencontres08 PresentationTR6 FPasquier

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Documents Rencontres08_PresentationTR6_FPasquier (102,63 Ko) Rencontres08_PresentationTR6_FNourashemi (106,58 Ko) Rencontres08_PresentationTR6_CPierre (108,43 Ko) Rencontres08_PresentationTR6_SLegrain (540,09 Ko) Mis en ligne le 25 nov. 2008 Table ronde 6 du 18 décembre 2008 de 11h30 à 13h Copyright HAS - MMStudio - JP Quevilly Améliorer les connaissances sur la maladie d'Alzheimer, son diagnostic et la prise en charge médico-psycho-sociales des patients et de leurs aidants : telles sont les principales orientations du Plan Alzheimer 2008-2012. La HAS a émis en mars 2008 des Recommandations de Bonne Pratique (RBP) portant sur le diagnostic et la prise en charge, et rédige actuellement de nouvelles RBP visant à éviter les prescriptions médicamenteuses inappropriées et délétères. Ces travaux s’intègrent dans un programme plus large visant à améliorer la prescription médicamenteuse chez les personnes âgées. Cette table ronde sera l’occasion de partager l’expérience des différents acteurs de la prise en charge médicale des patients et les objectifs du Plan. Consultez les diaporamas d'intervenants en bas de page Intervenants : Sylvie LEGRAIN - Chef de projet de l'unité programmes-pilote, Haute Autorité de Santé Une réflexion sur la juste prescription des médicaments chez le sujet très âgé (PMSA), et plus récemment autour des psychotropes (Psycho-SA), a été initiée depuis plusieurs années à la HAS avec la création d’un espace thématique dédié, à destination des prescripteurs, que ceux-ci exercent en milieu hospitalier, en ville ou en EHPAD. Plus que tout autre sujet âgé, le sujet ayant des troubles cognitifs est exposé au triple risque d’ “ underuse ”, de iatrogénie et de défaut d’observance. Le risque iatrogénique est amplifié de fait d’une plus grande susceptibilité au risque de sédation ou de confusion, mais aussi de chute lors de la prescription souvent plurielle et pas toujours justifiée de psychotropes ou d’autres classes médicamenteuses. Une prise en charge non médicamenteuse, notamment des troubles du comportement, mais aussi des troubles du sommeil doit être privilégiée. Un sujet ayant des oublis ou des troubles du jugement peut être en difficulté pour suivre les traitements médicamenteux complexes d’autres pathologies, en particulier cardiovasculaires. Ces difficultés peuvent se traduire par une perte de chance avec des hospitalisations et une morbi-mortalité indues. Ils peuvent conduire aussi à un abandon thérapeutique, également préjudiciable. Sécuriser la prise médicamenteuse en proposant les aides adaptées permet d’y remédier. Le programme PMSA souhaite contribuer à répondre à ces enjeux. Florence LUSTMAN - Responsable de la Mission de pilotage du Plan Alzheimer, Ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative Fati NOURHASHEMI - Gériatre, CHU de Purpan Des critères d'admission en Unité spécialisée Alzheimer dans les Etablissements d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) ont été déterminés à la demande de la Direction Générale de l'Action Sociale. Ces critères, qui concernent plus particulièrement les patients présentant des troubles du comportement sévères, seront exposés et discutés. L'étude PLASA a été lancée en 2005 pour évaluer si la mise en place d'un plan d'aide et de soins spécifiques pour le patient atteint de la maladie d'Alzheimer et son aidant pouvait ralentir la survenue de la dépendance. Les premiers résultats de cette étude seront présentés et débattus. Florence PASQUIER - Neurologue, CHU de Lille La HAS a établi de nouvelles recommandations pour la prise en charge de la maladie d'Alzheimer. Ces recommandations abordent plus particulièrement les nouvelles données concernant le diagnostic, notamment la place des biomarqueurs dans le diagnostic différentiel. L'importance du suivi des patients et de leur aidant ainsi que l'évaluation des co-morbidités à l'origine des troubles du comportement ont également fait l'objet de recommandations qui seront présentées au cours de cette table ronde. Catherine PIERRE - Médecin généraliste Modératrice : Armelle DESPLANQUES - Responsable de l'unité programmes-pilote, Haute Autorité de Santé Mis en ligne le 25 nov. 2008

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Extrait

Maladie d'Alzheimer : comment améliorer les pratiques ?
Ensemble, améliorons la qualité en santé
Florence PASQUIER
Professeur, Pôle de Neurologie Centre Mémoire de Ressources et de Recherche , CHRU de Lille
Diagnostic de la maladie d’Alzheimer : quelles spécificités ?
1.
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Diagnostic de la maladie d’Alzheim Aversusautres démences: démencesvasculaires, eoru(Mmix)tes, DCL, DFT, MCJ… – Prise en charge adaptée – Une évolution atypique peut remettre en cause le diagnostic
Reconnaître une MA à un stade prédémentiel – Utilisation de nouveaux biomarqueurs : neuropsychologiques, Imagerie (IRM,TEMP), biologiques (LCR)
Les malades jeunes
3
1.
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Maladie d'Alzheimer : Quelle prise en charge ?
Instaurer le traitement spécifique
Suivre le patient, en lien avec le médecin traitant – Réévaluer et éventuellement ajuster : • Le diagnostic • L’efficacité et la tolérance du traitement pharmacologique • La prise en charge – Répondre aux questions – Informer sur les possibilités • D’éventuels protocoles de recherche clinique ou thérapeutiques • De diagnostic à l’issue du décès
4
Suivi d'un patient Alzheimer : Quelle interface avec les autres intervenants ?
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3.
Lien de confiance avec le médecin traitant Rapprochement des pratiques Malentendus ? Ex : – Le médecin traitant croit qu’il ne voit pas les mêmes malades que le neurologue… – Le neurologue pense que le médecin traitant adresse trop tard les malades… Il compte sur le médecin traitant pour rechercher un problème somatique intercurrent devant un changement de comportement Disponibilité
5
Conclusion
Rôle de la formation et de la coordination
6
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