HJ 155 R6 r «.. , '\ MEMOIRES SUR QUELQUES POINTS D'ÉCONOMIE PUBLIQUE T)pograpliii' dp Kiruiin DUlol Frér«,TUO JjcoIs r)6. MÉMOIRES SUR QUELQUES POINTS D'ÉCONOMIE PUBLIQUE, LUS AU LYCÉE EN 1800 ET 1801, PAR P. L. ROëDERER. PARIS, FIRMIN DIDOTCHEZ FRÈRES, LIRRAIRES, IMPRIMEURS DE l'iNSTITUT , ET CHEZ HECTOR-BOSSANGE, LIBRAIRE, QUAI VOLTAIRE. 1840. d'J Ht /SS* r DISCOURS. F DISCOURS professésDe tous les cours en ce Lycée, celui qui professeur le plus de talentexigerait du serait un cours publique. Le moindre malheurd'économie de la science économique est d'être embarrassée de préjugés , entou- rée de préventions, dénuée d'expériences notoires et de plusconcluantes : elle est une science abstraite et on ne peut attaquer l'erreurcompliquée; que par dey analyses; les vérités ne s'y laissentlongues approcher par l'étude la plus obstinée. L'amour du bienque pu- blic peut seul aujourd'hui amener ici des auditeurs; mais par cette raison même combien il est désirable qu'on vient entendre,pour celui de pouvoir s'y fairey quelque temps ! quel intérêtécouter que celui de sou- tenir l'attention, quand c'est en même temps répondre respectableà un sentiment , le nourrir et l'accroître ! par elle-mêmeLa littérature a tant de charme, les naturelles portent avec ellessciences tant de clarté, qu'elles se passeraient presque de l'attrait qu'y ajoutent les maîtres qui les enseignent : la science économique I.
HJ 155 R6r «.. ,'\MEMOIRES SUR QUELQUES POINTS D'ÉCONOMIE PUBLIQUET)pograpliii' dp Kiruiin DUlol Frér«,TUO JjcoIs r)6.MÉMOIRES SUR QUELQUES POINTS D'ÉCONOMIE PUBLIQUE, LUS AU LYCÉE EN 1800 ET 1801, PAR P. L. ROëDERER. PARIS, FIRMIN DIDOTCHEZ FRÈRES, LIRRAIRES, IMPRIMEURS DE l'iNSTITUT , ET CHEZ HECTOR-BOSSANGE, LIBRAIRE, QUAI VOLTAIRE. 1840.d'J Ht /SS*