fiches 2009-2010 - "La confiance paisible de Jésus contraste avec ...
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Du 27 septembre au 3 octobre 2009 … il n’est pas de ceux qui nous suivent Marc 9,38 (évangile du dimanche 27 septembre) « Maître, nous avons vu quelqu’un chasser des esprits mauvais en ton nom ; nous avons voulu l’en empêcher car il n’ est pas de ceux qui nous suivent ». La concurrence traverse notre  société. Elle est également présente, comme nous le rappelle cet extrait de l’évangile du dimanche, parmi les disciples du  Christ  au  long  des  récits évangéliques. Elle est loin d’être absente  dans  nos  églises, nos  communautés  chrétiennes, nos groupes d’appartenance, nos établissements.  Comme  s’il  y avait aujourd’hui  les bons chrétiens et les mauvais chrétiens. Comme si, d’autre part, les chrétiens étaient les seuls dé­ tenteurs du bien, de la charité, de l’amour et de la justice. Nous serons jugés sur l’amour que nous avons les uns pour les autres et les actes qui en découlent et"La confiance paisible de Jésus contraste avec non pas sur notre appartenance à tel groupe ou à tel l’inquiétude de Jean. Jésus ne veut pas que ses autre. Ce n’est pas en faisant taire les autres que nous disciples deviennent ses agents jaloux. Son nom fait existons mais plutôt lorsque nous nous risquons à du bien, même là où le mystère de sa personne, sans l’accueil dans le lieu de l’autre. parler de l’Église ou des sacrements, n’est pas pleinement reconnu." (Extraits de la méditation de Frère Richard, de Taizé) DIEU N'EST PAS CE QUE VOUS CROYEZ ! "… toute manière de vivre la religion qui conduit à mépriser un homme, à le réduire en objet ou à le tuer, dans son corps ou dans son esprit, renvoie à un faux Dieu. Esprit Saint, aujourd’hui encore, trop de chrétiens empêchentIl vaut mieux être athée et servir les autres de faire le bien d’une autre manière que la leur ;l’humanité de l’homme que d’ être dans leur suffisance, souffle l’esprit d’ouverture.un homme religieux parasité par une représentation de Dieu qui Esprit Saint, aujourd’hui encore, la prétention à dominerfausse le regard sur l’homme et les autres occupent trop souvent notre pensée ;qui sème la mort. dans notre suffisance, souffle l’esprit d’humilité et de pauvreté. Un Dieu digne de l’homme, un Esprit Saint, aujourd’hui encore, trop de puissants font taireDieu pour l’ homme ne peut être des hommes, des femmes et des enfants par la torture,qu’ un Dieu qui aide l’homme à la persécution, l’exploitation ;devenir plus humain et qui le dans leur suffisance, souffle l’esprit d’amour et de service.libère de ce qui, en lui ou en dehors de lui, le déshumanise." Esprit Saint, aujourd’hui encore, trop d’êtres humains se pensent Jean­Marie Ploux les meilleurs et deviennent aveugles Dieu n’ est pas ce que vous croyez ! des richesses de leurs frères ; (Éd. Bayard) dans leur suffisance, souffle l’esprit de confiance. Proposée par Claude Besson, ENAP Du 4 au 10 octobre 2009 "À la fin de l'année le BAC.  Encore une année à travailler dur. Sans oublier les moments mémorables avec mes potes pour ma dernière année au lycée." Brèves de rentrée toutes"La fin de mon "Bientôt la reprise ces grèves où jecongé maternité du travail pour n'avais pas coursdébut septembre. moi. Super ! l’an dernier. Qua­La rentrée en J'adore mon boulot siment 6 mois demoyenne section et mes petits élèves vacances avecpour ma fille qui a de CE1 commen­ quelques partiels4 ans. L'automne çaient à me man­ de temps enqui arrive avec ses quer ! et les collè­ temps... Trop dejours pluvieux... Les voici, Seigneur, gues aussi d’ ail­ stress la rentrée...Bref le temps qui assemblés à l'orée leurs !" Heureusement, de cette année nouvellepasse mais ainsi va comme grainepour moi, c'est enla vie." "Il va falloir s'y jeunes et bellesoctobre !"remettre après au bord d'un champ nouveau... Permets, Seigneur, que, pour eux je ne sois pas ''l'instituteur'' soucieux seulement de les couler dans le moule,L’Évangile invite d’un même mouvement quel qu'il soit, mais que je croieà proposer Dieu et à affirmer la valeur qu'il m'appartient de les aider inconditionnelle de toute personne. à se tenir debout comme des hommes libres. Permets, Seigneur, que, pour eux, je ne sois pas le ''maître'' désireux d'agir en maître avant tout,Si l’enseignant perçoit l’enfant ou le jeune comme une de dominer, de régenter,personne, il entre automatiquement en rapport avec lui et il tout un peuple d'enfants :s’intéressera à chaque enfant en particulier. Il reconnaîtra il n'est point d'autre Maître que toi,ses qualités et l’aidera à les développer. Sur cette base, les le serviteur des filles et des fils du Roi.enfants peuvent développer la motivation, la volonté de faire des efforts et le courage d’apprendre. Permets, Seigneur, que, pour eux, je ne sois pas le ''professeur'' bavard Des relations sûres et pleines de confiance ne veulent pas qui ne les entend pas ou trop tard. dire de ne rien exiger des enfants ou de les ménager. Les Donne­moi d'être un homme, enfants et les jeunes ont besoin d’être guidés et corrigés une femme d'écoutes’ils ont un comportement et des attitudes problématiques. et, parfois de doute…Joachim Bauer définit le fait de "guider" de manière Donne­moi d'être, pour chacun d'eux,pertinente comme "la nécessité de soutenir des valeurs, de le compagnon sur la route,formuler des objectifs, d’exiger des efforts de la part des celui qui mange le même painélèves, de maintenir en tant qu’enseignant courageusement et qui sait tendre la main.ses exigences, de faire la critique tout en encourageant les Donne­moi d'être le conducteur,élèves, en les soutenant dans leurs efforts". Seigneur, Grâce à la confiance des adultes, en lui et en ses capacités, celui qui marche avec et qui guide le jeune reçoit une image de ce qu’il pourrait être. humblement le troupeau avide; Il développe peu à peu sa personnalité. C’est donc surtout donne­moi, Seigneur, la manière d’entrer en relation avec eux qui décide de façon d'être le porte­lumière qui lève haut décisive du développement de nos élèves. le flambeau. Roger Bichelberger (Prier, septembre 1995) Proposée par Frère Paul Cornec Du 11 au 17 octobre 2009 « Prenons une comparaison : notre corps forme un tout, et pourtant nous avons plusieurs membres, qui n’ ont pas tous la même fonction ; de même, dans le Christ, tous que nous sommes, nous formons un seul corps, tous et chacun nous sommes membres les uns des autres » Lettre aux Romains 12, 4­6 Je ne rêve plus Je ne fume plus Je n’ai même plus d’histoire Je suis sale sans toi Je suis laid sans toi Je suis comme un orphelin Dans un dortoir Je n’ai plus envie De vivre ma vie Ma vie cesse quand tu pars Je n’ai plus de vie Extrait de Je suis malade, Serge Lama L’homme ne devient homme que parmi les hommes (Johann Gottlieb Fichte) Tout est en lui Tout est en lui Je n’ai rien à donner à l’autre, j’ai seulement Car la source est au fond de son être mais il y a le devoir de l’ouvrir à sa propre vie, tant  et tant d’obstacle qui l’empêche de jaillir ! de lui permettre d’être ce qu’il est infiniment Je dois être celui qui l’aide à faire sauter les plus beau et plus riche qu’il ne serait rochers et casser les dalles de béton, autour de si je tentais de l’enrichir de l’extérieur lui, nous plus encore en lui. en voulant le "former". Je dois être celui qui l’aide à fouiller, à creuser, toujours creuser, pour atteindre cette source d’où jaillira la vie Michel Quoist (Les plus belles prières) Proposée par Marine, Iñaki, Ségolène et Émilie, Jeunes Volontaires Lasalliens Du 18 au 24 octobre 2009 Aimez tendrement tous vos écoliers. Regardez­les comme les vivantes images de Jésus­Christ. Jean­Baptiste de La Salle Évangile de Jésus­Christ selon saint Jean 14, 5­9 Thomas dit à Jésus : "Seigneur, nous ne savons même pas où tu vas ; comment pourrions­nous savoir le chemin ?" Jésus lui répond : "Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi. Puisque vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Dès maintenant vous le connaissez, et vous l'avez vu." Philippe lui dit : "Seigneur, montre­nous le Père ; cela nous suffira". Jésus lui répond: "Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais, Philippe ! Qui me voit, voit le Père." dépendre de toi." Amour et volonté (c'est dire que sa Volonté, quiest son Être d’indépendance sont incompatibles, même, est volonté efficace de se donner. C’est méconnaître l’homme de sinon en surface. Le plus aimant est Dieu est l’immensité sans limite, l’infinie donc le plus dépendant. L’infiniment puissance (mais c’est l’amour qui est im­ne lui proposer que de l’humain. aimant ­ Dieu est infiniment dépendant mense, tout­puissant... puissant à s’abaisserAristote (ce qui est inintelligible si Dieu n'est jusqu’à s’anéantir). paspurAmour, je veux dire si on cède au Disons les choses autrement encore : prurit imaginatif de concevoir l’amour Dieu est tel que le mystère d’amour comme un aspect de Dieu, et non comme incompréhensible qui le constitue dans sonLe paradoxe de l'amour son être même, aussi infiniment intense Être éternel ne peut être traduit, exprimé, révélé que par la pauvreté, la dépendancequ’infiniment pur). L’Amour ­ Dieu ­ est pauvreté, Enfin l'humilité. L’aimant dit à l’aimé : et l’humilité du Christ. dépendance, humilité. Si, cherchant à "Je ne puis te regarder de haut sans man­ Quand l’homme n’a aucune expérience de appréhender l’absolu révélé, notre quer à l’amour." Si l’aimant est en quelque l’amour (conjugal, paternel ou maternel, méditation ne se retourne pas en manière plus grand que l’aimé, son amour filial, amical, caritatif), de telles pressentiment de ce mystère n’est amour que dans l’acte où il nie sa affirmations ne sont plus mystérieuses ; d’abais­sement (que saint Paul appelle supériorité et se fait l’égal de l’aimé. elles sont énigmatiques. C’est pourquoi kénose), la divinité­idole ressurgit. Un tel Le plus aimant est donc le plus humble. Dieu ne saurait être connu hors d’une retournement, essentiel à la pureté de la L’infiniment aimant ­ Dieu ­ est infiniment pauvreté, d’u
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