Paracha VAYECHEV 5771
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Description

Feuillet hebdomadaire de Judaisme 'Chavoua Tov' distribué par Torah-Box.com
[ dédié à l’élévation d’âme de Sarah bat Rivka HAYAT ]
Paracha VAYECHEV 5771
* Je suis avec lui même dans l'épreuve
* Le manteau du ‘Hafets ‘Haïm
* 7 conditions pour du Lachon Hara permis (rav Chaya)
* Perle : 'Il n'y a pas un unique Rabbi...' (Rabbi de Tsanz)
* Biographie : Rabbi Itshak Menahem DANTZINGER
* Halakha : Ecrire ou Effacer pendant Chabbath
Retrouvez le feuillet sur :
- http://www.juif.org/judaisme/
- http://www.torah-box.com/chavoua-tov/
CONTACT : contact@torah-box.com / France: 01.80.91.62.91
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Nombre de lectures 542
Langue Français

Extrait

es humiliations qui ont été les siennes au moment de sa en prison. Il rencontre l’échanson (ministre des vins) et le vente comme esclave, quelle valeur a cette bonté de Hachem envers lui, de lui envoyer des chameaux qui transportent des boulanger en chef du Pharaon qui ont été jeté en prison aromates ? L’image de l’enfant qui voit sa mère au moment de l’opération l’explique parfaitement. pour offense au roi. Ceux-ci sont troublés par des rêves qu’ils ont fait. Yossef interprète ces deux rêves. Il leur an- L’odeur des aromates qui est montée aux narines de Yossef quand il est monté sur le chameau destiné à l’emmener en nonce que dans trois jours, le boulanger sera condamné Egypte est un clin d’oeil de Hachem qui regarde par la fenêtre. Certes, l’«opération» est dure, ses frères le vendent comme à mort et l’échanson réhabilité à son poste. Il demande à esclave, mais savoir et sentir que «Je suis avec lui dans la souffrance» (Téhilim 91, 15) donne une image différente. Ton l’échanson d’intercéder au Pharaon pour obtenir sa libéra- Père est avec toi, tu n’es pas seul, tout ce qu’on peut te faciliter, cela sera certainement fait. Car quand ton Père est avec tion. Les prédictions de Yossef se réalisent mais l’échanson toi, tout est différent ! oublie Yossef... Villes dans le monde Nice 16h40 • 17h44 Los Angeles 16h27 • 17h25L yon 16h43 • 17h49PARACHA : VAYECHEV New-Y ork 16h13 • 17h15 Marseille 16h48 • 17h52 Jerusalem 15h56 • 17h15 PARIS - ILE DE FRANCE Londres 15h41 • 16h55Strasbourg 16h22 • 17h31 T el-Aviv 16h15 • 17h16Entrée : 16h42 • Sortie : 17h52 T oulouse 17h04 • 18h08 Casablanca 17h06 • 18h03Bruxelles 16h26 • 17h39 Prière de respecter la sainteté de ce feuillet : ne pas le jeter ni le transporter Chabbath IL ÉTAIT UNE FOIS LA PARACHA Le manteau du ‘Hafets ‘Haïm Berechit (39,11) : «Mais il arriva à une de ces occasions, comme il était venu à la maison pour faire son travail…» Le Rav de Poniewitz zatsal a raconté qu’en Amérique, il avait rencontré une fois un professeur juif assimilé. Quand il s’était mis à parler avec lui, il lui avait raconté qu’il avait déjà été prêt plusieurs fois à se convertir, et ce qui l’en avait empêché était le manteau de notre maître le ‘Hafets ‘Haïm zatsal. Quand ce professeur était jeune homme, il était arrivé à Radin pour étudier à la yéchiva du ‘Hafets ‘Haïm, et comme tout le monde, il était rentré chez le Rav. En l’attendant, il s’était endormi. Et au milieu de la nuit, il avait senti que quelqu’un le portait dans ses bras et le couchait sur un lit. Ce quelqu’un avait aussi étendu sur lui le manteau qu’il portait et l’en avait recouvert. Il regarda entre ses paupières entrouvertes et s’aperçut que c’était le ‘Hafets ‘Haïm lui-même, qui était resté étudier sans manteau et en murmurant pour ne pas le réveiller. Ce spectacle, ajouta le professeur, était resté dans son coeur, et à chaque fois qu’il avait des velléités de conversion, cette image se dressait vivante devant ses yeux. Un tel spectacle ne lui permettait pas de se séparer de ce peuple merveilleux, où il y avait des gens comme le ‘Hafets ‘Haïm… “ET TES YEUX VERRONT TES MAÎTRES” Rabbi Itshak Menahem DANTZINGER, le Rabbi d’Alexander AU “HASARD”... 7 conditions pour du Lachon Hara permis Question de James : Où commence et où s’arrete le Lachon Hara ? Peut-on parler de personnes qui agissent mal dans son entourage ? Réponse du rav Ron CHAYA : Le Lachon Hara signifie dire une chose vraie négative sur quelqu’un. Même si elle vraie c’est complètement interdit de le dire. Les seuls cas où c’est permis, et c’est même des fois une mitsva, c’est s’il y a une utilité dans le lachon hara. Il faut pour cela respecter cinq lois qui sont les suivantes : 1. il y a une utilité 2. on ne peut pas arriver à cette utilité autrement que par le lachon hara (par exemple en parlant directement à la personne) 3. on est certain que la chose que nous critiquons est vraie, peut-être qu’on me l’a dite et qu’elle n’est pas vraie 4. le dire sans aucun sentiment de haine, uniquement dans un but d’utilité 5. il n’y a aucune exa géra tion dans ce que nous disons, la stricte vérité. Il faudra faire attention aussi que, par le lachon hara que nous disons pour utilité, aucun dommage ne soit causé à la personne sur qui nous parlons. Cher James, les lois du lachon hara sont tres compliquées et nombreuses, je t’ai dit les choses en extrêmement bref, je te recommande vivement d’acheter un livre sur les lois du lachon hara, il en existe d’excellents dans toutes les librairies juives francophones. Association de diffusion du Judaïsme aux Francophones dans le Monde LA VIE D’UN GRAND Rabbi Itshak Menahem DANTZINGER, le Rabbi d’Alexander souciait toujours de ce que ses ‘hassidim Le dernier Rabbi des ‘hassidim d’Alexander Ména’hem était, outre sa grandeur en observent la prière en commun. Dans des fut le Tsadik Rabbi Itshak Ména’hem Torah, grand également par le caractère, conversations avec ses ‘hassidim et dans Dantziger, qui disparut au moment de et en particulier il excellait dans l’humilité. des lettres qu’il leur envoyait, dans d’autres l’Holocauste. Il était né de Rabbi Chemouël Il était extrêmement modeste, et se villes, il soulignait toujours l’importance Tsvi, auteur du Tiféret Chemouël sur la conduisait humblement avec tout homme. de la prière communautaire. Dans ces T orah, en 5640 (1880). Il émerveillait tous ses ‘hassidim par sa lettres, il demandait à ses ‘hassidim : « que mémoire extraordinaire. Parfois, passaient tous ceux qui prient chez les ‘hassidim Depuis sa plus tendre enfance, il avait une devant lui plusieurs centaines de ‘hassidim se fixent comme règle immuable de venir intelligence extraordinairement vive. Il était qui avaient des requêtes diverses, et il tous les jours prier avec la communauté, merveilleusement assidu dans l’étude de car c’est un principe et une base de la la Torah. A un âge encore jeune, le jeune solidité du judaïsme.  » Il les appelait Itshak Ména’hem fit connaître par ses actes également à fixer des temps d’étude pour qu’il était né pour la grandeur. Quand il la Torah, et que chaque synagogue soit commença à mettre les téfilines, il se maria une maison de rassemblement des Sages. avec la fille d’un juif honorable de la ville de Il désirait intensément que les jeunes Lodz. Quand le beau-père vint à Alexander, gens étudient là-bas tous les jours. Rabbi il fut accueilli par le grand-père du fiancé, Itshak Ména’hem ne se contenta pas Rabbi Yé’hiel, le premier Rabbi d’Alexander, d’être le Admour de milliers de ‘hassidim, qui lui demanda : « Comment considérez- mais dès qu’il fut nommé dirigeant de la vous le fiancé ? » Le beau-père répondit communauté, il fonda une grande Yéchiva innocemment : « Quelle question, c’est dans laquelle il investit beaucoup d’énergie votre petit-fils ! » Le grand-père répondit : « et de forces.Vous vous trompez ! Il n’est pas seulement un « petit-fils », mais il est par lui-même Il surveillait de près chaque jeune garçon. un Rabbi. » connaissait toutes les blessures de leur Grâce à son énergie et à son activité, la cœur, se souvenait de tous par leur nom, et donnait une réponse claire à chacun. Yéchiva se développa beaucoup, et connut Quand il eut quarante-quatre ans, son père Une fois, le Rabbi eut l’occasion d’aller à un grand succès. Elle donna beaucoup mourut, et la même année, en 5684 (1924), Berlin, et il rencontra quelqu’un qui avait de rabbanim et de grands de la Torah il devint Admour de milliers de ‘hassidim étudié chez lui à Lodz quarante ans plus qui occupèrent des postes importants. qui affluèrent chez lui de tous les coins tôt. Il lui demanda s’il se souvenait de ce Un jour, le Rabbi s’exprima en disant que du monde. Les ‘hassidim disaient que qu’il avait étudié chez lui, et il s’avéra que toute sa vitalité provenait de la Yéchiva. s’était accomplie chez le Rabbi la parole lui, le Rabbi, se souvenait et lui rappela tous Ainsi, il vivait une vie active tout en élevant de Rabbi Eléazar ben Azaria : « Je semble les commentaires qu’il avait composés à une famille exemplaire. Il était père de avoir soixante-dix ans », car au moment où cette époque. Des milliers de juifs venaient dix enfants, huit garçons et deux filles. il commença à diriger la communauté, sa le trouver. De loin et de près, on venait vers Ses fils et ses gendres étaient de grands barbe était noire, et au bout de quelques son Beth-Hamidrach. Certains venaient talmidei ‘hakhamim. Pendant l’Holocauste, jours apparurent des cheveux blancs qui écouter sa prière, car elle transperçait les il passa d’Alexander à Varsovie avec lui donnaient l’air d’avoir soixante-dix ans. cieux et poussait ceux qui l’entendaient à toute sa famille. Dans le ghetto, il porta Son amour pour tout juif ne connaissait revenir à D.ieu… Des gens très riches et la souffrance de ses frères, et participa à pas de limites. Il avait toujours l’habitude de célèbres négociants venaient également la douleur de toute la communauté juive. de dire qu’il est interdit de mépriser un juif, lui demander conseil dans les affaires, et et tout juif était précieux à ses yeux, c’est Et le 23 Elloul 5702 (1942), il fut mené au le Rabbi leur donnait son avis, car il était pourquoi il se consacrait à ramener à D. camp d’extermination de Tréblinka, où il très versé dans les affaires de ce monde. les juifs qui s’étaient éloignés de la source fut tué avec une foule d’autres juifs par les Mais surtout, beaucoup de gens venaient le de la Torah. Jour et nuit, sa maison était Allemands, que leur nom soit effacé, à l’âge Chabbath et les fêtes écouter les paroles remplie de gens qui venaient lui rendre de soixante-trois ans. de Torah qu’il donnait à sa table. Pendant visite et lui demander conseil. Quand un juif dix-huit ans, Rabbi Itshak Ména’hem fut entrait
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