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• Philosophie et théologie

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• Publié par: awedosij
• Nombre de lectures: 106
• Langue: Français
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Extrait

Le praticien   etl e’vnrinoenemtn  U     OUN AGVRCOE CELL FITSUOS AL CTIODIREIENTN SCEUD FIQIFOSE URPIL WURSEAB DAMLI itrap uDa reiluc lL  aht uégénar Santé eématiquemenn tnenE toriv tpes oui qucuocts p  sae émidel s abseent quemratitamrof al ed etn mrstufus den ioi ,tse lmi ttropecéds.inou Panrtxu p   orefssoinnle ant de fournir a op slituyrcéd ruan sdes  oes ltémrtaniofd véoisn toupterles tes  icbl s : ndrau- p snag elésred se  De probitudes ?d  eectra’ig-tliu  O ?ésitilibssop eD ? sétilibaans ur srumeple s miu’enerd neoc iostue qesc’, nstemrep t xua ertdeme fon- éel nt ropdn ?éRc seerà rseua- p enti. tsopéRerdnc à q se praticiens de miue xocsniellrel  touQ ud euqirburinecéd mdun ieidtil é atoisneutsune f d’ecti’obj suos al tnem te dun r  Prediioct eéa ev c ,érlasi nvironneVeolia Etn a  sto   éotobdr s, dx anxperes eèrp tnadued ed sm iallWien Pb.Da nea aytnl  eoscuvironnementale, ed s al tnasne éesutes lac fteet édeces m à drler eap,td  nomnEu . ue - q timaagpr, tercnoc ertê’d i c leurs guer aveetd aiolrie sniu pntvoou duiveoieiciq sn snitarp  et  Dabliam Wiluonrlif aravuat  no s rè tder pai   ,strepxe xuerbm  : simplpatientssnê rt efiie  ras Ge.cerâmpsistlid xirP uxua ohc  erxuonbmetrul ce  Quo s  duen. tidiumrof aLal ed elquriub retrmpee  ec tboejtcfia é té atteint, commne etta etsel tn resctéansioe  d  eédi’l à tiudno cnt otstanscos uqsebuirser sel toutler ompide c t xuemèhon eerbmrdbo derntta’a d iaer .eC es e    tlc on concis de faç daar gensia  lntmennoriv ,elatned’unure briqe ruicétpmileltcd  e u  actler eue un fia ed nuof rinr e la médecine enivisnog olabeld    I s  besa aus urte M-ISASEA allENNA breux coà de nom iLts eed llgèeu.sérsp’e lusno  i, elitu ares ,snoocheappr Une ue.   tuqele igano ir rauoHC dGITAXUONJa, uecqneliLA C teet B   OLHC, P ihlippe BRETIN, Ed ellebasI ,IDLAB BAs niDeliJu, RDiMhcON ,BUEIleA lainR, ART,  BAE ni eEDC ,cC ralos DE Bli, Jacque ED YALBdérFcireILNV, LE DreSOASlCiaSE ,ITUGD   RA çoisFranean-B, JAD mailliW,NEHOCe riMan-ea JL,VE Véronique EZRATTERRUB-SIOSNNTE ,I,LLas Pl caPEEMaX ,reivMME EUNAc DI-MarRDIA GUALCRE  e EDeJnaQC ,  CE,EZ Sphtoishr,ERÈIVALED éneR  KERMAREClorence OHRU,SF aMtrni eAP LTEOR, ZOneAnAL sORBMaJ ,euqc  MOUn LE YvoUES,AFGRL   SA ardr ,éG ceanFr, NIIOCCLU enirehtaC ,CELL ÉR ,oRebtrG RAIN Y,  Dominique FARNNOM,UAEcuL NIG , ERilPhpeipER GM raGN,EéhéreiT-DoroOT,  GRAthée RAH eppi ,NNAMETLLUI   G se ilPh, AM ,XUOoeG csaPR la ESINCl,  esrg AL   SLA,AR méiaerS GE Fabien y SLAMA, aruaL ,IZANIUQS VreerPi, MEMITEoShpnn-e,RA REEG et GIERILLÉie V nelyAR MO,ANuc LLUM NGIT ,REcniVent NEDELLEC,  Alia nINOCAL,SM raTT OnetiipilPh, RARIP epigriV ,DRONDnie  FréEAU, cORédirNO ,IULL 1ddni.vuoc_tnemennvirol#enetcienariteLpIL_AVOE316:22:20//3012 UD LACIDIDITOUQ REDI , IÉ MÉR EUCT RDA  EI.R M RAALNI s ZMDeni-NAVIROU EN DU MÉDECIN

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Remerciements Nous tenons à adresser nos sincères remerciements aux auteurs des différentes rubriques qui ont permis l’élaboration de cet ouvrage. Ce livre n’aurait pas vu le jour sans la motivation du Dr Bruno de Buzonnière qui a compris depuis longtemps la nécessité de réunir l’approche biomédicale et l’approche écologique pour que « l’état de complet bien être  physique, mental et social » ne soit pas qu’une utopie.

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Le praticien et l’environnement UN OUVRAGE COLLECTIF SOUS LA DIRECTION SCIENTIFIQUE DU PROFESSEUR WILLIAM DAB

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« Nous devons contribuer pleinement à l’amélioration des connaissances, à la recherche, à la qualité du débat public, à la fiabilité des informations sur ces questions de santé environnementale. »

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LE PRATICIEN ET L’ENVIRONNEMENT

ANTOINE FRÉROT DIRECTEUR GÉNÉRAL DE VEOLIA ENVIRONNEMENT

Édito _____La réduction des impacts négatifs de l’activité humaine sur l’environnement, la maîtrise des risques et l’accès à des services essentiels participent à la santé et à la qualité de vie des populations: ces enjeux sont au cœur même des activités de Veolia Environnement. En préservant les ressources naturelles par la dépollution des eaux usées, en distribuant l’eau potable, en développant les transports collectifs, en optimisant la gestion de l’énergie, en collectant, traitant, et valorisant les déchets, Veolia Environnement et ses 330000 collaborateurs contribuent à lutter contre les pathologies environnementales. En tant qu’entreprise de référence du développement durable, nous avons des devoirs vis-à-vis de nos clients et des populations qui vont au-delà de la qualité de nos services. Les enjeux sanitaires constituent aujourd’hui une préoccupation majeure pour nos sociétés et nos activités sont au cœur des politiques de développement durable des collectivités. Nous devons contribuer pleinement à l’amélioration des connaissances, à la recherche, à la qualité du débat public, à la fi abilité des informations sur ces questions de santé environnementale. Et pour nous, le pivot essentiel de cette chaîne est le médecin généraliste qui observe, diagnostique, renseigne, interpelle. C’est pourquoi, nous organisons, avec Le Quotidien du Médecin, des Clubs Santé Environnement, conférences- débats en région, destinées aux médecins et pharmaciens. Nous parrainons également une conférence Environnement et Santé dans le cadre du Medec, Congrès annuel des médecins généralistes de France, et depuis 2007, grâce au soutien institutionnel de Veolia Environnement, Le Quotidien du Médecin a lancé une rubrique hebdomadaire  Le praticien et l’environnement, sous la coordination scientifi que du Professeur William Dab. Aujourd’hui, après plus de deux ans d’existence et compte tenu de la qualité des articles parus dans le cadre de cette rubrique, nous avons souhaité aller plus loin et publier une compilation de l’ensemble des rubriques pour en faciliter l’utilisation par les médecins.

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AVANT-PROPOS

« Cet ouvrage n’est pas un discours théorique sur l’impact sanitaire de l’environnement, il se veut concret, en indiquant ce que l’on sait, ce que l’on ignore, ce qui reste discuté, et cela sans masquer la complexité du sujet. »

_____Reconnaissons-le sans détour : en matière de “ho ête” (au sens de l’honnête homme du XVII e siècle) nn santé et d’environnement, les médecins doivent recon- qui veut informer ses patients sans les infantiliser, mais quérir leur rôle de professionnel de référence. Au sans amplifier non plus leurs inquiétudes. Il montre qu’il XIX e siècle, les préoccupations liées à l’environnement est parfois important d’inclure la dimension environne- fondèrent la médecine préventive et la santé publique mentale dans la prescription thérapeutique. moderne. C’était l’ère de l’hygiène qui prescrivait des Au-delà des particularités de chaque thème abordé, le conseils quotidiens, l’assainissement, l’eau de qualité, lecteur pourra se rendre compte que des points revien- des logements salubres, des conditions de travail nent avec une grande régularité: décentes et la sécurité alimentaire. « Le microbe n’est • Il faut en permanence raisonner en termes de bénéfi - rien, le terrain est tout », disait Louis Pasteur. Les gains ces/risques comme le médecin le fait couramment avec  sanitaires de ces pratiques furent considérables. Mais les médicaments ou les explorations invasives. Il n’y a rien au XX e  de bien nouveau, mais en matière d’environnement, il làcomme si les succès de lasiècle, tout s’est passé médecine scientifique avaient éclipsé ceux de la pré- y a une nécessité supplémentaire: celle d’articuler la vention et de l’hygiène. Le fossé s’est peu à peu creusé dimension individuelle et la dimension populationnelle. entre le rôle réel de l’environnement comme facteur de En effet, avec les progrès de la prévention, beaucoup de santé et l’importance relative qui lui est accordée risques sont faibles au niveau individuel, mais forts au aujourd’hui dans la pratique de la médecine. niveau collectif. Pourquoi? Pour une raison constante qui Mais tous les jours, les praticiens sont interrogés: télé- est la taille de la population exposée. L’industrialisation et phonie mobile, usines d’incinération des déchets, OGM, la mondialisation ont changé la face des risques. Ceux-ci nanotechnologies, produits chimiques, pollution atmos- ne s’expriment plus seulement là où ils sont produits. Ils phérique, etc. Le bon sens commande que les risques peuvent se répandre et toucher des milliards de per- d’aujourd’hui soient inférieurs à ceux d’hier, que l’espé- sonnes comme c’est le cas pour la téléphonie mobile, rance de vie continue de croître. Alors, ces inquiétudes technologie peu répandue il y a dix ans, qui compte près sont-elles vraiment justifiées? de 4 milliards d’usagers aujourd’hui. Dans ce contexte, Loin de tout alarmisme excessif comme d’un négation- un excès de risque individuel faible peut suffi re à créer nisme non crédible, cet ouvrage n’est pas un discours une véritable épidémie. vague ou théorique sur l’impact sanitaire de l’environne- • La clé de la maîtrise du risque est la connaissance et le ment. Il se veut concret, en indiquant ce que l’on sait, ce contrôle des expositions. Or, la diffi culté d’évaluer les que l’on ignore, ce qui reste discuté et cela sans masquer niveaux réels d’exposition revient comme un leitmotiv la complexité du sujet. Il cherche à aider le praticien dans de nombreux chapitres. L’informatisation du dos-

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sier médical, l’utilisation de questionnaires validés et mètres de l’environnement domestique, professionnel standardisés, Internet, ouvrent ici des perspectives nou- et général. L’ambition de ce livre est de contribuer à velles à condition que les médecins sachent s’approprier cette évolution qui marquera un grand progrès pour ces outils et que la confidentialité soit garantie. l’amélioration de la condition humaine. Notre souhait • Il n’est plus possible de raisonner de façon unifacto- est d’aider les médecins praticiens à redevenir des rielle. Les pathologies chroniques sont plurifactorielles et acteurs de premier plan en santé environnementale expliquer cela demande une certaine pédagogie. Au Les rubriques rassemblées dans cet ouvrage sont ran- niveau des personnes, il est souvent diffi cile de faire la gées en trois catégories selon l’angle qui a été privilégié part des facteurs de risque. Là encore, c’est le regard par les auteurs: pathologie, exposition, méthodes et populationnel qui permet de donner à chaque facteur le outils. L’index permet d’enrichir ce classement. Le lexique poids qui lui revient. C’est pourquoi, la quantifi cation des rassemble la définition des grands concepts nécessaires risques est devenue si importante, car sans elle, on ne à la compréhension des raisonnements de santé envi- peut que raisonner en tout ou rien. ronnementale. • Il est fondamental de se rappeler qu’une seule étude, Je remercie chaleureusement les auteurs des différen- même bien faite, ne fait pas la vérité. Il faut une confron- tes rubriques qui ont dû faire un effort de concision et tation pluridisciplinaire pour fabriquer un bon niveau de supprimer parfois des détails importants pour le spé- preuves. Cela prend du temps, il faut l’expliquer. À force cialiste mais inutiles pour le praticien. Toute l’équipe du d’entendre une succession de résultats les uns pessimis-Quotidien du Médecin autour d’Alain Marié, un pionnier  tes, les autres optimistes, mais rarement reliés entre eux, de la diffusion de l’information scientifi que et technique les patients sont perplexes, il faut les guider pour sortir de en santé environnementale, a fourni un travail considé- la théorie du complot si facile à mobiliser lorsque l’on rable pour que soient respectés le contenu, la maquette cherche un sens et que l’on n’en trouve pas. et les délais. La médecine sera de plus en plus une médecine du Finalement, j’exprime ma gratitude à Veolia Environne- risque, c’est-à-dire une médecine dont les signes et ment pour avoir initié et soutenu ce projet en lui garan- symptômes    une totale liberté scientifique et éditoriale. tissantla sémiologie – seront fournis par des– cartographies des risques et des facteurs associés, dans une posture fondamentalement proactive et pas seulement réactive. Ce sera une médecine d’anticipa- PROFESSEUR WILLIAM DAB, tion qui articulera les caractéristiques génétiques et  CHAIRE D’HYGIÈNE ET SÉCURITÉ DU CNAM biologiques, les aspects comportementaux et les para-  ANCIEN DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA SANTÉ

LE PRATICIEN  7 ET L’ENVIRONNEMENT

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8 SOMMAIRE andémie LA CLIMATISATION EST-ELLE À RIS VÉRONIQUE EZRATTY ET DR FABIEN SQUINAZI xposition aux composés or aniques volatils QUELLES SONT LES IMPLICATIONS SUR LA SANTÉ ? P. 1 1  C R O R M B M E E R N T T I A D R E NI N E T R  OURCEIFIER LE 2 p. Télé . 1  ET À LONG TERMES?  T  p.  R R BERT ARNIER xpositions volontaires au bruit UELS SONT LES RIS UES AUDITIFS ? p. 31 R THÉE RAN E chets d’activités de soins à risques infectieux UE FAUT-IL EN FAIRE . 14  l’ u n n m i mi u EAN-MARC DI GUARDI Y R A P - H T IL - I I P L P U E H N A R R I TMA  p.UE ANITAIRE MMENT PRÉVENIR L’HYP THERMIE ? p. DR XAVIER EMMAN ELLI ET DR ANNE LAP RTE  R MARTINE HOUR  33 .  1 DR VÉRONIQUE EZRATT COMMENT ÉVITER LES ACCIDENTS 4 p. récarité éner YV N LE M ULLE ACT SUR LA SANTÉ ? p. x U p E o L s L it E i   on E a T u I x r N a   y D o E n   n R e I me U n E ts   i A o U ni X s   a FA n I t B s  ELE D . DR VÉRONIQUE EZRATT  R ATHERINE L I NI UE PEUT FAIRE LE MÉDECIN ?  Q t U ili E s L a S t   i S o O n N c T r   o L i E s S s   a R n I t S e Q d U e E s S     n E a N n C o O p U a R rt U ic S u ? l   es p. 36 DR LU IN  P. 1 R FRAN MARAN ELYNE   nvironnemen es  su stances reprotoxique UELS RIS UES CHEZ LA FEMME ENCEINTE ? . 19  ANT DR RÉMY SLAM R LU MULTI NER . 3 ollution atmos  ’ position aux phtalates QUI EST VULNÉRABLE ET QUE FAUT-IL FAIRE ? . ex DR I ABELLA ANNE I-MAE AN  3QUELS DANGERS POUR LA POPULATION ? p. VIN ENT NEDELLE . 21 x U p E o L s I it M io PA n T o   m U e R s   t L i E q   u RI e au U r E a D o E n  .AN ER DR I ABELLE BALD  R PHILIPPE PIRARD xposition aux dioxines QUEL EST L’IMPACT SANITAIRE p. 2    p 4 DR DENI BAR  r VIR INIE R NDEAU JEAN-FRAN I DA   RTI UE . . 2  LE R ÉD ARD HATI N     p. 4 Cham DR JEAN-MARIE HE Q N U N E E L -   S I O M P P H A IE C V T I   L S L U ÉG R I   E L R A E   T S D A R N R T E É N ? É DE SEZE . 4 . 5 Ch U a EL m L p E s   élec N tr T o L m E a   gné U ti R qu E es  4 ND’EXP ITI CLAIRE DA ONVILLE  NNE- OPHIE VILLÉGIER ET DR RENÉ DE EZE . es allergènes de l’environnement intérieur  nvironnement int rieur UEL RI UE HEZ L’ENFANT A THMATI UE p.  REPÉRER LE PATHOLOGIE LIÉE PR FRÉDÉRIC DE BLAY ET DR MARTINE OT  p.4 TEÀ UN HABITAT VÉTU nvironnement int rieur R DOMINIQUE FARRÉ UELS SONT LES ALLERGÈNES À REDOUTER . 7 PR FRÉDÉRIC DE BLAY ET DR MARTINE OT

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LE PRATICIEN  9 ET L’ENVIRONNEMENT

c routier VIN ENT NEDELLE Pollution des « milieux int rieurs UE PEUT FAIRE LE MÉDECIN R ALAIN NICOLA Circuits d’eau et ris R FABIEN UINAZI

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p. p. 46 .

Pollution atmosphérique à l’intérieur des locau UELS SONT LES EFFETS RESPIRATOIRES ? . 4 R ISABELLA ANNESI-MAESANO ré TMOSPHÉRI p. 5 R MI HEL AUBIER MYTHE RÉALITÉ . 51     DES PROGRÈS À CONSOLIDER p. 52 HILIPPE BRETIN e saturnisme in anti e UE DEVEZ-V U FAIRE . 5 R FABIEN S UINAZI EPIDÉMIOLOGIE DESCRIPTIVE p. R JA UELINE LAVEL . 5 R JAC UELINE CLAVEL  r n hi li u n urri QUELS EN SONT LES FACTEURS DE RISQUE p. 56 R JACQUES DE BLIC Pollution atmosphérique UEL E T LE RI UE ARDIA UE . 5 R CHRISTOPHE DECLERC ncinération des ordures ménagère QUEL EST LE RISQUE DE CANCER p. 5 ASCAL EMPEREUR-BISSONNE  . 5 R JA UE LAMBR Z Th TURBATEURS ENDOCRINIEN ? P. 6 R JAC UES LAMBROZ

ancers e a thyroï L’ENVIRONNEMENT E T-IL RE PON ABLE DE L’AATI   R JAC UES LAMBROZ   R FRÉDÉRIC ROUILLON nvironnement e travai et trou es muscu o s   R PIERRE VER ER Tr u m i hm ’ n n N RÔLE CAUSAL ? R DENI ZMIR U-NAVIER    es d terminants de la sant UEL EST L’IMPACT DE L’ENVIRONNEMENT ? . 66    mpact de l’environnement sur la santé U’EN PEN ENT V PATIENT p. 7 urveillance environnementale des cancers    R ULIETTE BLOCH anté au travail N RÉSEAU DE MÉDECINS EXPERTS EN SANTÉ A VAIL : LE RNV VIÈRE ET PR AR ncinération des ordures ména res CHEZ LE MÉDECIN p. 7 R PASCAL ROUX ollens et sant UELLE PRÉVENTION ? . 71 LAIRE E ALA ET MARIE-THERE E UILLAM yndromes des bâtiments malsains QUE RECHERCHER ? QUE PROPOSER ? p. 7 L REN E KERMARE es a ré ats spatio-temporels de maladies non in ectieuses UEL EST LE RÔLE DU MÉDECIN . 7 R PHILIPPE ERM NNEA ancers et environnement QUEL EST LE RISQUE ATTRIBUABLE ? p. R E R E ALINE LEXI U. 7 DE. 7

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