T'r^^ -- r .V^ "^. .-. ^^^^^v^^ ï^-;zj^ ni^itm I f-^"^'^. fn^^^jm ^T: • . 147. — V6 - (Vnlo à lémoig-Tier au prolostaiilisme uiio hostilité dé- clarée : tîuillaiiiife des Autels, par excuiple, et Carie, l'évèque de Riez, partajj^caient ses idées : Caries et toy el moy, seuls entie cenL mille hoiiiines que la France nourrist, opposez nous sommes (t).y Mais, quand il fallut répoudre aux poètes luimanistes, les huguenots n'eurent hésitation.aucune 11 ninipoitait pas de remporter facile niiiiorcsune victoire sur les : il fallait s'atta(juer au chef qui commandait cette levée de boucliers il fallait frapper(2), à la tête. Florent Chres- Klégie à G. fies .\iitfls, Bl. t. VII, iO.(1) p. G. des Autels fit une Reiuoiislninri'- au peuple(2) franrots dés loo'J peupleet une llaremiue au franeoix eontre la rébellion, en liiGO. (CI. Manuel du Libraire.) La BaronieBrunet, l'accuse de s'être opposé aux réformés a pour gagner cent escus ». — Caries de Hiez a écrit une I.ellre au rinj Charles IX eonteuans les aeliuns el propos du duc de duise depuis sa blessure jusipi'à son trespas [\'M^^\. Cf. le Sup- plément de Brunet. Nous ne connaissons pas la pièce a laipielle Ron- sard semblerait faire allusion dés loGO. Beut-ètre est-ce la chanson contre les docteurs du colloque de Poissy ? (Cf. lil. t. VIII, p. i;i3.) Ronsard nous dit lui-même que c'est lui qui commandéa l'attaque des iioétes humanistes contre les protestants, liemonslrance, Bl. t. Vil, 70.p.
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