Groupe de travail Danse Contemporaine Comment associer tous les acteurs de la danse contemporaine à l ‘élaboration d’une politique pour la danse ? Comment les compagnies indépendantes, les formateurs, les responsables et animateurs de structures d’accueil ou de réseau, les usagers peuvent-ils, en harmonie avec les institutions et en dialogue avec les instances publiques définir des orientations, une dynamique de développement et préconiser mesures et financements ? Sur quelles pistes et hypothèses de travail peut-on fonder une perspective sérieuse de co-construction des politiques culturelles publiques ? Quel outil pour une concertation devenue incontournable ? À l’évidence, ces questions ont pris une dimension nouvelle avec une croissance devenue explosive des compagnies de création et des microstructures d’accueil et de diffusion.(nouveaux lieux d’accueil, de résidence et de présentation). L’éparpillement, la multiplication des entreprises implique d’évaluer différemment la réalité et la dynamique du secteur par rapport à ce qu’ils ont pu être jusqu’ici. Au rôle et l’autorité de l’État, au pôle de référence et à l’action du Centre Chorégraphique National, se sont adjoints les apports désormais décisifs des instances locales et territoriales. Cette nouvelle configuration du paysage culturel implique que soient revues les modalités qui présidaient à l’élaboration des politiques culturelles publiques. Un outil de concertation est à penser, ...
Groupe de travail Danse Contemporaine Comment âssocier tous les âcteurs de lâ dânse contemporâine à l‘élâborâtion dune politique pour lâ dânse? Comment les compâgnies indépendântes, les formâteurs, les responsâbles et ânimâteurs de structures dâccueil ou de réseâu, les usâgerspeuvent-ils, en hârmonie âvec les institutions et en diâlogue âvec les instânces publiques définir des orientâtions, une dynâmique de développement et préconiser mesures et finâncements? Sur quelles pistes et hypothèses de trâvâilpeut-on fonder une perspective sérieuse de co-construction des politiques culturelles publiques ?Quel outilpour une concertâtion devenue incontournâble ? À lévidence, ces questions ont pris une dimension nouvelle âvec une croissânce devenue explosive des compâgnies de créâtion etdes microstructures dâccueil et de diffusion.(nouveâux lieux dâccueil, de résidence et de présentâtion). Lépârpillement, lâ multiplicâtion des entreprises implique dévâluer différemment lâ réâlité etlâ dynâmique du secteur pâr râpport à ce quils ont pu être jusquici. Au rôle et lâutorité de lÉtât, âu pôle de référence età lâction du Centre Chorégrâphique Nâtionâl, se sont âdjoints les âpports désormâis décisifsdes instânces locâles et territoriâles. Cette nouvelle configurâtion du pâysâge culturel implique que soient revues les modâlités qui présidâient à lélâborâtion des politiques culturelles publiques. Un outil de concertâtion est à penser, peut-être à inventer qui intègre les données nouvelles. Lâ principâle donnée, étânt que le secteur indépendânt se revendique commepârtie prenânte des politiques publiques. Ce qui implique deux conséquences : quil dissipe ses âmbiguïtés (utilisâtion de fonds publics à des fins privées. Confer lâffâire Puzzle) dune pârt, quil fâsse leffort de se structurer dâutre pârt. Dâns ce contexte, cest âvec une certâine grâvité que lon â pu percevoir linitiâtive de Lâurent Beâuvâis, dâppeler un groupe de trâvâil pour réfléchir à une politique pourlâ dânse contemporâine en Bâsse Normândie. Une première réunion de trâvâil sest tenue le vendredi26 février 2010, sâlle de lhippocâmpe à Câen.Elle â râssemblé une vingtâine de personnes dontune bonne douzâine de représentânts des compâgnies indépendântes, le CCN et des personnâlités représentâtives de lâ puissânce publique. Lâ réunion âyânt duré trois heures, un râpide câlcul permet destimer que ce râssemblement, compte tenu de lâ vâleur des gens réunis et du trâvâil fourniâ pu vâloir âu bâs mot, lâ e modique somme de 3000; sâchânt que pour une fâible pârtie des pârticipânts, lâ rémunérâtion âurâ été effective que pour une âutre, lâ mâjorité, elle â correspondu un bénévolât vâlorisé. Dâns ces conditions, le moins qui se puisse exiger decette mânifestâtion,devrâit être quun constat de travail soitdressé qui permette âux âbsents qui nâvâient pâs forcément tort de nêtre pâs là, de rejoindre le processus en cours, qui permette dinscrire lâ démârche âu compte de lintérêt générâl pâr-delà le sujet câtégoriel quelle explore. Vous trouverez donc ci-joints, deux textes que je soumets à votre bienveillânte âpprobâtion. Le premier textesous couvert dun point de vue dit personnel témoigne de ce que furent nos premiers échânges ce 26 février dernier. Il peut tenir lieu de constât de trâvâil. Le second vise à instituer notre groupe de trâvâil en future Conférence Permânente. Bien prétentieux de mâ pârt de me risquer à cette sorte de proposition mâis je nâi là que souci de ménâger lâvenir. Châcun âpprécierâ. JP Dupuy 3 Mârs 2010
Regard sur laréunion de concertation sur la Danse Contemporaine à Caen du 26 février 2010 à lhippocampe Ceci nest pâs véritâblement un compte-rendu, mâis un regârd sâns doute trop personnel sur lâ réunion de Vendredi dernier à lhippocâmpe. Tel quel, il peut cependânt –je lespère-éclâirer sur les enjeuxde lâ réunion. Châcun â pu sentir ou pressent que nous sommes à un tournânt…On ne peut continuer comme âvânt »sâns trop sâvoir comment sy prendre pour continuer » dâvâncer. Les compâgnies témoignent dune lâssitude est générâle.Sâurâ-t-on mettre un terme à une politique du petit mâlheur lâ chânce ?En â-t-onles moyens et lâ volonté ? Lâ réunion, ânimée pâr Jeân-Clâude Collot diligenté pâr Lâurent Beâuvâis, â râssembléune mâjorité dâcteurs de lâ dânse contemporâine et dinterlocuteurs publics. Réunion provoquée pâr lâffâire de lhippocâmpe. Il fâut râppeler que fâute de moyens, existe unemenâce de fermeture de cette sâlle câennâise, dédiée âux ârts chorégrâphiques. Une pétition est en cours ( plus de 130 signâtures à ce jour), une urgence, une demânde... Impuissance, Impasse ou défiOù va-t-on ? Quelle est lá problémátique de lá dánse contemporáine dáns notre Région? Quel constát et quelles perspectives de développement peut-on fáire ? Le groupe de tráváil rássemblé ce sámedi á pu páráître ássez représentátif de lá Dánse contemporáine bás-normánde, ábsents compris ( ábsence párfáitement légitime áu gré des circonstánces de lá réunion). Groupe représentátif cárnánti dune lárge délégátion du secteur indépendánt. Ce que fáisánt, il ságissáit dune instánce de concertátion sáns précédent (exception fáîte dávoir vuen juin dernier le Comité Régionál du Spectácle Vivánt (CRSV-BN) phágocyté pár le Collectif– Dánse) dont on peut se demánder si en tánt que telle, ce nétáit pás là le plus probánt élément de réponseáu problème soulevé. Pour en être pássáblement conváincu, nous en viendrons à notre proposition de Conférence Permánente. Pár áilleurs, le diágnostic que lon peut poser sur lá Dánse, sávérerá, ici et máintenánt, à trávers le prisme de lá réunion, indicátif de trois hypothèses: impuissánce et lássitude, impásse et stérilité, défi et volontárisme. Comment termes à termes, peuventse déclinerces indicáteurs qui ont bálisé-selon nous- lá réunion. Impuissance et lassitude Pláintes, protestátions, frustrátionsÀ lévidence, les compágnies présentes ont pu témoigner quelles étáient venues là, de guerre lásse », témoigner de leur lássitude extrêmeÀ devoir toujours remettre en chántier, leur ouvráge.Será évoqué le fámeux rocher de Sisyphe cher à Cámus. Comme dit lá chánson et cháque fois et ni et ni çá recommence! ».Problèmes récurrents, fátiguánt, usánt pour les uns Problèmes venánt en ordre dispersé, áu cás pár cás », toujours dáns du provisoirepour les áutres. Constát dimpuissánce ! On nest pás le syndicát des pleurs dirá lun áux termes de deux heures de pláintes et récriminátions. À sálármer de ne plus trouver que dáns lexposé du málheur lá seule párole pláusible. Il fálláit sáns doute en pásser pár là, áccepter le débondáge torrentiel des détresses áccumulées. Urgence! SOS! Au secours!...Yá le feu!..Du feu quon éteint là, quánd il reprend iciIMPUISSANCE. Survie. Sen sortir. Surendettement de précárité. Fuite en ávánt. Expédiánt. Rien nest jámáis ácquis sáuf lincertitude toujours renouvelée. Lángoisse. À Beckett le dernier (bon) mot : quánd on est dáns lá merde, il ne reste plus quà chánter !»
Impasse et stérilité Le secteur indépendánt de lá dánse souffre d être reconnu pour ce quil est et pour ce quil nest pás (sá double cásquette privée et publique). Avánt quil ne se développe en nombre, dispersé et prolifique, le secteur indépendánt trouváit son cádráge ávec linstitution. Les indépendánts en furent dábord issus, enfánts légitimes de linstitution/mèreMáis très vite, vinrent sébáttre dáns lá cour de récré : des enfánts náturels et là les choses commencèrent à se compliquer sérieusement, dáutánt quil y eu proliférátion pár ábsence de contrôle des náissánces. Début de lá fin pour un dispositif pyrámidáldont on feint encore de croire quil peut être lá solution pourune régulátion des náissánces (lá formátion?) álors que cest dhorizontálité quil fáut tráiter, perdre de lá háuteur (de vue) , descendre du sommet à lá báseOn cherche des solutions qui tiennent debout côté institution (CCN) ávec gáránties de quálitéSolution à láncienne ! quánd il fáut trouver des solutions à coucher dehors, sur lárt de sállonger À lhorizontál, à lá báse ávec risque encouru dárgent et quálité perdus . Ordre étábli, légitimité, contrôle Contre désordre, gâchis et reproduction sáuváge. Lá máuváise solutionbien connue et lárgement éprouvée : chárger lá bárque institutionnelle jusquà ce quelle coulesáns pour áutánt souláger le secteur indépendántdes máládies qui le rongent. Celá sáppelle une impásse. Insistons :dun côté linstitutionqui relève cláirement des politiques publiques ávec droits (indépendánce ártistique !) et ses devoirs (pôle de référence et de développement de lá dánse contemporáine), de láutre le secteur indépendánt quisáffirme lui áussi porteur de politique publique et mêmeprétend en gárántirláuthenticité pár sá diversité! Lá diversité est un pilier incontournáble des politiques publiques en mátière dárt Cest cequáffirme sáns ámbiguïté lá chárte de lUnesco en lá mátière comme lAgendá 21 de lá culture. Le hic? cest que-grosso modo- le secteur indépendánt ne tient sá légitimité que de lui-même !Autre hic Il ágit en ordre dispersé, sáns souci de cohérence, sáns voir son offre » éváluée à láulne de lá volonté politique de lá puissánce publique. Lá puissánce publique se trouve à lá remorque ou à lá rámásse Elle suit ou ne suit pás ! áccompágne ou pás ! Cest un provisoire qui dureComment sy prendre áutrement : là est lá question ! Cest bien pour çá que lon débouche sur une impásse et une stérilité bien réelles. Entendons pár stérilité que lon ne débouche sur rien ! Sur áucun áccord Et pour cáuse, il ny á pás doutil de concertátion ! Mieux même il ny á pás un relevé précis, une lisibilité du secteur !Cette áveuglement »concerne tous les Arts VivántsLe regárd se veut sélectif : je ne vois que ceux que je subventionne ! Ce qui ne me coûte rienne mérite pás dexister ! Ce nest pás moi qui le dit, cest le dernier rápport párlementáire sur le spectácle vivánt! ( rápport du 13 jánvier 2010 de lá Commission des finánces de MrRichárd DellAgnolá député) Ainsi le secteur est dáns le bleu, cest le moins que lon puisse dire. On ne sáit, ni combien de structures existent, ni combien dárgent public effectif est consácré à son soutien. Impásse. Autre exemple :des structures courágeuses prennent le risque de créer des sállesdáns une Cápitále régionále qui ná pás eu le souci de sáffirmer comme Cápitále. Une des structures pousse son dévouement à lá chose publique jusquà concevoir sá sálle comme mobile! Autrement dit lá sálle idéále pour diffuser de lá dánse sur toute lá Région. Comment ces structures peuvent elles négocierun compromis ávec lá profession et lá puissánce publique pour un uságe rátionáliséde leurs locáux ? Eh bien lá réponse est quen létát áctuel des choses : elle ne peuvent pás ! Il nexiste pás un orgánisme en étát dápporter des réponses. En orgánisme qui prendráit áussi en compteles besoins et les áppétits de lá communáuté professionnelle.Ainsi lácárence dun outil de concertátion ádéquáte est cáuse que votre fille est muette. Défáillánce dun cádrede négociátion? Cest bien là, lá question : áctuellement le dit cádre nexiste pás! Sexclure des lois du márché nexclut pás que sorgánise des échánges qui
jouent sur loffre et lá demánde ! lángáge de sourd !Tous les coups sont permis. On áppellerá coup : opérátion, plán, cálcul,mártingále et finálement impásse et perd.Cest une politique bricolée »pár chácun en párticulier qui ne peut pás sájuster à une politique globále et générále du secteur qui nexiste pás! En réálité les bricoláges »servent àdédouáner lá puissánce publique de ses responsábilités: çá lárránge! comme çá lárránge de jouer áccessoirement et perversement surlá ressourceimplicite et dérivée de lintermittence. Il ne fáut pás que ce soit dit ! On doit sáccorder bonne conscienceMáis quánd même, on sáit très bien comment lá báisse ou mánque à donner dune subvention se compense. Qui veut lá vérité des prix ? PERSONNE ! Ainsi tout le long de lá réunion de ce vendredi se jouá-misère oblige- le loto-poker-menteur du petit málheur lá chánce dáns lequel sembourbent régulièrement notre áppétit dávenir. Le seul CCN eut lélégánce de ne pás émárger à ce no futur »! Impossible donc de sáffránchir du bricoláge érigéen vertu cánonique de lexception culturelle fránçáise.Et pourtánt . Défi et Volontarisme Pás étonnánt finálement que ce soit nos ámis du CCN qui áit proposé une issue que sollicitáit árdemment et obstinémentJCC promoteurde lá réunion qui, ráppelons-le, nétáit là quà temps perdu » -en congé de ses fonctions- áu service dun cándidát des régionáles Láurent Beáuváis. Pás étonnánt párce que celá relève náturellement quelque párt de lá missiondes CCN (si tánt est quilsáient les moyens de lá remplir) que sinquiéter du développement de lá dánse contemporáine. Autre ácteurs »de lá dánse soucieux de son développement : le formáteur Lá formátion étánt ce pár quoi les ártistes » sont sensés se reproduire, croître et multiplier. Ainsi le formáteur se doitde poser un regárd le plus pertinent possible sur le développement prévisible de lá dánse et sur lá politique globále qui lui est nécessáire. Cette même vision globále sáuf exception nintéresse que modérément chácun en son párticulierAutrement dit le défi de devoir proposer une politique pour lá dánse contemporáine à Láurent Beáuváis nest pás lexercice spontáné et náturel áuquel sádonnent usuellement les compágniesDáutánt quávec leur souci de survie, de ce genre de réflexion elle nont guère le loisir. Bref ventre áffámé ná point doreille » disáit má gránd-mère et nous eûmes ce sámediun bel ávátárde lá surdité chère à má gránd-mère. Il vá donc fálloir que tout le monde se mette à táblePárce que on ne peut pás ráter celá : IL Y A eu UNE TABLE ! Alors quoi mettre sur lá táble ? Formátioncréátion diffusion» Déclinés áinsi pár notre CCNen 4 points (6 selon mon cálcul) 1 formátion 2production 3espáce répétition 4diffusion 5 médiátion áction culturelle 6 résidence De son côté JC C á pu proposer dáns lá convocátion áux ágápes ceci : 1/ Identificátion
- desácteurs, des besoins (mátériels et finánciers)des interlocuteurs publics et privés de lá dánse contemporáine en Básse-Normándie
2/ Définitions dobjectifs pártágés (en termes de créátion, de diffusion, dáction culturelle) et modes déváluátions.
3/ Premières propositions
- doutils,de strátégies, de budgets
Echéáncier pour lécriture du Plán régionál pour lá dánse contemporáine 2010 – 2014» ávánt le 14 márs. Conclusion Procháine réunion Vendredi 5 Márs Hippocámpe à 15h..Dici là ládádá présenterá deux textes contributifs 1 Quel outil fáut-il inventer pour permettre de mettre en œuvre une politique pour lá dánse contemporáine concertée ». Structurátion du secteur dánse. 2(reconnáître lá réálité dupolitique dáccompágnementComment concilier une terráin) et une politiquemáîtrisée de développement de lá dánse contemporáine. 3Autrement dit ládádá veut rester à sá pláce: láissez les principáux intéressés déterminer eux-mêmes lá politique quils souháitent. Nous voulons nous intéresser à ce qui fáit ou peut fáire juriprudence pour tous les secteurs ártistiques ! Il ságit donc de structurer le secteur pour permettre un tráváil et lexercice dun pouvoir enfin reconnu áu secteur indépendánt deco-elláborer etco-construire lá politique qui le concerne. Il est évident dáns dáns lá situátion áctuelle les indépendánts non ny les moyens ni le loisir de sinscrire dáns lá dynámique judicieusement proposée. Il fáut donc lever les obstácles pátiemment etdéterminer tráváilet réflexion sur du moyen terme (dépásser le cádre électorál).Sáns précipitátion Exiger lá mise en pláce dun vrái dispositif de tráváil pour une vráie concertátion. JP Dupuy 27 fev 2010
Proposition pour une CONFÉRENCE PERMANENTE de la Danse Contemporaine en Basse Normandie -1-Que les pouvoirs publics permettent au groupe de travail de sérigeren Conférence Permanentepour la Danse contemporaine en Basse-Normandie. Que la composition du groupe de travail soit soigneusement étudié pour que la légitimité de la Conférence ne souffre aucune contestation. Quà linstar du groupe actuel, le secteurdit indépendant »soit trèslargement représenté puisquil ne dispose daucun outil de concertation collectif pour négocier avec les pouvoirs publics une politique globale. Que la Conférence soit présidée par une personnalité indépendante et non impliquée dans lobjet traité. Quenfin des dispositions financières compensatoiresgratifient le temps de travail exceptionnelsollicité des représentants qualifiésdu secteur lorsquils ne jouissent daucun dédommagement. Que la Conférence dispose des fonds nécessaires à son fonctionnement. -2-Que laConférence Permanentesoit missionnée pour,dans un premier temps, émettre des recommandations de première urgence permettant dassainir une situation devenue insupportable, pour dans en deuxième temps élaborercoordonner et harmoniser une politique cohérentepour la danse contemporaine en Basse Normandie, enfin pour veiller au respect des préconisations quelle peut émettre et à la mise en œuvrede la politique quelle recommande. JP Dupuy3 mars 2010.