Étalonnage. Technique Psychométrique. Constance des Résultats, etc. - compte-rendu ; n°1 ; vol.28, pg 817-830
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Description

L'année psychologique - Année 1927 - Volume 28 - Numéro 1 - Pages 817-830
14 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié par
Publié le 01 janvier 1927
Nombre de lectures 36
Langue Français
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Extrait

3° Étalonnage. Technique Psychométrique. Constance des
Résultats, etc.
In: L'année psychologique. 1927 vol. 28. pp. 817-830.
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3° Étalonnage. Technique Psychométrique. Constance des Résultats, etc. In: L'année psychologique. 1927 vol. 28. pp. 817-
830.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1927_num_28_1_6504ET TECHNIQUE PSYCHOMËTRIQUE 817 ÉTALONNAGE
et 0,89 ± 0,03. Les corrélations avec le « Group test of mental ability »
de Terman et le test d'intelligence de Thorndike vont de 0,14 à 0,58.
La validité du test a été trouvée de 0,82 et sa cohérence de 0,93.
La comparaison des résultats du test avec les notes scolaires a
donné une corrélation de 0,19, pour les étudiants de lettres, de 0,51
pour les étudiants de science, alors que pour ces deux groupes les
corrélations entre les résultats scolaires et le test d'intelligence de
Thorndike avaient été de 0,41 et de 0,27. A. B.-F.
1112.— H. WALKER HEPNER. — A Business Ability Test {Un
test d'habileté en Affaires). — Ind. Psych., II, 1, 1927, p. 1 7-27.
Ce test devait très évidemment être combiné par des Américains.
11 a été appliqué à 92 hommes d'affaires, présentant une grande dis
persion de valeur en ce qui concernait leurs capacités, salaires, éducat
ions, âges et comprenant depuis des garçons de bureau jusqu'à des
« managers ». Les sujets étaient divisés en trois classes selon leur va
leur. L'application du test a révélé un parallélisme assez marqué
entre la réussite dans le test et la compétence en affaires (p == 0,76).
On a discuté si ce test était spécial ou mesurait seulement l'intell
igence générale. L'auteur a appliqué ce même test et un autre test de
capacité mentale à 23 femmes également dans les affaires et n'a
trouvé qu'une corrélation pratiquement nulle.
Ce test comprend 7 rubriques : 1° Test de jugement de faits (en
matière d'affaire) : assertions qu'il fallait nier ou approuver; 2° Test
d'information sociale ; 3° Test de calcul ; 4° Test de relations : mot
présentant le même rapport avec un mot donné que deux mots pr
écédemment énoncés entre eux ; 5° Test de jugement ; 6° Test de lettre
d'affaire ; 7° Test de mémoire et de classification. M. L.
3° Etalonnage. Technique Pstchométrique. Constance des
Résultats, etc.
1113. — M. PERNAMBUCANO et ANNITA PAES BAR-
RETTO. — Etudo psychotechnico de alguns tests de aptidao. —
[Etude psychotechnique de quelques tests d'aptitude). — In 8° de 43
pages, Recife,1927.
A l'Institut de Psychologie de Pernambouc P. qui en était direc
teur, et une psychologue adjointe ont repris sur les écoliers brésiliens
les études de Mme Piéron relatives à 6 tests l, pour comparer les
résultats obtenus en suivant exactement les mêmes méthodes. Voici
les centilages comparés des tests :
1° Permutations :
Centiles 1 25 50 75 100 '
Points 0 3 4 5 9 (M™ P.). ... 1 5 6 7 13
2° Mémoire des 15 mots (2 séries) :
Centiles 1 25 50 75 100
Mots retenus 6 12 14 16 2'6
» » [M™ P.) 4 16 18 21 29
1. Cf. An. Ps., XXIII, p. 144-175.
l'année psychologique, 'xxvm. 52 i
.
ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES 818
3° Phrases absurdes :
Gentiles 1 25 50 75 100
Poiats 0 3 5 6 10
Points (M™ P.).... 3 5 6 8 10
4° Mots avec 8 lettres :
Gentiles 1 25 50 75 100
Points 0 5 7 9 27 (Mm« P.) 0 3 6 10 23
5° Analogies :
Centiles 1 25 50 75 100
Points. 8 11 13 14 19
Points (M™ P.) 10 14 15 17 19
6° Mémoire des dessins de Rybakoff :
Centilea. 1 25 50 75 100
Points ... 0 1 2 5 15 (M™ P.).... o 7 12 16 20
Des données sont également fournies sut la dif iculté relative aux
épreuves pour la mémoire des divers mots, la critique des différentes
phrases absurdes, et la reconnaissance des diverses analogies, la mé
moire des -dessins variés de Rybakoff.
II
Tests
2 4 5 6 3
-J- 0,254 + 0,046 + 0,214 + 0,155 + .0,326 4 (+ 0,169, (+ 0,320) (+ 0,007) (+ 0,020) (+ 0,094)
— 0,019 i + 0,155 + 0,012 — '- — 0,153 0,380) (— + 0,105 0,140) 2 (+ 0,020) (+ 0,394.) (+ 0,004)
— 0,019 [ + 0,326 + 0,241 + 0,216 — (-t- + 0,220) 0,186 (4- 0,094) ) (+ 0,169) (+ 0,136, (+ 0,180)
0,186 + 0,162 > +0,254 + 0,012 + 0,180 + — 4 (- 0,140» ( + 0,394^ (+ 0,220) (-0,170) j (+ 0,320)
— 0,153 — 0,006 \ + 0,016 0,186 + 0,241 + — 5 •(— 0,088,. (- 0,170 (_ 0,380) (+ 0,180) j (+ 0,094)
- ( + 0,216 + 0,105 + 0,216 + 0,162 0,006 — (— 0,14,0 (— 0,140) (- 0,088) f (-+- 0,007] (+ 0,136)
La différenciation des centilages pour les enfants de 13 et de 14
ans montre qu'à n'y a pas de progrès net avec l'âge, ce qui con irme
qu'il s'agit plutôt là de tests d'aptitude (la différence d'un an n'étant
toutefois plus très significative à partir de 14 ans). ÉTALONNAGE ET TECH.V1QUE PSYCHOMÉTKIQUE 819
La détermination des corrélations entre les différents tests (sch
ématisée dans une figure identique à celle de Mme Piéron) montre un
accord général avec quelques divergences.
Les corrélations sont données dans le tableau ci-dessus, les valeurs
de Mme P. étant entre parenthèses.
Il n'y a de désaccord un peu net que pour les corrélations des tests
4 avec 5 et 6 et du test 2 avec 6. Sur 15 corrélations l'accord est très
bon dans 6, bon dans 3, médiocre dans 3, assez mauvais dans 3. Dans
l'ensemble les résultats se coordonnent de façon satisfaisante.
H. P.
1114.— E. L. THORNDIKE. — A fundamental theorem in mo-
difiability — (Un théorème fondamental en « modifiabilité »). —
Pr., of N. Ac. of Se, XIII, 1, 1927, p. 15-18.
Plus souvent une situation se sera trouvée associée à une réponse
définie, et plus forte sera la tendance à l'évocation de cette
par cette situation. C'est là une notion courante.
Précisons. Une réponse Ri, a été réalisée 90 fois et une réponse R2
10 fois, pour une situation S. Doit-on penser que l'effet renforçateur
-dû à la plus grande fréquence de Ri, va se manifester ultérieurement,
et changer, dans une nouvelle série de 100 S, les rapports de R4 et
R2 qui vont devenir par exemple 91 et 9, et ainsi de suite ?
L'auteur donne les résultats d'expériences faites pour éprouver
cette conséquence (estimations répétées de longueurs avec notations
de fréquences et comparaison des premières et dernières séries, ou
associations de chiffres à des mots, ou notations orthographiques de
certains sons, représentant des mots ou des groupes de phonèmes
dépourvus de sens, etc.).
Or ces résultats sont entièrement négatifs : la fréquence plus
grande ne constitue pas, par elle-même, une force sélective. H.. P.
1115. — H. ANTIPOFF. — Contribution à l'étude de la constance des
sujets. — Ar. de Ps., XX, 1% 1927, p. 177-190.
L'auteur a étudié sur 8 sujets adultes la variabilité des résultats
des huit tests suivants : 1° Tapping (15") ; 2° Aiming (15") ; 3° Rapidité
d'écriture ; 4° Marche (20 mètres) ; 5° Force musculaire ; 6° Discrimi
nation tactile ; 7° Estimation d'une minute ; 8° Test de la Statue
(Rester immobile les bras écartés et tendus portant une haltère de
1 kg. le plus longtemps possible).
Le premier point étudié est de savoir à quel genre d'activité corre
spond la moindre variabilité. A. distingue quatre degrés : Maximal
(Max) ; Habituel (H) ; Sans effort (Se) ; Effort contraire (Ec) (faire
la tâche le plus lentement, le plus faiblement possible). Pour les cinq
tests où interviennent ces degrés (1 à 5) c'est toujours le degré maxi
mal qui donne la plus grande constance (5,06 % de variabilité contre
11,04 pour H, 17,38 pour Se et 30,08 pour Ec).
L'étude de l'exercabilite donne les résultats suivants : En la mesu
rant pour un même test par le quotient de la moyenne des deux pre
mières expériences par la moyenne des deux dernières {par le rapport
inverse pour les tests où une diminution du chiffre expérimental
obtenu est une amélioration de l'efficience), on trouve 1,01 pour M, 820 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
1,04 pour H, 0,96 pour Se, 1,33 pour Ec. Le chiffre 1 signifiant au
cun exercice, c'est donc e

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