Examinons la traduction comptable de notre activité au cours de l’exercice 96.
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Rapport Financier Au titre de l’exercice 2006 Comptes Sociaux et consolidés IFRS Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de l’ANJOU ET DU MAINE CRCAM de l'ANJOU et du MAINE 40 Rue Prémartine 72083 Le Mans Cedex 09 PARTIE I 1 SOMMAIRE RAPPORT DE GESTION 12.2. FLUX DE TRESORERIE DE LA CAISSE REGIONALE1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET ....................................................................................15 FINANCIER................................................................... 3 12.3. EMPRUNT DE LA CAISSE REGIONALE...............15 12.4. RESTRICTION A L’UTILISATION DE CAPITAUX ..15 2. FAITS MARQUANTS.............................................. 4 12.5. SOURCES DE FINANCEMENT ATTENDUES .........15 2.1. AU TITRE DE L’EXERCICE 2006 ............................ 4 13. ANALYSE DU COMPTE DE RESULTAT 2.2. EVENEMENTS POSTERIEURS A LA CLOTURE DE (COMPTES SOCIAUX) .............................................16 L’EXERCICE 2006......................................................... 4 13.1. LE PRODUIT NET BANCAIRE ..............................16 3. LES PRINCIPAUX CHIFFRES SIGNIFICATIFS13.2. CHARGES DE FONCTIONNEMENT ......................17 ........................................................................................... 5 13.3. LE RESULTAT BRUT D’EXPLOITATION ..............17 13.4. LE RESULTAT D’........................17 4. LES ACTIVITES DE COLLECTE ET DE CRÉDIT13.5. LE RESULTAT ...

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 Rapport Financier Au titre de lexercice 2006 Comptes Sociaux et consolidés IFRS
  Caisse Ré ionale de Crédit A ricole Mutuel de l’ANJOU ET DU MAINE 
PARTIE I
CRCAM de l'ANJOU et du MAINE 40 Rue Prémartine 72083 Le Mans Cedex 09  
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SOMMAIRE RAPPORT DE GESTION
  1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET FINANCIER ................................................................... 3 2. FAITS MARQUANTS.............................................. 4 2.1. AU TITRE DE LEXERCICE2006 ............................ 4 2.2. EVENEMENTS POSTERIEURS A LA CLOTURE DE LEXERCICE2006......................................................... 4 3. LES PRINCIPAUX CHIFFRES SIGNIFICATIFS ........................................................................................... 5 4. LES ACTIVITES DE COLLECTE ET DE CRÉDIT ........................................................................................... 6 4.1. LA COLLECTE........................................................ 6 4.2. LES CREDITS......................................................... 8 5. LA DISTRIBUTION DES SERVICES BANCAIRES ........................................................................................... 9 6. LES RESSOURCES HUMAINES........................ 10 6.1. LES EFFECTIFS MOYENS PAR CATEGORIE........... 10 6.2. POLITIQUE SALARIALE....................................... 10 7. LES PRINCIPAUX ACTIONNAIRES ............... 11 7.1. REPARTITION DU CAPITAL.................................. 11 7.2. DROIT DE VOTE................................................... 11 7.3. CONTROLE.......................................................... 11 8. LES MOYENS TECHNIQUES ............................ 11 9. PROPRIETES IMMOBILIERES ET EQUIPEMENTS.......................................................... 12 9.1. PATRIMOINE IMMOBILIER................................... 12 9.2. ENVIRONNEMENT............................................... 12 10. ANALYSE DES COMPTES DU BILAN (COMPTES SOCIAUX)............................................. 12 10.1. L’ACTIF............................................................. 12 10.2. LE PASSIF.......................................................... 13 11. ANALYSE DES COMPTES DU BILAN (COMPTES CONSOLIDES)..................................... 14 11.1. L’ACTIF............................................................. 14 11.2. LE PASSIF.......................................................... 14 12. TRESORERIE ET CAPITAUX ......................... 15 12.1. CAPITAUX DE LACAISSEREGIONALE............. 15
  
PARTIE I
12.2. FLUX DE TRESORERIE DE LACAISSEREGIONALE ....................................................................................15 12.3. EMPRUNT DE LACAISSEREGIONALE....... 51........ 12.4. RESTRICTION A LUTILISATION DE CAPITAUX..15 12.5. SOURCES DE FINANCEMENT ATTENDUES.........15 13. ANALYSE DU COMPTE DE RESULTAT (COMPTES SOCIAUX) .............................................16 13.1. LE PRODUIT NET BANCAIRE.................16 ............. 13.2. CHARGES DE FONCTIONNEMENT.............7 .1........ 13.3. LE RESULTAT BRUT DEXPLOITATION..1............7 13.4. LE RESULTAT DEXPLOITATION..........17 .............. 13.5. LE RESULTAT COURANT AVANT IMPOT ........81.... 13.6. LE RESULTAT NET................1... 8.......................... 14. ANALYSE DU COMPTE DE RESULTAT (COMPTES CONSOLIDES) .....................................19 14.1. LE PRODUIT NET BANCAIRE.............................1.9 14.2. CHARGES DE FONCTIONNEMENT.................1..... 9 14.3. LE RESULTAT BRUT DEXPLOITATION1. 9............. 14.4. LE RESULTAT DEXPLOITATION91 ........................ 14.5. LE RESULTAT COURANT AVANT IMPOT........02 .... 14.6. LE RESULTAT NET.............................20 ................ 15. LES FACTEURS DE RISQUE............................20 15.1. LE RISQUE DE CREDIT..............................20.......... 15.2. LE RISQUE DE TAUX........................................ 22.. 15.3. LES RISQUES DE CONTREPARTIE SUR PRODUITS DERIVES.......................................................2.2. ............. 15.4. LES RISQUES DE MARCHE..................................22 15.5. LE CONTROLE INTERNE.....................................32 15.6. ASSURANCE–COUVERTURE DES RISQUES DE LEMETTEUR........52.. ..................................................... 15.7. LES RATIOS REGLEMENTAIRES.................... 52..... 15.8. FAITS EXCEPTIONNELS ET LITIGES................ ..2.5. 16. RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT, BREVETS ET LICENCES.........................................26 17. PERSPECTIVES D’AVENIR .............................26 
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1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET FINANCIER Après des rythmes de croissance exceptionnels en La demande intérieure est restée le principal moteur début d’année, la zone euro a enregistré un net de l’activité. Un rebond de l’activité est attendu au ralentissement au 3ème trimestre ce qui porterait la croissance pourtrimestre. La croissance devrait quatrième avoisiner 2,7% en 2006, deux fois plus que la l’année 2006 à 2,1% moyenne annuelle des cinq exercices antérieurs ; une La consommation des ménages a été le principal reprise ayant son origine dans le rebond des moteur de la croissance. exportations et de l’investissement, et suscitant le réveil de l’emploi et de la consommation. L’inflation quant à elle devrait s’établir autour de  1,7% en 2006. En France, après un premier semestre exceptionnel, la croissance a nettement ralenti au troisième trimestre 2006.      
  
PARTIE I
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2. FAITS MARQUANTS
2.1. AU TITRE DE LEXER CICE2006
 
- Accompagnement du Groupe CA S.A. dans le cadre de son développement à l’International : o Participation en décembre 2006, pour un montant de 31 M€, à la SAS SACAM International qui permet aux Caisses régionales et donc à la Caisse régionale de prendre part directement au développement à l’international du Groupe CA S.A.. o Participation en décembre 2006, pour un montant de 75,8 M€ à la SAS La Boétie (holding qui porte les participations de la Caisse régionale dans CA S.A.) au travers d’une avance en compte courant. Cette avance en compte-courant à vocation à être capitalisée en titres CA SA à l’issue de l’augmentation de capital qui se déroule en janvier 2007. o Mise en place d’un swap synthétique de 231,6 M€, compter du 24 novembre 2006 à échéance à novembre 2011, suite à la prise de contrôle de la banque Emporiki en Grèce, et dans le but d’optimiser l’utilisation du capital entre les entités du Groupe.  - Nouvelle réglementation fiscale sur les intérêts des PEL de plus de 12 ans qui a eu pour conséquence d’accélérer le retrait des fonds placés sur ce produit par notre clientèle. o Ces retraits ont eu pour effet de modifier sensiblement l’encours de la provision épargne logement constituée pour nos risques de pertes futures associées aux produits épargne-logement. L’ajustement de cette provision s’est traduit par une reprise de 8,1 M€   - Migration de l’ensemble du système informatique sur la plateforme du GIE Atlantica. o Le week-end du 11 novembre 2006, la Caisse régionale de l’Anjou et du Maine a basculé sa plateforme informatique sur la plateforme cible au sein de la communauté Atlantica qui regroupe 10 Caisses régionales de l’Ouest Atlantique.  - Caisse régionale dans le cadre de la bascule Atlantica.Harmonisation des comptes comptables de la o régionale avec le plan cible a entraîné 3L’harmonisation du plan comptable de la Caisse mouvements du compartiment facturation vers les compartiments marge d’intérêt et commission clientèle (hors facturation). L’impact de ces mouvements est le suivant : ƒ 2 lignes de facturation crédit transférées vers la marge d’intermédiation (2005 = 2,9 M€ ; 2006 = 3,0 M€) ƒ 1 ligne de facturation sur titre transférée vers la marge commission Clientèle (2005 = 1,7 M€ ; 2006 =1,9 M€)  -  :Poursuite de l’analyse du portefeuille crédit et de l’identification des risques de pertes sur encours sains l’élargissement du périmètre sur de nouveaux secteurs agricoles et risques dégradés agricoles entraîne un accroissement des provisions sectorielles de 15,8 M€. sur un accroissement total de 19,7 M€. Cette analyse sera poursuivie en 2007 à l’ensemble des marchés.
2.2. E OTURE DE LVENEMENTS POSTERIEURS A LA CLEXER CICE2006
Pour accompagner son développement à l’international, Crédit Agricole S.A. a lancé une augmentation de capital en janvier 2007 qui s’est clôturée le 23 janvier 2007. A l’issue de cette opération, la Caisse Régionale de l’Anjou et du Maine a souscrit à une augmentation du capital de la SAS la Boétie (holding portant les participations dans CASA) pour un montant de 75.881 K€ par capitalisation des avances en compte courant qui avaient été consenties.
  
PARTIE I
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 3. LES PRINCIPAUX CHIFFRES SIGNIFICATIFS  
 
31/12/2004 Evol. 31/12/2005
COMPTES SOCIAUX BILAN (en milliers d'euros) Bilan 10.025.418 5,7% 11.099.627 Fonds propres (1) 1.358.693 4,0% 1.425.693 Capital souscrit (parts sociales et CCA) 211.211 0,0% 211.211 (1) après intégration du résultat conservé de l'exercice, des dettes subordonnées, du FRBG
COMPTE DE RESULTAT (en milliers d'euros) Produit net bancaire 364.366 5,8% 380.819 Résultat Brut d'Exploitation 154.960 12,2% 165.414 Coefficient d'exploitation 57,5% 56,6%
Résultat courant avant impôt Impôts sur les bénéfices Résultat Net
131.392 10,7% 134.117 -47.631 28,2% -51.385 75.214 10,0% 84.087
6.730 -5,4% 5.554 6.107 19,1% 7.341 900 -36,3% 1.220 58.481 9,6% 62.394 -2.996 120,0% -7.578
Evol.
10,7% 4,9% 0,0%
4,5% 6,7%
2,1% 7,9% 11,8%
-17,5% 20,2% 35,6% 6,7% 152,9%
Intérêts aux parts sociales Rémunération des CCA Fonds mutualistes Résultat conservé Report à nouveau (2) (2) En 2004 : incidence du changement de méthode concernant les engagements sociaux En 2005 : incidence du changement de méthode concernant l'actualisation des provisions individuelles crédits conformément au CRC 2002-03 ACTIVITE (en milliers d'euros) Collecte Crédits
13.255.584 6,8% 8.541.765 7,1%
MOYENS Effectifs (Equivalent Temps Plein au 31/12)1.948 -1,0% Nombre d'Agences de proximité 93 -2,1% Nombre de points verts 527 0,4% Nombre d'automates bancaires 531 1,7%
SOCIETARIAT Nombre de Caisses Locales Nombre d'Administrateurs Nombre de Sociétaires
 
94 1.301 217.475  
PARTIE I
14.120.251 6,5% 9.389.391 9,9%
1.972 1,2% 93 0,0% 443 -15,9% 525 -1,1%
94 1.281 237.658
31/12/2006
12.409.680 1.548.915 211.211
400.498 178.665 55,4%
156.365 -55.768 92.472
6.063 8.065 1.030 77.314 0
15.056.005 10.095.990
1.995 93 392 519
94 1.284 243.297 5
Evol.
11,8% 8,6% 0,0%
5,2% 8,0%
16,6% 8,5% 10,0%
9,2% 9,9% -15,6% 23,9% -100,0%
6,6% 7,5%
1,2% 0,0% -11,5% -1,1%
 
 4. LES ACTIVITES DE COLLECTE ET DE CRÉDIT
Le Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine a déployé une activité particulièrement soutenue en 2006, aussi bien dans le domaine de la collecte que des crédits.  Avec une croissance de 6,6% au 31 décembre 2006, l’encours de collecte traduit un bon niveau d’activité, conforté par un contexte boursier devenu plus favorable sur cette période.  Mais c’est dans le domaine des crédits que la Caisse Régionale s’est illustrée à nouveau en 2006 : cette activité a été favorisée par des taux bas sur un marché particulièrement dynamique et dans un contexte fortement concurrentiel. Le niveau élevé des réalisations en hausse de 0,7% à 2 436M€, permet aux encours de progresser de 7,5%. Ils atteignent 10 096 M€. 4.1. LA COLLECTE Progression de 6,6% des ressources collectées à 15 056 millions d’euros. 16,0COLLECTE TOTALE 14,0 1120,,008,455,5529,,6323,445 8,0 46,,005,98 6,37 6,67 6,69 6,56 20,,001,71 1,70 1,74 1,91 2,25 2002 2003 2004 2005 2006 MONETAIRE EPARGNE TIERCE   L’encours total des ressources collectées, tant pour compte propre que pour compte de tiers, s’élève à 15 056 millions d’euros,en augmentation de 6,6%.  Globalement, le rythme d’évolution des encours en 2006 (+6,6%) est légèrement plus élevé qu’en 2005 (6,5%). L’avantage est donné cette année à la collecte monétaire et assurance-vie face à l’épargne logement qui ralentit du fait de la nouvelle réglementation fiscale sur les intérêts des PEL de plus de 12 ans.  Suivant les compartiments analysés, la situation au 31 décembre 2006 est la suivante :
 
PARTIE I
- Hausse de 16 % de l’épargne monétairesuite à une augmentation exceptionnelle de la collecte monétaire rémunérée (+220 M€ en 2006 contre  26 M€ en 2005) favorisée par la remontée des taux à court terme et la hausse des dépôts à vue de 121 M€ (+6,7%). - Diminution de 2,2% de l’épargneconservée au bilan suite à la décollecte sur l’épargne logement. - Hausse de 13,2% de la collecte hors bilanavec des progressions sensibles sur les OPCVM (+8,5%) et élevées sur l’assurance vie (+14,3%). 4.1.1. LA COLLECTE MONETAIRE Progression de 16% à fin décembre 2006 à 2 248 millions d’euros, (+12,8% en encours moyens fin de mois) due en partie à une forte hausse sur les Comptes à terme, Bons de caisse, Certificats de dépôts négociables (CDN).  Comptes ordinaires :  Les encours des comptes ordinaires ont progressé régulièrement permettant d’afficher une hausse de 6,3% en encours moyens.La progression annuelle en encours fin de mois (au 31 décembre) ressort à +6,7%.  Comptes à terme, Bons de caisse, Certificats de dépôts négociables (CDN) : La progression de ces encours représente 139 M€ sur l’exercice, multiplié par 3,2 par rapport à l’exercice 2005, suite à la hausse en fin d’année des taux court terme.   
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  4.1.2. L’EPARGNE CONSERVEE Diminution de -1,96% à 6 564 millions d’euros.  8,0 EPARGNE BILANTIELLE 7,0 1,110,930,85 6,01,15 5,00,89,019,059,049,161 0,83 4,0 3 3,0,213,00103,932,762, 2,0
1,006,155,104,132,1771, 0,0 2002 2003 2004 2005 2006 LIVRETS EL AUTRES PEP's   Le poids de l’épargne conservée s’établit à 43,6% fin 2006.  Les Livrets : Forte augmentation de l’encours moyen en 2006 (+125 M€) par rapport à 2005 (+92 M€). Ils progressent de 10,9% sur l’année 2006 (encours fin de mois). Cette progression est tirée principalement par la performance du CODEBIS (+48 M€) et du CODEVI (+18,1%). Les Livrets Epargne Populaire (+4,1%) ainsi que les Comptes sur Livrets (+5,1%) connaissent une bonne progression également par rapport à l’exercice 2005.  L’Epargne-Logement : Avec une évolution globale de -6,6%, l’épargne logement diminue fortement par rapport à 2005 (+3,8%). L’activité sur les Comptes Epargne Logement est en baisse par rapport à 2005 (encours moyen -4 M€ contre +18 M€ l’année précédente). Variation des encours des Plans Epargne Logement (-8,1% pour +4,9% en 2005) de -216 M€ suite aux retraits effectués par nos clients après la nouvelle
 
PARTIE I
réglementation fiscale sur les intérêts des PEL de plus de 12 ans.  PEP’s : Le rythme de sortie d’encours diminue en 2006 (-79 M€).  Autres : Le programme d’émission d’emprunts obligataires et de Titres Subordonnés Remboursables de CASA (64 M€) a permis de relayer les tombées d’échéances de l’exercice (31 M€). L’encours obligataires (emprunts CASA et TSR) progresse donc de 33 M€, soit +4,2%.  4.1.3. L BILANA COLLECTE HORS Progression de 13,2% à 6 244 millions d’euros  
CROISSANCE COLLECTE TIERCE 14%%%823,11,3 11,5% 10,1% 10%
6% 4,0%
2% 2002 2003 2004 2005 2006  L’activité sur la collecte tierce reste prédominante (+13,2%).  Les encours de produits d’assurance vie PREDICA progressent de 14,3% (15% en 2005).  L’évolution des encours d’OPCVM reste soutenue. Ils progressent de 8,5% (11,4% en 2005).   PREDICA : La progression globale (+14,3%) est tirée à la hausse par les produits en unités de compte en progression de 44% soit 327 M€. Deux événements y concourent : l’encours du produit haut de gamme Floriane lancé en 2002 progresse de 60% en 2006 (soit + 173 M€) et la progression de l’encours Prédissime 9 de 77% à
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 +143 M€ suite aux replacements effectués par nos clients d’une partie des retraits effectués sur les PEL.  OPCVM : L’encours des OPVCM augmente de 109 M€ sur l’exercice (soit +8,5%), cette hausse est liée en partie à la poursuite d’un programme ambitieux de FCP opportunité comportant une garantie totale ou partielle du capital qui a permis de collecter plus de 45 M€ .  Emprunts tiers : L’encours des emprunts tiers diminue de 25 M€ (soit –32,5%) affecté par l’arrivée à échéance d’obligations anciennement émises.  Produits d’assurance BGPI : Ils totalisent 230 M€ à fin décembre 2006, soit une forte progression de plus de 51,1%.  4.2. LES CREDITS +7,5% en 2006 à 10.096 millions d’euros 11,0 10,5ENCOURS CREDITS10,10 10,09 39 9,5, 9,08,54 8,57,97 8,07,51 7,5 7,0 6,5 6,0 2002 2003 2004 2005 2006  L’encours des crédits s’établit à 10.096 millions d’euros au 31 décembre 2006, soit une croissance sensible de 7,5%, bénéficiant d’une bonne dynamique sur l’ensemble des marchés.La Caisse Régionale réaffirme sa volonté d'accorder une véritable priorité à cette activité.  Les réalisations de crédit :  Les réalisations de crédits ont atteint en 2006 comme en 2005 un niveau élevé avec 2,436 milliards d'euros de nouveaux crédits.
 
PARTIE I
4.2.1. LES CREDITS PAR DESTINATION  L’évolution des encours de crédits gérés, suivant leur destination, traduit des financements à l’habitat encore très dynamiques (11,9% en 2006). La croissance des crédits d’équipement est soutenue à +5% contre un niveau de 2% en 2005. Les encours de crédits de trésorerie sont restés quasi stables par rapport aux résultats obtenus en 2005.   11,0CREDITS PAR DESTINATION (hors Ratt. & acc.) 9,0 7,0376,4735,204,195,6 ,3 5,0 1,20 ,28 1,47 1,45 3,01,10 1 1,02,94 3,02 3,08 3,14 3,30 -1,02002 2003 2004 2005 2006 EQUIPEMENT TRESO. CT & CONSO. HABITAT   4.2.2. LES CREDITS MARCHE PAR  L’analyse de l'activité “ crédits ” par marché prend également en compte les financements à court terme.  Le marché des particuliers améliore de 2 points son poids dans la structure globale des encours (41%) avec un rythme de progression toujours soutenu de 11,9% (14,4% en 2005). Le marché des professionnels progresse de +4,1%.  Le marché de l’agriculture reste stable (+0,6%)  Le marché des entreprises progresse de 10,1%. Ainsi, le poids de ce marché dans l’activité globale des crédits de la caisse régionale progresse de 0,5 point (15,9% en 2006 contre 15,5% en 2005).  L’accroissement des financements accordés permet à la Caisse Régionale de l’Anjou et du Maine de confirmer son positionnement comme banque du développement de sa région et de ceux qui y vivent.  
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5. LA DISTRIBUTION DES SERVICES BANCAIRES
Avec ses 93 agences de proximité regroupant 205 points de vente permanents, et quatre agences Entreprises, à Angers, Cholet, Laval et Le Mans, le Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine dispose du réseau d’agences le plus dense sur les départements du Maine-et-Loire, de la Mayenne et de la Sarthe.  Les services occupent une place de plus en plus importante dans les relations avec ses clients. Ainsi, le Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine, au travers des Comptes-Service dont bénéficient plus de 279 400 clients, apporte des réponses adaptées à l’ensemble de leurs besoins courants et permet toute la souplesse nécessaire à la gestion quotidienne de leur compte.  Enfin, le Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine peut proposer aujourd’hui à l’ensemble de ses clients une offre complète de couverture des risques IARD, prévoyance, santé sur sa clientèle de particuliers. Après avoir lancé cette offre assurance mi- 2002 auprès de ses clients agriculteurs, il l’a étendu en 2006 à ses clients professionnels.   
  
PARTIE I
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6. LES RESSOURCES HUMAINES  La Caisse Régionale de Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine réaffirme l’importance de la relation de proximité au travers de l’agence et du conseiller qui restent le pivot central de la relation client.  La formation des collaborateurs est une clé de la réussite. En 2006, la Caisse Régionale de Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine a investi plus de 6% de la masse salariale en formation. Cette formation répond à un triple objectif :   Permettre aux salariés de maîtriser au quotidien le métier pour mieux répondre aux attentes des clients,  Préparer et accompagner les changements technologiques ou organisationnels,  Proposer des parcours adaptés à chaque métier, dans le cadre de la gestion prévisionnelle des personnes et des emplois.  Le montant global des rémunérations allouées pendant l’exercice 2006 à l’ensemble des membres des organes de direction est de 1 612 K€.   6.1. LES EFFECTIFS MOYENS PAR CATEGORIE CATEGORIES DE PERSONNEL 2006 2005 2004 Cadres376 374367 TAM855 829844 Employés755 750733 TOTAL 1.986 1.953 1.944 *Effectif moyen annuel      
  
PARTIE I
6.2. POLITIQUE SALARIALE La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de l’Anjou et du Maine applique la convention collective nationale des Caisses Régionales de Crédit Agricole Mutuel. Les principales caractéristiques de la politique salariale sont les suivantes :   une valorisation du personnel grâce à une politique de mobilité et de promotion interne dynamique, accompagnée d’une politique de formation adaptée,  une volonté d’associer l’ensemble des salariés au développement de l’entreprise à travers un accord global de participation et d’intéressement qui peut être versé au choix du salarié dans un Plan d’Epargne Entreprise (PEE).             
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 7. LES PRINCIPAUX ACTIONNAIRES 7.1. REPARTITION DU CAPITAL Répartition du capital social au 31/12/2006   Parts sociales dont Caisses Locales dont Administrateurs de la Caisse régionale dont Crédit Agricole S.A.     Certificats Coopératifs d'Associés dont Crédit Agricole S.A. dont Public (*)     TOTAL (*) pas émission réalisée en 2006 7.2. DROIT DE VOTE Le nombre total des droits de vote est de 819 pour l’exercice 2006 dont 797 droits de vote collectifs attachés aux caisses locales, 21 droits de vote attachés au mandat d’administrateurs de la caisse régionale et 1 voix pour CA S.A. Aucun droit de vote n’est attaché aux Certificats Coopératifs d’Associés. Cependant, la qualité de sociétaire devant être préalablement reconnue à toute personne désirant souscrire des CCA, Crédit Agricole S.A. a souscrit une part sociale de la Caisse Régionale en novembre 2001 pour lui permettre de participer à l’augmentation de capital, décidée par l’AGE du 20 novembre 2001, qui lui était réservée. Au 31 décembre 2006, en conséquence, l’Associé le plus important, en termes de détention de capital, est Crédit Agricole S.A. qui détenait 3 462 475 CC , A             
PARTIE I
     Nomb s le re Montant nominal %c adpaintal       9 815 920 149 692 780,00 70,87 9 815 886 149 692 261,50 99,99 33 503.25 ns 1 15,25 ns             4 033 975 61 518 118,75 29,13 3 462 475 52 802 743,75 85,83 571500 8 715 375,00 14,17             13 849 895 211 210 898,75 100     représentant 25% du capital, et disposait d’un droit de vote ; sociétaire le plus important était lale second Caisse locale de LAVAL-EST qui détenait 330 836 parts sociales, ce qui représentait 2,39 % du capital et 16 droits de vote, ce qui représentait 2,0% des droits de vote. 7.3. CONTROLE Aucune personne physique ou morale, agissant seule ou de concert, ne contrôle le capital de la Caisse régionale. Par ailleurs, il n’existe aucun pacte dactionnaires.             8. LES MOYENS TECHNIQUES En accompagnement de la réorganisation commerciale des agences, de nombreux aménagements mobiliers ont permis d’adapter les espaces d’accueil et de conseil de certaines d’entre elles suivant un nouveau 11
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