Généralités. L écolier. Développement et Intelligence. Caractère. Goûts. Aptitudes. Anormaux et Surnormaux - compte-rendu ; n°1 ; vol.28, pg 756-769
15 pages
Français

Généralités. L'écolier. Développement et Intelligence. Caractère. Goûts. Aptitudes. Anormaux et Surnormaux - compte-rendu ; n°1 ; vol.28, pg 756-769

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Description

L'année psychologique - Année 1927 - Volume 28 - Numéro 1 - Pages 756-769
14 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1927
Nombre de lectures 14
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

a) Généralités. L'écolier. Développement et Intelligence.
Caractère. Goûts. Aptitudes. Anormaux et Surnormaux
In: L'année psychologique. 1927 vol. 28. pp. 756-769.
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a) Généralités. L'écolier. Développement et Intelligence. Caractère. Goûts. Aptitudes. Anormaux et Surnormaux. In: L'année
psychologique. 1927 vol. 28. pp. 756-769.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1927_num_28_1_6497756 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
la vue contre les radiations de lumières artificielles. — B. B..
XGVII, 1927, p. 388-390.
Les radiations les plus éclairantes étant les moins irritantes pour
l'œil, on peut se protéger sans perdre beaucoup de lumière : un écran
jaune-citron arrête les rayons ultra-violets qui, en faible quantité
traversent encore le verre des lampes et fatiguent la vue à la longue,
les rayons vraiment nocifs étant au-dessous de 2900 A.
Pour lire et écrire, un abat-jour conique avec écran de cellophane
à la base est la méthode la plus pratique. H. P.
2° Applications Pédagogiques
a) Généralités. L'écolier. Développement et Intelligence.
Caractère. Goûts. Aptitudes. Anormaux et Surnormaux
986. — J. JOTEYKO. — Postulaty szkolytwoczej na prawach
Struktur psychic znych (La Psychologie de la Forme dans ses
rapports avec les thèses de Vécole active). — Pols. Ar. Ps., I, 3, 1927,
p. 197-234.
Après avoir résumé de façon particulièrement claire les principes
généraux de la nouvelle Psychologie de la Forme, l'auteur aborde le
problème de la Pédagogie structurale. — Ce chapitre reste en effet
encore à peu près totalement inexploré ; en rapport avec ses travaux,
Koffka s'est essayé à transposer les principes fondamentaux de la
psychologie de la Forme dans le domaine de la psychologie de l'enfant,
et a pu démontrer que la connaissance du développement psychique
de l'enfant suppose l'étude des structures qui naissent en lui à des
âges divers. Mais ces recherches n'ont pas un caractère pédagogique,
l'évolution de l'enfant n'y est envisagée que comme contribution à la
psychologie de l'adulte. La Pédagogie structurale permettra, pense J.
une pénétration beaucoup plus intime de la psychologie dans le
domaine pédagogique. Jusqu'ici la psychologie était trop rigide,
trop précise, pas assez pratique. La conception structurale au contraire
est beaucoup plus près de la vie et par là même doit séduire davan
tage le pédagogue et lui sembler de suite beaucoup plus utilisable.
Au point de vue des méthodes à adopter, il est évident que les mé
thodes syncrétiques comme celle de Decroly, les procédés dits de
globalisation reçoivent une éclatante confirmation théorique de leur
valeur, au reste amplement démontrée par les succès obtenus durant
20 ans de pratique constante. — ■ Dans le domaine de l'éducation des
sens, les mêmes considérations vont intervenir ; la loi des sensations
associées doit être envisagée comme une constellation de stimulants
qui constituent le point de départ des structures. L'association avec
son pouvoir enrichissant se comprend d'autant mieux si on la consi
dère comme la qualité d'appartenir à une même structure. — Une
autre conséquence importante de la pédagogie structurale est qu'elle
amènera une interpénétration beaucoup plus étroite des " différentes
branches de l'enseignement. Les classes au lieu de présenter seulement APPLICATIONS PÉDAGOGIQUES 757
une succession de matières hétérogènes devront être organisées pour
que les éléments d'une même structure soient enseignés en même
temps, ou du moins successivement. Cela permettra de laisser se
développer librement ces centres structuraux que sont les intérêts,
et d'opérer des fermetures de structures par le moyen de l'esprit
créateur, alors que dans notre organisation pédagogique actuelle, ces
structures restent trop souvent « ouvertes » sans conclusion, qui
tendent dans bien des cas à engendrer des structures pernicieuses,
point de départ de mauvaises habitudes mentales.
Beaucoup d'idées extrêmement intéressantes et très judicieus
ement exprimées, qui viennent bien à leur heure, au moment où les
conséquences de la nouvelle conception psychologique de la Gestalt
s'affirment chaque jour plus importantes. M. F.
987. — J. JOTEYKO. — L'unité de l'enseignement au point de vue
psychologique et social {en polonais). — Pols. Ar. Ps., I, 2, 1927,
p. 89-106.
Etude générale sur l'Ecole Unique, et la façon dont il faudrait la
réaliser pratiquement selon J. pour qu'elle remplisse réellement le
but qu'elle se propose. Le principe d'organisation envisagé comprend
une suite d'examens, de « sélections » opérées par des tests scolaires
•et des tests d'intelligence. Les sélections auraient lieu : 1> A 14-
15 ans (fin de l'école primaire) ; 2° A l'entrée du lycée öu de l'école
professionnelle ; 3° Vers la fin des études secondaires ; 4° A l'entrée
des écoles supérieures. Tout ceci n'a rien de bien révolutionnaire.
L'auteur nous semble mériter plus d'attention quand elle réclame
avec insistance qu'aucune sélection ne soit opérée avant 14-15 ans,
considérant que c'est à ce moment seulement qu'on peut parler d'ap
titudes nettement dessinées et montrant aussi qu'une sélection plus
précoce défavorise la classe populaire, qui est souvent en retard au,
début des études, par suite des mauvaises conditions du milieu, mais
peut parfaitement rattraper le retard dans la suite de l'enseigne
ment.
Enfin J. rappelle que depuis 1911 elle ne cesse de réclamer comme
une nécessité urgente la création de l'emploi de psychologue scolaire,
chargé d'assurer le meilleur développement psychique possible des
enfants, tout comme est chargé de ce soin dans le domaine physique,
le médecin des écoles. M. F.
988. — J. BOURJADE. — La nouvelle psychologie de l'enfance et
l'art de l'éducation. — B. S. A. B., XXVII, 1927, 11, p. 4-19.
Etude critique des livres récents de Jean Piaget, considérés sur
tout du point de vue pédagogique. L'animisme, l'artificialisme, le
finalisme enfantin, loin de constituer une difficulté pour l'éducateur
sont au contraire favorables. Et nulle méthode spéciale n'est nécess
aire, les techniques traditionnelles s'adaptent fort bien, selon l'au
teur, à l'âme de l'enfant telle qu'elle nous apparaît aujourd'hui. La
participation facilite l'éducation esthétique : le sentiment esthé
tique n'est-il pas lié à 1'« Einfühlung » à la communion avec la na
ture ? Le finalisme, l'égocentrisme conduisent à l'humanisme, 758 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
à l'étude de la civilisation. L'artificalisme mène aux sciences de la»
nature, dont il est, en somme un premier aspect.
Au point de vue psychologique, l'auteur ■ — qui a discuté ailleurs
les thf ses de Piaget — se contente ici de se démander si la méthode-
clinique appliquée aux enfants ne produit pas une sorte de condens
ation, d'intensif iation artificielle, des tendances de la mental
ité enfantine, réelles, mais peu fixées. D'autre part, l'animisme et
l'artificialisme ne résultent-ils pas d'une indissociation, d'une impuis
sance d'analyse ? Et ne faudrait-il pas s'attacher surtout, en péda
gogie et en psychologie de l'enfant, à mettre en lumière l'évolution
et le rôle de F« intelligence fonctionnelle » ? subordonnée à la « mental
ité » dans les premières années, elle se libère et domine le «mentalité »•
ensuite. Mais même durant la première période cette « intelligence
fonctionnelle » existe et les éducateurs doivent s'attacher à la déve
lopper. I. -M.
989. — G. ROBIN — La Psychanalyse et ses applications à l'édu-
. ation de l'enfant. — Prophyl. Ment. IV, 12, 1927, p. 392-398.
Les conceptions freudiennes et leurs applications pédagogiques, ne
sont, semble-t-il, que le prétexte de cet article. Les parents, comme les
éducateurs, y trouveront

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