Lois de la sensation et de la perception. Synesthésies. Illusions et sens spatial. - compte-rendu ; n°1 ; vol.37, pg 514-533
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Lois de la sensation et de la perception. Synesthésies. Illusions et sens spatial. - compte-rendu ; n°1 ; vol.37, pg 514-533

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Description

L'année psychologique - Année 1936 - Volume 37 - Numéro 1 - Pages 514-533
20 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1936
Nombre de lectures 15
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

a) Lois de la sensation et de la perception. Synesthésies.
Illusions et sens spatial.
In: L'année psychologique. 1936 vol. 37. pp. 514-533.
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a) Lois de la sensation et de la perception. Synesthésies. Illusions et sens spatial. In: L'année psychologique. 1936 vol. 37. pp.
514-533.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1936_num_37_1_5441514 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
rapports des parents permettent de conclure que le nombre des
périodes de sommeil 15 min ou davantage diminue avec âge
56 semaines on en trouve deux fois moins semaines Or
trouve deux accroissements -semaines cause du repas dans la
nuit et 28 semaines cause des troubles de la dentition
Sensation et Perception
RALIT
Lois de la sensation et de la perception
Synesthésies Illusions et sens spatial
838 PI RON La connaissance sensorielle et les problèmes
de la vision In-80 de 93 pages Paris Hermann 1936 Actualités
scientifiques et industrielles)
Ouvrant une collection de monographies de physiologie des
sensations ce volume contient quatre études une première de
caractère général sur les bases sensorielles de la connaissance
conférence au Congrès de Chicago de American Association for
Advancement of Sciences) une seconde plus technique sur le
mécanisme physiologique de appréciation sensorielle quantitative
et deux conférences faites dans des réunions annuelles de la Société
Opthalmologie de Paris sur les théories de la vision et sur le pro
blème de la vision des couleurs
839 FREEMAN Relative adaptation times of the five
senses Les temps adaptation relatifs des cinq sens Ps
Mon. XLVII 1936 94-107
On toujours considéré comme la plus grande difficulté dans
la mesure du temps relatif le fait que les mesures
intensité ne sont pas directement comparables dans les différents
domaines sensoriels
part pourtant du principe il est possible obtenir psychi-
quement un équivalent des différentes intensités dans les termes du
stimulus liminaire
Voilà les stimuli employés pour le goût un sel chlorure de
sodium pour odorat un arôme résineux acétate éthyle
pour la somesthésie une pression avec une pointe métallique
émoussée pour la vision une nuance du vert 5.300 env.
pour ouïe un son pur de 932 d.)
Les temps adaptation pour les cinq modalités sensorielles
étaient les suivants
Pression Goût Vision Odorat Ouïe
Sujet Moy Dév Moy Moy Dév moy Moy Moy t.
M..... 7.2 0.7 109 1.7 74.2 15.9 84.4 4.6 1017.2 125
It..... 9.2 1.8 12.4 2.2 10.5 26.9 5.4 994 70- SENSATION ET PERCEPTION RALIT 515
II est évident que ces résultats doivent être considérés critique-
inent car malgré le grand soin pris dans le choix de cinq inten
sités équivalentes le mode application était pas comparable
Dans les expériences sur la vision le stimulus agissait sur le récep
teur tout entier tandis que dans la pression et le goût action du
stimulus était limitée suivant la théorie de Helmhoitz oreille
qui donné le temps adaptation le plus long ne serait excitée
que localement
840 KOLBE Die zeitliche Veränderung der Unterschieds
schwelle während der Einwirkung eines stetigen Dauerdruck
oder Dauerlichtreizes La modification temporelle du seuil diffé
rentiel pendant Inaction ïun stimulus stable de pression ou de
lumière durable fur Sin. LXVII 1936 53-68
La modification de sensibilité au cours de action continue un
stimulus est-elle un phénomène de fatigue ou adaptation Pour
contribuer la solution du problème auteur sous la direction
de Dittler examiné comment varie la sensibilité différentielle
au cours une action prolongée du stimulus pour une sensation
de pression ou une sensation lumineuse En faveur de la conception
adaptative lui paraissent valoir les résultats obtenus montrant que
lorsque le stimulus additif survient un temps variable après le début
de la stimulation le seuil différentiel abaisse abord très vite
quand croît intervalle puis tend vers une valeur constante la
courbe empirique dessinant sensiblement une branche hyperbole
Au bout une douzaine de secondes pour une stimulation de
pression une quinzaine pour un stimulus lumineux le seuil devient
stable Malheureusement les résultats concernent des échelles arbi
traires liées un dispositif expérimental peu précis et on ne sait
quelle est la valeur réelle du seuil différentiel
En admettant une proportionnalité de cette valeur réelle avec
les chiffres relatifs au dispositif employé et lus sur une vis micromé
trique réglant une ouverture du diaphragme) voici séries de valeurs
obtenues pour le seuil différentiel des intervalles variables appli
cation un stimulus additif les premières en observation centrale
les suivantes en observation périphérique de localisation non
précisée avec deux niveaux chaque fois de brillance non définis)
dont un serait le triple de autre en employant ampoule ou
ampoules 25 volts pour éclairer diffuseur réfléchissant renvoyant
la lumière sur la plage observation)
Intervalle sec. 05 10 15
Obs centrale 152 77 51 26 23 21 19 18
217 167 87 53 32 24 14
Obs périph 157 87 53 23 23 20 18 18
147 77 5.1 27 23 19 14
identité peu près complète des valeurs pour des régions de
fixation différente et des niveaux différents de brillance est pas
sans être un peu suspecte 516 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
841 CROZIER On the sensory discrimination of inten
sities Sur la discrimination sensorielle des intensités Pr
of Ac of Sc. XXII 1936 412-416
auteur envisage Jes données statistiques relatives la fois
au seuil différentiel relatif en fonction de intensité et autres
effets de excitation en fonction de cette même il adresse
la fréquence critique de papillotement et acuité discrimination
spatiale chez abeille
En choisissant des unités convenables il obtient sur une échelle
logarithmique des intensités une superposition des valeurs obtenues
pour les trois effets unifiés comme
Dès lors il apparaîtrait que la loi de effet intensité sensorielle
une stimulation comme fonction de intensité de celle-ci comporte bande qui mesure la probabilité de production de la réponse
842 UPTON et CROZIER On auditory intensity
discrimination Sur la discrimination de intensité auditive
Pr of Ac of Sc. XXII 1936 417-420
Contre utilisation par Hecht des valeurs de accroissement
différentiel juste discriminable des sensations visuelles pour inter
prétation des mécanismes chimiques de excitation périphérique
les auteurs objectent que les mêmes caractéristiques de la fraction
différentielle peuvent se rencontrer pour différents organes sensoriels
et dans des cas où le processus dépend nettement de phénomènes
centraux
Ils établissent en adressant aux sensations auditives et en
mesurant le seuil différentiel par la plus petite différence entre
intensité de deux sons conduits séparément chaque oreille
capable de provoquer une latéralisation apparente de la source sonore
quittant le plan médian où elle est localisée quand les intensités
sont égales des deux côtés Reprenant leurs déterminations statis
tiques ils trouvent que erreur probable du seuil différentiel reste
effectivement proportionnelle la valeur relative de ce seuil comme
pour les sensations visuelles
843 PRATT Interaction across modalities simultaneous
stimulation Interaction travers modalités sensorielles stimula
tion simultanée) Pr of Ac of Sc. XXII 1936 562-566
Entre deux termes une couple comparer un stimulus inter
calaire très intense influence vers la décroissance un faible
une influence vers accroissement dans les estimations du moins
quand le stimulus intercalaire est de même modalité sensorielle
sinon il est sans influence part la distraction qui peut en suivre)
Toutefois après Von Hornbostel il aurait une certaine com
munauté entre modalités différentes une clarté par exemple
mune la vision audition olfaction et après Zietz 11931)
la hauteur tonale serait per ue plus élevée sous action un éclaire-
ment plus fort de même que la brillance lumineuse dépendrait
de la hauteur excitations sonores simultanées ET PERCEPTION GEN KALITES 517 SENSATION
repris cet égard des expériences systématiques en faisant
comparer par couples des brillances de cercles lumineux accompa
gnant un des termes un son de 4.000 et autre un son
de 550 Or avec sujets 1.250 jugements) aucune influence
de

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