Problèmes de pédagogie aux stades supérieurs - compte-rendu ; n°1 ; vol.36, pg 729-739
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Description

L'année psychologique - Année 1935 - Volume 36 - Numéro 1 - Pages 729-739
11 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1935
Nombre de lectures 13
Langue Français

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c) Problèmes de pédagogie aux stades supérieurs
In: L'année psychologique. 1935 vol. 36. pp. 729-739.
Citer ce document / Cite this document :
c) Problèmes de pédagogie aux stades supérieurs. In: L'année psychologique. 1935 vol. 36. pp. 729-739.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1935_num_36_1_30756APPLICATIONS PÉDAGOGIQUES 729
2° Raisonnement littéraire : on donnait 5 poésies, une question
à la fin de chaque. A chaque question, on proposait 5 réponses parmi
lesquelles il fallait trouver la bonne.
Pour les mathématiques c'est seulement à partir de la 10e classe
que n'importe quel élève peut résoudre n'importe quel problème,
pour les lettres, ce résultat est atteint à la 8e classe. G. G.
1342. — G. E. RICKARD. — The recognition vocabulary of primary
pupils (Le vocabulaire reconnu par des élèves de V école primaire).
— J. of Ed. Res., XXIX, 4, 1935, p. 281-291.
Pour l'établissement d'un vocabulaire qui devrait être enseigné
en premier lieu aux enfants, l'A. a entrepris un travail d'analyse
dont voici les étapes :
1° Utilisation de la liste des mots de Wheeler et Howell (dans Ele
mentary School Journal, XXXI, p. 24) comme vocabulaire de base :
2° Recherche dans ce vocabulaire des mots suivant le degré
de la reconnaissance par pure perception visuelle ';
3° Détermination des facteurs d'une plus ou moins grande facilité
de recognition :
a) La fréquence de l'usage oral, favorisant la reconnaissance ;
b) La longueur des mots, les mots plus courts étant plus facil
ement identifiés ;
c) La forme et la configuration du mot ; les lettres entrant dans
sa composition peuvent présenter des degrés différents de difficulté
(étude de Tinker) ;
4° Facteurs de moindre importance : la reconnaissance des lettres
séparées qui ne paraît pas influencer la du mot comme
entité, etc.
Les recherches ont été faites sur 207 enfants des classes primaires
à Chicago en octobre 1932. G. B.
c) Problèmes de pédagogie aux stades supérieurs1
1343. — J. DREVER. — The place of psychology in the training
and work of the teacher (La de la psychologie dans l'éducation
et le travail des professeurs). — Br. J. of Ed. Ps., V, 3, 1935, p. 242-
250.
On peut examiner et résoudre la question de trois points de
vue : celui du rapport entre la psychologie et la pédagogie et, dans
ce cas, il est incontestable que la théorie pédagogique doit avoir
pour base la psychologie ; celui de l'importance de la psychologie
dans la préparation de l'éducateur et dans ce cas il est évident que cette doivent intervenir des études scientifiques ;
celui du rapport entre la psychologie et les problèmes pratiques
de l'école et, dans ce cas, il est certain que le maître doit, en Jtoutes
circonstances, posséder une connaissance approfondie des principes
et des lois de la psychologie en général et de la psychologie contem
poraine en particulier. H. A.
1. V. aussi les n°s 1252, 1253, 1259, 1305. 730 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
1344. — A. W. WOLTERS. — Psychology in the training of teachers
(La psychologie dans Véducation des professeurs). — Br. J. of
. Ed. Ps., V, 3, 1935, p. 250-256.
D'après les réponses faites par des étudiants diplômés à un
questionnaire sur la valeur de la psychologie, on peut conclure
que la psychologie les intéresse, non seulement en tant que méthode
expérimentale, mais également en tant que moyen d'étude et de
connaissance du développement de la personnalité. En outre, ces
futurs éducateurs souhaitent que la psychologie pédagogique soit
plus fréquemment considérée comme une branche de la psychologie
sociale. H. A.
1345. — A. L. EVANS. — The place of psychology in the training
of teachers (La place de la psychologie dans Véducation des pro
fesseurs). — Br. J. of Ed. Ps., V, 3, 1935, p. 257-265.
L'auteur apporte surtout ici le résultat d'une expérience per
sonnelle de trente ans dans des écoles normales d'étudiantes. Ces
étudiantes, en général d'ailleurs assez jeunes et inexpérimentées,
constatent que l'enseignement de la psychologie leur a permis
d'arriver à une plus profonde connaissance d'elles-mêmes, à une
plus facile adaptation au milieu social et à une plus juste compré
hension des besoins de l'enfance. Mais il est difficile de prévoir
dans quelle mesure ces étudiantes pourront, plus tard, associer
ces principes psychologiques à leur pratique pédagogique. H. A.
1346. — H. GASON. — The courses in experimental psychology
(Les cours de psychologie expérimentale) . — J. of gen. Ps., XIII,
1, 1935, p. 176-185.
G. a réuni les opinions de 37 psychologues, qui rejoignent souvent
les siennes. Il demande que la recherche individuelle libre commence
de bonne heure, alors qu'on se préoccupe exclusivement, à un âge
où le côté « humain » de la psychologie a le plus d'attrait pour les
élèves, de les bourrer de techniques, routines, appareils, méthodes
expérimentales et statistiques. Pour cette recherche, il faudrait
laisser à l'élève le choix du problème et de la méthode, le professeur
se bornant à quelques directives.
L'année préparatoire ne devrait pas comporter l'enseignement
de techniques ; mais les leçons devraient s'étendre à la psychologie
animale, génétique, pathologique et appliquée. Ensuite, les techniques
physiques et mathématiques seraient enseignées, sans les abus
actuels ; les méthodes statistiques, notamment, seraient exposées
d'après les données recueillies par les élèves au cours de leurs recher
ches libres. G. D.
1347. — V. G. MYERS. — Who offers what in the psychology of
education (Les cours dont on dispose sur la psychologie de Védu
cation). — J. of ed. Ps., XXVI, 6, 1935, p. 468-470.
Cours offerts dans les universités, dans les « liberal arts colleges » et
dans les écoles normales. Cours de psychologie de l'éducation
qui a une importance primordiale dans les 3 enseignements. Psychol
ogie générale moins importante les écoles normales que dans PÉDAGOGIQUES 731 APPLICATIONS
les 2 autres. Psychologie de l'enfant plus importante que psychologie
de l'adolescent. Une certaine importance est également accordée
à l'orientation professionnelle, àTétude des tests, l'hygiène mentale,
l'éducation du caractère. G. G.
1348. — H. A. MURRAY. — Psychology and the university (La
psychologie et V université). — Ar. of N., XXXIV, 1935, p. 803-817.
Après avoir critiqué la psychologie universitaire des États-Unis,
l'auteur, qui montre l'importance croissante de cette discipline dans
la vie sociale, réclame dans une des grandes universités la création
d'une véritable école de psychologie, sur le modèle des écoles de médec
ine, avec admission après études préalables assez complètes (en
physique et chimie, biologie, anthropologie, sociologie, etc.).
Au cours de 4 années d'études, on enseignerait la méthodologie
scientifique, la physiologie générale et la neurophysiologie, l'anatomie
nerveuse, puis la psychologie générale, la psychologie des sens,
la psychologie animale et pédologique, l'étude de la personnalité,
la psychopathologie, la psychanalyse et la psychothérapie, avec
un cours élémentaire de clinique médicale générale, enfin la psychol
ogie sociale (esthétique, religieuse, etc.).
Dans une telle école, où on assemblerait les psychologues éminents
de diverses tendances, on verrait, pense M., les introspectionnistes
« sortir de leur cul-de-sac », les behavioristes abandonner leur « méta
physique juvénile », les psychanalystes définir leurs concepts et
penser enfin clairement. L'unification théorique serait le plus noble
but que pourrait poursuivre une telle école universitaire. Et la vie
pratique bénéficierait pleinement d'une telle organisation en laquelle,
à l'aube des temps nouveaux qui lui paraissent s'ouvrir, l'auteur
met sa confiance et ses espoirs. H. P.
1349. — G. A. OAKLEY. — A first survey of psychological testing
in secondary and other schools (Première description de l'appli
cation des tests dans les écoles secondaires et autres). — Hum. F.,
IX, 4, 5, et 10, 1935, p. 138-146, 186-200, 364-365.
Le lecteur s'intéressant au dév

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