Procédés de calcul. Moyennes. Corrélations. Méthodes d analyse factorielle - compte-rendu ; n°1 ; vol.40, pg 821-831
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Procédés de calcul. Moyennes. Corrélations. Méthodes d'analyse factorielle - compte-rendu ; n°1 ; vol.40, pg 821-831

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L'année psychologique - Année 1939 - Volume 40 - Numéro 1 - Pages 821-831
11 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié par
Publié le 01 janvier 1939
Nombre de lectures 95
Langue Français

Extrait

4° Procédés de calcul. Moyennes. Corrélations. Méthodes
d'analyse factorielle
In: L'année psychologique. 1939 vol. 40. pp. 821-831.
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4° Procédés de calcul. Moyennes. Corrélations. Méthodes d'analyse factorielle. In: L'année psychologique. 1939 vol. 40. pp.
821-831.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1939_num_40_1_5869PROCÉDÉS DE CALCUL. iMOYENNES. CORRÉLATIONS 821
(Adaptation des tests à la correction par machine). — J. of appl.
Ps., XXIII, 6, 1939, p. 709-719.
On sait qu'un dispositif mécanique a été mis au point, aux États-
Unis, pour la correction automatique des tests. Le principe en est
basé sur un système de chercheurs qui font avancer un compteur
chaque fais qu'ils rencontrent une « bonne réponse » c'est-à-dire un
trait fait par le sujet à un endroit déterminé à l'aide d'un crayon
spécial qui rend la ligne marquée conductible à l'électricité. Les tests
adaptés à la correction automatique comportent d'une part le cahier
des tests proprement dit, qui contient l'explication des consignes et les
questions et, d'autre part, une feuille sur laquelle le sujet marque ses
réponses. K. montre que les tests les plus divers peuvent être adaptés
à ce système de correction. La forme habituelle des tests est à peine
modifiée dans les tests du type « exact-inexact » ou « choix multiple ».
Ceux qui comportent habituellement des réponses plus complexes
doivent être transformés en tests du type de « choix multiple ».
D. W.
4° Procédés de calcul. Moyennes. Corrélations
Méthodes d'analyse factorielle
1490. — F. M. URBAN. — The method of equal appearing intervals
(La méthode des intervalles d'apparence égale). — - Psychometrika,
IV, 2, 1939, p. 117-131.
Analyse psychométrique des résultats publiés par Guilford sur
un test de triage de cartes destiné à faire jouer la perception globale
d'une densité de points. Les lois de Weber et de Fechner se montrent
valables. A. F.
1491. — R. M. W. TRAVERS. — The use of a discriminant function
in the treatment of psychological group differences (V emploi d'une
fonction discriminatrice dans le traitement des différences psycholo
giques entre groupes). — Psychometrika, IV, 1, 1939, p. 25-32.
Description d'une méthode pour déterminer la série de poids à
donner aux différents tests d'une batterie de façon à séparer au
maximum les notes globales de deux groupes distincts. A. F.
1492. — DAVID G. RYANS. — A note on methods of test validation
(Note sur les méthodes de détermination de la validité d'un test). —
J. of ed. Ps., XXX, 4, 1939, p. 315-319.
L'A. conseille d'employer la technique de l'analyse factorielle
pour déterminer le degré de validité d'un test. Il donne, très briève
ment, l'indication des travaux nécessités avec un exemple à l'appui.
J. M.
1493. — G. BURT et W. STEPHENSON. — Alternative views on
correlations between persons (Points de vue opposés sur les corréla
tions entre personnes). — Psychometrika, IV, 4, 1939, p. 269-281.
Polémique entre les deux auteurs, qui développent côte à côte
leurs idées, souvent antagonistes, dans un article commun consacré
aux corrélations entre personnes (par opposition aux corrélations ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES 822
entre traits mentaux). Les techniques de calcul utilisées (multifacto-
riellepour B., bifactorielle pour S.) ne sont pas la cause essentielle du
désaccord, qui réside plutôt dans la nature des buts que chaque
auteur se propose d'atteindre. Comme conséquence de son « Principe
de réciprocité », B. maintient que les facteurs de groupe obtenus en
mettant les personnes en corrélation doivent être les mêmes, en
nombre et en nature, que dans les corrélations entre traits ; en
particulier les facteurs seront peu nombreux (principe de parcimonie)
et ne représenteront pas autre chose que des modes de classification
largement arbitraires. Pour S., au contraire, les facteurs seront
nombreux et auront une signification concrète ; le but sera de définir
le champ d'une typologie « personnaliste ». B. a une conception des
types qui relie ces derniers aux facteurs découvrables par la méthode
ordinaire (dite technique r), tandis que dans la méthode de S. (dite
technique Q), on cherche à mettre en évidence des entités naturelles,
dont le nombre ne saurait se limiter à celui des quelques facteurs
généraux obtenus par l'analyse ordinaire. A. F.
1494. — W. STEPHENSON.— Two contributions to the theory of
mental testing. I. A new performance test for measuring abilities
as correlation coefficients (Deux à la théorie des tests
mentaux. Un nouveau test d'intelligence pratique pour mesurer les
aptitudes comme de corrélation) . — Br. J. of Ps., XXX,
1, 1939, p. 20-35.
On se souvient que l'A. avait introduit dans le domaine de la
psychométrie un nouveau facteur Q destiné à établir des corréla
tions entre les personnes comme r les établit entre les tests. Ce
facteur Q a permis d'isoler des types en fournissant les indices de ces
types dans l'étude de la personnalité, de la valeur hédonique de
certaines odeurs et des prédilections esthétiques. Dans la théorie des
deux facteurs, avec la technique r on faisait la distinction entre les
individus ayant un facteur g inné ou acquis ; plus la saturation d'un
test en g étant grande plus la précision est grande. Dans la technique q
l'inverse est vrai, c'est-à-dire que ce seront les tests eux-mêmes qui
seront considérés maintenant comme possédant des valeurs innées ou
acquises de g. Toutes les personnes d'un certain type donneront des
résultats analogues à un même test, et la technique q servira dans la
psychologie générale à définir des types de même que la technique r
sert à découvrir des différences individuelles.
L'A. s'appuie sur le point de vue de Burt selon lequel le calcul
des corrélations entre tests ou personnes est pure affaire de convent
ion, et dépend de la prédominance des résultats renseignant sur les
tests ou sur les personnes. Pour pousser plus loin ces études il faudrait
établir des tests qui varient moins selon la manière dont on les
interprète. L'A. propose un exemple simple, il s'agit d'apprécier le
degré de ressemblance de 20 tests avec l'étalon, chaque test ayant
avec lui un degré fixé de ressemblance. L'individu au contraire sera
considéré comme une variable, en déterminant des conditions d'expé
rience agissant différemment sur son habileté. On pourra donc à
partir d'un étalon invariable étudier les corrélations des aptitudes de
différents sujets, les différences individuelles dépendant donc directe- PROCÉDÉS DE CALCUL. MOYENNES. CORRÉLATIONS H'2'.i
ment du test et non de considérations statistiques de comparaison
«ntre personnes. I. L.
1495. — KENNETH H. BAKER. — Item validity by the analysis of
variance : an outline of method (Validité des questions d'un test
par l'analyse de la variance : esquisse d'une méthode). — Ps. Rec,
III, 19, 1939, p. 242-248.
B. décrit, à l'usage d'étudiants débutants de Psychologie et de
Pédagogie, les étapes du calcul de la variance d'un ensemble de
résultats. " J. St.
1496. — W. H. BURTON. — Some notes on validity (Quelques notes
sur la validité). — J. of Ed. Res., XXXII, 8, 1939, p. 605-607.
La détermination de la validité d'une épreuve est au point de
départ de toute recherche, d'où la nécessité d'en rappeler la définition
et de donner quelques illustrations à l'appui. Les garanties de validité
d'une épreuve reposent 1) sur les jugements d'experts à partir de
critères logiques ou d'observations contrôlées et non contrôlées ;
2) sur le calcul des corrélations entre épreuves soumises à la critique
et épreuves précédemment reconnues comme valables. I. L.
1497. — DAVID F. VOTAW et L. DANFORTH. — The effect of
method of response upon the validity of multiple-choice tests
(Influence de la méthode de réponse sur la validité des tests de choix
multiple). — J. of éd. Ps., XXX, 8, 1939, p. 624-627.
Le recours a la méthod

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