Psychologie appliquée : Par F. Bacher, J. Cambon, V. Ledoux, A. Leon, J. Leplat, G. Levy-Leboyer, G. de Montmollin, M. Reuchlin, E. Valin - compte-rendu ; n°1 ; vol.57, pg 260-281
23 pages
Français

Psychologie appliquée : Par F. Bacher, J. Cambon, V. Ledoux, A. Leon, J. Leplat, G. Levy-Leboyer, G. de Montmollin, M. Reuchlin, E. Valin - compte-rendu ; n°1 ; vol.57, pg 260-281

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Description

L'année psychologique - Année 1957 - Volume 57 - Numéro 1 - Pages 260-281
22 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1957
Nombre de lectures 27
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

F. Bacher
J. Cambon
V. Ledoux
A. Léon
J. Leplat
C. Lévy-Leboyer
G. de Montmollin
Maurice Reuchlin
E. Valin
VII. Psychologie appliquée : Par F. Bacher, J. Cambon, V.
Ledoux, A. Leon, J. Leplat, G. Levy-Leboyer, G. de Montmollin,
M. Reuchlin, E. Valin
In: L'année psychologique. 1957 vol. 57, n°1. pp. 260-281.
Citer ce document / Cite this document :
Bacher F., Cambon J., Ledoux V., Léon A., Leplat J., Lévy-Leboyer C., de Montmollin G., Reuchlin Maurice, Valin E. VII.
Psychologie appliquée : Par F. Bacher, J. Cambon, V. Ledoux, A. Leon, J. Leplat, G. Levy-Leboyer, G. de Montmollin, M.
Reuchlin, E. Valin. In: L'année psychologique. 1957 vol. 57, n°1. pp. 260-281.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1957_num_57_1_26601.
— Psychologie appliquée VII.
Technologie humaine, a) Présentation des stimuli :
GRAHAM (N. E.). — The speed and accuracy of reading horizontal,
vertical and Circular scales (La vitesse et la précision de lecture d'échelles
verticales et circulaires ). — J. appl. Psychol., 1956, 40, 228-232. —
KURKE (M. I.). — Evaluation of a display incorporating quantitat
ive and check-reading characteristics (Évaluation d'un cadran
permettant des lectures quantitatives et de contrôle). — J. appl. Psychol.,
1956, 40, 233-236. — ROSS (S.), KATCHMAR (M. T.), BELL (H.).
— Multiple dial check-reading : pointer symmetry compared with
uniform alignment (Lectures de contrôle multiples sur cadran : la
symétrie des aiguilles comparée à V alignement uniforme ). — J. appl.
Psychol.,1955,39, 215-217. — GREEN (B. F.), ANDERSON (L. K.).
— Speed and accuracy of reading polar coordinates on a horizontal
plotting table ( Vitesse et précision de lecture de coordonnées polaires
sur une à dessin horizontale). — J. appl. Psychol., 1955, 39,
227-236. — ERIKSEN (C. W). — Partitioning and saturation of
visual displays and efficiency of visual search (Division et
de dispositifs visuels et efficacité de la prospection visuelle). — J. appl.
Psychol., 1956, 39, 73-77. — SOAR (R. S.). — Height width propor
tion and stroke width in numeral visibility (Proportion hauteur,
largeur du trait dans la visibilité des nombres). — J. appl. Psychol.,
1955, 39, 43-46. — SOAR (S. R.). — Stroke width, illumination level
and figure-grouknd contrast in numeral visibility (Largeur du trait,
niveau d'éclairement et contraste figure-fond dans la lisibilité des
nombres). — J. appl. Psychol., 1955, 39, 429-432. — TOP-
MILLER (D. A .). — The effect of stroke width on linear interpola
tion (L'effet de la largeur du trait sur l'interpolation linéaire). —
J. appl. Psychol., 1955, 39, 273-276. — RYAN (T. A.), SCHWARTZ
(C. B.). — Speed of perception as a function of mode of representation.
(La vitesse de comme fonction du de représentation ).
— Amer. J. Psychol., 1956, 69, 60-69. — GREEN (B. G.),
ANDERSON (L. K.) — - The factual identification of shapes for
coding Switch handles (L'identification tactile des formes pour, le
codage d'interrupteurs manuels). — J. appl.. Psychol., 1955, 39,
219-226. .■•.■:■■■-. ;.-■
- D'une manière générale, il semble que les travaux exécutés dans le
domaine de la présentation des informations nécessaires à l'exécution
d'une tâche soient davantage orientés vers la recherche de lois générales. PSYCHOLOGIE APPLIQUÉE 261
Les hypothèses de travail sont plus élaborées et les auteurs se contentent
moins souvent de la simple constatation des résultats. On peut regretter,
cependant, que la liaison des expériences rapportées avec les problèmes
pratiques qui les ont suscitées soit peu indiquée et qu'il ne soit pas
toujours aisé de distinguer la portée précise et concrète de telles études
dans l'adaptation à l'homme de la machine ou plus généralement du
matériel.
Graham compare à l'aide de projections la précision de lectures
d'échelles horizontales, verticales et circulaires. Chacune des 30 projec
tions dure une demi-seconde et le sujet écrit sa réponse durant les 10 s
d'intervalle qui séparent chaque présentation. L'analyse des erreurs
montre la supériorité très nette des échelles horizontale et circulaire
sur l'échelle verticale. La supériorité de l'échelle circulaire est attribuée
au fait qu'elle présente une aire plus petite au balayage visuel, celle
de l'échelle horizontale est expliquée par la plus grande facilité des
mouvements latéraux de l'œil. Sur ce dernier point, les auteurs se sont
rapportés à l'ouvrage d'ophtalmologie de Duke-Elder qui montre que
l'œil peut suivre une ligne dans le plan horizontal plus facilement que
dans tout autre plan, ce phénomène étant d'ailleurs renforcé par notre
mode de lecture.
Kurke étudie un système de cadran qui permet des lectures quanti
tatives et qui signale en même temps à l'opérateur les moments où une
zone critique est atteinte. Il utilise à cet effet un disque échancré, soli
daire de l'aiguille, qui laisse apparaître le fond sous forme de tranche
colorée pour les mesures critiques. Il compare ce montage aux cadrans
ordinaires et aux cadrans où un simple repère coloré est placé à la péri
phérie pour le secteur à signaler. Les résultats pour les trois critères de
temps, erreurs et temps ajustés (c'est-à-dire lesquels on a tenu
compte du temps de manipulation) montrent la supériorité du dispositif
étudié. Cette supériorité est attribuée au fait qu'une forme plus simple
de discrimination visuelle est utilisée et que l'opérateur n'a pas à se
rappeler de règle spéciale pour faire une lecture correcte.
Ross, Katchmar et Bell comparent sous l'angle des lectures de
contrôle deux tableaux de 16 cadrans dont les aiguilles sont respective
ment disposées toutes dans la même position (12 heures) et en groupes
de deux rangées symétriques (6 heures, 12 heures). Après une période
d'apprentissage prolongée, on constate que les deux systèmes sont
également efficaces, quoique au début de ce même apprentissage la
répartition symétrique se révèle inférieure. Les effets de transfert sont étudiés et apparaissent plus importants de la symétrie à
l'alignement qu'inversement.
L'expérience de Green et Anderson a pour but l'étude de la locali
sation d'un point à l'aide de coordonnées polaires (angle par rapport à
un axe témoin ou axe polaire et distance à l'origine). Les auteurs utilisent
6 types de grilles circulaires de 1 m de diamètre où les lignes de repérage
sont plus ou moins nombreuses ou continues. Us notent le temps de 262 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
pointage ou temps mis par le sujet pour toucher avec un stylet la cible
à repérer, le et la précision de la lecture par rapport aux 2 coor
données. La grille qui réalise le meilleur compromis utilise des repères
courts régulièrement espacés sur un nombre réduit de lignes pleines
(6 diamètres et 3 cercles). L'exactitude des lectures semble dépendre
plus de l'écart entre les repères que de la continuité de ces repères. Toute
l'information utile peut être condensée dans de petites marques et la
multiplication des lignes pleines, non seulement n'apporte pas une préci
sion supplémentaire, mais accroît les difficultés de repérage et de lecture.
Eriksen étudie un problème analogue, mais d'une manière plus génér
ale. La tâche proposée a trait à la détection de signaux dans un champ
perceptif déterminé. Trois variables sont prises en considération :
a) Le nombre de signaux (saturation), ces signaux au nombre de 20,
40, 60 ou 80 étant constitués par trois types de figures géomét
riques : triangles, carrés et losanges ;
b) La division du fond, par un quadrillage en 81, 169 ou 256 parties ;
cj La dimension de l'aire à prospecter (45, 60 et 80 cm2).
Un plan factoriel (3x4x3) permet d'éprouver le rôle de ces diff
érentes variables. Il apparaît d'abord que le temps moyen de repérage
s'accroît avec le nombre de signaux, ce que l'auteur explique par le
nombre plus grand de fixations exigées. L'efficacité de la recherche
diminue avec le resserrement du quadrillage : le sujet prospecterait le
tableau par ligne ou par colonne et ce resserrement le conduit à multiplier
ses opérations. Enfin, la prospection était plus efficace pour les

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