Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impression de succession et de mouvement. Motricité oculaire. La lecture. - compte-rendu ; n°1 ; vol.39, pg 714-724
12 pages
Français

Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impression de succession et de mouvement. Motricité oculaire. La lecture. - compte-rendu ; n°1 ; vol.39, pg 714-724

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Description

L'année psychologique - Année 1938 - Volume 39 - Numéro 1 - Pages 714-724
11 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1938
Nombre de lectures 24
Langue Français

Extrait

d) Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion.
Images consécutives. Impression de succession et de
mouvement. Motricité oculaire. La lecture.
In: L'année psychologique. 1938 vol. 39. pp. 714-724.
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d) Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impression de succession et de mouvement.
Motricité oculaire. La lecture. In: L'année psychologique. 1938 vol. 39. pp. 714-724.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1938_num_39_1_5707714 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
ordre typologique Elle manifeste existence un degré élevé
de cohésion avec le monde extérieur une impossibilité de séparer le
moi organique de espace environnant le sujet et objet
1069 WILLIAMS Perception of subliminal visual stimuli
Perception de stimuli visuels subliminaux of Ps. VI.
1938 187-199
Comme contribution influence de stimuli subliminaux sur la
perception globale étudié les jugements portés sur la présenta
tion sur un écran très éclairé de figures géométriques cercle carré
triangle dont intensité des traits était au-dessous du seuil Le seuil
était déterminé auparavant pour chaque sujet
chaque présentation le sujet devait choisir et parier pour une
ou autre des trois figures et indiquer en même temps si des repères
objectifs avaient guidé son jugement Seuls étaient retenus les
résultats ne appuyant pas sur une perception consciente
Les résultats obtenus sur un groupe de 11 sujets puis sur un
groupe de montrent que exactitude des réponses est bien supé
rieure au nombre que on pourrait attendre si le hasard seul jouait
Ce résultat est confirmé par une expérience de contrôle sur les
mêmes sujets où ceux-ci avaient parier en absence ils igno-
raient de tout stimulus Dans ce cas le nombre des réponses justes
excède pas le nombre prévu par les calculs de probabilité
Ces résultats confirmeraient les anciennes expériences de Dunlap
sur influence des ombres imperceptibles dans les jugements de
distance en particulier dans le cas de illusion de Muller-Lyer
Rôle du temps et tachistoscopie Persistance et fusion
Images consécutives Impression de succession et de mouvement
Motricité oculaire La lecture
1070 GERALD KENT NEELAND MAURICE LAUFER
et WALLACE SCHA Measurement of the equivalent
luminous intensity of rotating beacons Mesure de intensité
lumineuse équivalente des phares tournants of Opt Soc.
XXVIII 1938 280-285
La vision des lumières brèves provoqué de nombreuses recher
ches de laboratoire mais peu études sur le terrain Les conditions
sont différentes car les phares éclipse varient intensité durant
éclair lumineux Les ont utilisé des projecteurs tournants
aviation placés ou 13 km des sujets côté un projecteur
fixe intensité réglable Les observateurs devaient égaliser les inten
sités apparentes des deux sources La durée des éclats variait de
0006 042 sec. et leur fréquence de par sec toutes les 10 sec
cette variation de semble sans effet Les niveaux in
tensité étaient généralement éloignés du seuil La loi de Blondel et
Rey applique peu près aux résultats avec une constante comprise
entre 01 et 05 sec moyenne 02) cette constante semblant aug
menter un peu avec le niveau contrairement aux résultats antérieurs
de Hampton VISION MOTRICITE OCULAIRE 715
1071 BARTLEY Subjective brightness in relation to
flash rate and the light-dark ratio La clarté subjective en rapport
avec la fréquence des éclats lumineux et avec la proportion de
lumière et obscurité of exp Ps. XXIII 1938 313-319
Brücke avait observé en 1864 que pour des fréquences inférieures
la fréquence critique de fusion une lumière intermittente peut
paraître plus brillante une lumière constante de même intensité
objective reproduit ce phénomène Il trouve il est indépen
dant des intensités lumineuses absolues il atteint son maximum
pour des fréquences de ou par seconde il est autant plus
marqué que la fraction du cycle occupé par éclairement est
petite effet Brücke est inverse de effet Talbot qui prédomine
partir une certaine fréquence Si par exemple le rapport des
durées éclairement et obscurité est égal unité la lumière
intermittente doit être objectivement deux fois plus intense pour
paraître égale la lumière constante dans le domaine de la loi de
Talbot tandis elle doit être deux fois moins intense dans la région
du maximum de effet Brücke auteur rapproche la périodicité
caractéristique de cet effet avec celle des ondes cérébrales et admet
il repose sur un mécanisme cérébral et non sur les propriétés de
organe périphérique
1072 BARTLEY Subjective flicker rate with relation to
critical flicker frequency La vitesse du papillotement subjectif dans
son rapport avec la frequence critique of exp Ps. XXII
1938 388-394
Le papillotement subjectif produit par une lumière intermittente
est-il dû aux propriétés photochimiques des substances visuelles
ou la réaction secondaire du système nerveux Dans le premier cas
il semble il devrait dans sa fréquence correspondre exactement
la fréquence de la cause physique directement vérifié il
en était rien en faisant comparer aux sujets deux champs éclairés
par des lumières intermittentes intensité différente pour lesquelles
la fréquence critique de fusion est très Or un peu avant
arriver la fusion parfaite le papillotement paraît encore très rapide
pour la lumière de faible intensité sa fréquence peut être subjective
ment jugée égale celle de la lumière intense quoique cette fré
quence objectivement soit beaucoup moins grande Cela semble
indiquer intervention un mécanisme commun qui ne peut être
que le système nerveux
1073 KRAV KO Thé influence of the dark adaptation
on the critical frequency of flicker for monochromatic lights
influence de adaptation obscurité sur la fréquence critique
de papillotement pour des lumières monochromatiques Acta
Opht. XVI 1938 375-384
Recherches sur personnes vision chromatique normale et sur
protanope examen au spectroscope pour diverses longueurs onde
en fixation centrale de la fréquence critique de papillotement de la
plage monochromatique observée et cela plusieurs reprises au cours
de adaptation obscurité 716 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
Les résultats montrent que la fréquence critique abaisse très
fortement en lumière bleue 480 passant environ 17 12 sti
mulations par seconde en une demi-heure abaisse un peu er
lumière rouge 640) passant de 17 16 et ne varie pas en lumière
verte 520)
Chez le protanope même chute en lumière bleue mais équivalence
pour le rouge et le vert
La diminution de la fréquence critique est attribuée abaisse
ment de la sensibilité différentielle au niveau des centres supérieurs
1074 CROZIER WOLF et ZERRAHN-WOLF
Critical illumination and flicker frequency as function of flash
duration for the sunfish clairement critique et fréquence de
papillotement en fonction de la durée des.éclats chez le Lepomis
of gen Ph. XXI 1938 313-334 Critical intensity and
flash duration for response to flicker with Anax larvae Intensité
critique et durée éclat dans la réponse au papillotement chez
des larves de libellule Anax Id. XXI 1938 465-474
La courbe fréquence-intensité correspondant apparition du
flicker en lumière papillotante été déterminée chez un poisson
Lepomis pour diverses valeurs du rapport lumière-obscurité
Lorsque ce dernier croît la fréquence critique constante augmente
et constante log au point inflexion croît proportionnellement
la durée relative de la phase éclairement dans la période En
même temps la valeur maxima de décroît Des résultats analogues
ont été obtenus sur la larve une libellule Anax
1075 CROZIER WOLF et GERTRUD ZERRAHN
WOLF Temperature and the critical intensity for response to
visual flicker Température et intensité critique pour la réponse au
papillotement visuel Pr of Ac of Sc. XXIV 1938
216-221
Rappel de données après lesquelles la relation entre la fréquence
critique de fusion et le logarithme de éclairement pour divers
animaux est représentée par intégrale de probabilité avec des
paramètres de intégrale représentant des éléments de la con

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