Sexe. Milieu. Race. Famille. Transmission héréditaire. - compte-rendu ; n°1 ; vol.45, pg 333-343
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Description

L'année psychologique - Année 1944 - Volume 45 - Numéro 1 - Pages 333-343
11 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié par
Publié le 01 janvier 1944
Nombre de lectures 15
Langue Français

Extrait

b) Sexe. Milieu. Race. Famille. Transmission héréditaire.
In: L'année psychologique. 1944 vol. 45-46. pp. 333-343.
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b) Sexe. Milieu. Race. Famille. Transmission héréditaire. In: L'année psychologique. 1944 vol. 45-46. pp. 333-343.
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taire des facteurs STDGR (introversion sociale, introversion »if
pensée, dépression, tendances cyoloïdos rlial hymio'i. le test de
Rnrsehach, of le T. A. T.
I -es bègues paraissent, dans l'ensemble, par rapport aux normaux,
plus introvertis socialement, plus déprimés, inoins insouciants, moins
impulsifs.
L'auteur constate, en plus, que, seul, le les!, STCDB peut
être utilisé statistiquement pour l'étude, d'un g'roupe. tandis que
les deux autres peuvent servir pour obtenir des renseignements
précis sur la personnalité de chaque individu en particulier.
)î. Cn.
453. -- r. HK1DHR et ci. M. 1 1 til HER. — Studies in the Psychology
of the deaf (Etudes sur la Psychologic des sourds). --- Ps. Mon..
IJfl, 5, il» 242, 1941, p. 157.
La première partie traite du tangage et du comportement social
de jeunes enfants sourds d'âge préscolaire : les observations reposent
sur la comparaison des attitudes d'enfants sourds n'ayant pas encore
acquis, par l'édiicat ion. de conventions leur permettant d'extérioriser
leur pensée, et de celles d'enfants normaux: de même âge.
Les moyens de cum inimical ion chez les jeunes sourds sont ;
quelques mots parlés, des gestes represenfatil's. l'imitation de
mouvements liés à une activité, le pointemeni du doigt avec ou sans
mouvement de la main, l'expression faciale, les mouvements affirma-
lil's ou négatifs de la tète, des vocalisations expressives. Ces enfants
peuvent donner des renseignements sur les caractères concrets, les
situations immédiates, et, en général, sur (oui ce qui les entoure, ou
les touche présentement ; par contre, ils sont gènes pour donner des
renseignements sur tout ce qui est éloigne, ou absent de leur entourage
à ce moment, sur les qualités des objets, sur tous les l'apport s abstraits,
sur les événements passés ou futurs.
La deuxième partie étudie le sourd adulte dans la société : les
résultats reposent, sur des réponses écrites a des questionnaires,
faites par des anciens élèves et (\o^ professeurs d'écoles spéciales
pour les sourds : certains des sourds s'écartent de la société des
normaux, avec, souvent, de Hioslilité contre cette société: au con
traire, daulres ont réussi à surmonter ce handicap, en acceptant,
(Tailleurs, souvent, celui-ci. \{. Cu.
b) .Si'ir, Milieu, /luer. h'tiiinHc. i 'rauxin issio'n lu'ri'di/inrc
454. M. V. CWLLLA. Psicologia differeziale délie razze
Umälie ( l'sijeliolo^ie di\\éven\'wiUj îles raees Intimi nies ) . — Uiv.
di Psic, XX XVI. ll.)i0, p. i;.->-:si<S.
L'A. apporte sa cotil rihuliou à la solution du problème contro
versé des differences psychiques entre races humaines.
Après un bref examen de. ce qu'il appelle )' «. utopie égalifaire ',
il examine les fondements biologiques de la différenciation. Pour lui,
les différences constatées sur le. pian de l'organisme sont nécessaire
ment en liaison avec des différences sur le [dan du psychisme. L'in .
I
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.!.'{'•■ V A I. V s|''S I! IMIOC II A |' l| |(i I I-.S A
tensile (if la libido cl, la rapidité Jr^ processus psychiques varient
également avec la race.
Il lui semble difficile, <epond;tni. d'établirdes critères objectifs per
met, taut d'affirmer la supérioritéd'une rnce ou d'un peuple sur un autre.
De même, les différentes méthodes proposées pour l'étude des
différences psychiques raciales, y compris la méthode des tests, ne
lui paraissent pas susceptibles d'apporter au problème une solution
définitive. Il propose de réunir dans un Institut spécialisé:, des
individus appartenant, à (les races différentes, afin de suivre de près
leur développement psychique depuis leur plus jeune âge. dans des
conditions de milieu identiques.
Il étudie ensuite les « profils psychologiques « des primitifs,
discutant en particulier le problème de la « mentalité primitiv*! ■> selon
Lévy-Bruhl ; puis les profils des principales races européennes.
Importante note bibliographique. M. R.
455. — JÜAN C. SQUIRES. — Studies of twins in the Social
Sciences (Etudes des jumeau;)' dans les Sciences sociales). ■■ —
Nature, GLU, 1043, n" 3859, p. 4:57-440.
Rappel des principales données obtenues. "Ylerriman. sur 67 couples
de jumeaux de même sexe en a trouvé 25 qui avaient un Ql iden
tique. Wingiield obtient une corrélation de 0,9») entre Ql (»our
4 2 couples de monozygotes, et de 0.70 pour 57 couples de dizygotes.
llogben trouve que la différence moyenne des Ql de monozygotes
est de 9.2 points, et de 17,8 [tour celle des dizygotes.
Entre deux jumeaux identiques, mais l'un élevé dans une grande
ville, l'autre fréquentant une école de village, la différence des âges
mentaux a atteint 34 mois.
Dans 13 cas où un des jumeaux monozygotes était convaincu
de crime, l'1 fois il a été établi que l'autre avait été aussi criminel. -
et 2 fois seulement pour 17 cas où il s'agissait d'un jumeau dizygote
(Lange). IL P.
456. — R, TLEPIV Al. TISSERAND, R. ZAZZO. - Étude psycho
logique et motrice de jumeaux monozygotes en miroir. — B.
Ac. Méd.. CX XVII. n" 22. 1<>43. p. 344-346.
A partir de la constatation de certaines particularités morpholog
iques ou fonctionnelles (tourbillon capillaire, asymétrie faciale,
topographie vasculaire. points d'ossification) on a souvent décrit
des u jumeaux en miroir ». El l'on est parti de cette constatation :
1° pour tirer de ce « » une preuve de monozygotisme ; 2" pour
imaginer l'existence d'un miroir « psychique » parallèle au miroir
physique (théorie do Bouterwek!
Les deux jumeaux étudiés constituent un miroir « physique et
moteur. L'examen des aptitudes mentales et du caractère ne conduit
pas à ht description (\'\\n « miroir >• psychique. L'efficience mentale
et la mémoire sont à peu près identiques. L'étude du caractère révèle
sur un fonds commun d'insiabililé de notables dissemblances.
La notion de miroir psychique paraît d'ailleurs dépourvue de
signification ; les oppositions (introverti-extraverti par exemple) ou
les effets de complémentarité qu'il est possible d'observer ne consti
tuant évidemment pas un miroir. R. Z. ■
— HENÉ ZAZZO. Étude psychologique de trois groupes 457.
de trïplettes. — Semaine des Hôpitaux. 7 novembre 1915. p. 1 1 H M -
1172.
Au cours des recherches s ystt'iira l iqucs qu'il poursuit .sur des
couples de jumeaux. René Zazzo ;i eu l'occasion d'éiudior trois
groupes de triplettes et il a donné un résiuné des résultats obtenus
au cours d'un examen psychologique approfondi appuyé d'examens
soniatiques. grâce à une collaboration du Centre d'Études géné
tiques du Pr Turpin et du Laboratoire de Psychobiologie do l'enfant
du Pr Wallon.
Des épreuves nombreuses de niveau mental et d'intelligence.
d'attention, de mémoire, de psychomofrieité et de caractère ont pu
être appliquées à 2 ans d'intervalle sur un premier groupe à l'âge
de 8; 4 et de 8; 8 puis de 1.0 ; 9 ans, sur un second à l'âge de
4 : 10, de 5 ; 6 et de 6 ; 10 ans. sur un troisième entin à l'âge de 15 ; 3 et
de 17: 1 ans. Dans le premier groupe, une différenciation très nette
se marque entre une des fillettes et ses deux sœurs, au point de vue
physique et dans les tendances affectives et il paraît bien s'agir d'un
couple monozygote complété par un dizygote. Et cependant des
ressemblances étonnantes se marquent dans des traits anormaux
semblant impliquer une hérédité névropathique commune. C'est
ainsi que, chez toutes les 3 fillettes il y a arriération mentale nette
au test Binet-Simon, et int

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