Bourget, Paul Charles Joseph Stendhal va lioi iu;i:rPau. ' \ F. L STENDHAL DISCOI lîS HfJO o nntnn/nrfttiufiJuinprononcé le 28 du monument CIIAMCIOXDi: M. KDOlAItllSLI\I UL UISCOIKS \PIIIF,d'INK BiniJOllHET PARIS IIONOUK CHAMIMONANCIENNEIJliHMlUE uni un aul«Mii. un trouveexact : » ses Ifiiics, dans journaux,un homme. Dans ses dans ses essais d'autobiogra])iiie, un souci reparaît — —celui, comme il disait, « d'y voirsans cesse, STENDHAL8 lui-même.dans ce qui est », et d'abord enclair très noble sens de cette peur d'être dupeC'est là le une de ses caracté-que Mérimée signalait comme comme unristiques. Sainte-Beuve la lui reproche critique eut révisé cet iniquedéfaut. Le sagace documents intimes ([uiarrêt, s'il eut en main les N'êtremultipliés, ces dernières années. passe sont n'était pas se défier mesqui-dupe, pour Beyle, ce étreindre le réelnement, c'était chercher, dégager, lales apparences, poursuivre et connaîtresous seul domaine qui l'intéressât, levérité dans le cœur humain. deux« malheur disait-il à propos de sesLe », « c'est qu'ils ne comprennent abso-meilleurs amis, cœur humain, ou à lalument rien à la théorie du cœur par la littérature et la musique.peinture de ce perte vue sur cette matière,Le raisonnement à de chaque anecdote nou-conséquences à tirer deles bien loin con-prouvée forment de lavelle et bien intéressante pour moi.
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