3 I c/ 10 IN SALON DE PARIS -(824 A 1864- ' UT II 1.» C K I. K KF 1 ,1ltl:iO?l, LjkrRKTtLLC, P.AOCH-(>*WSN _ C £ X U S z sr itv; rt K « rt K *• ' 5 ?. ^ ilg - - - a. c;•« JB >• E t» . nouvelles. Mais un où tout se et ce bon Par-vint jour dispersa, ceval n'en continua moins à faire et à dire ses pas vers. Les un à et fulminè-firentromantiques camp part des les classi-rent bulles d'excommunication contre et le bon Parceval continuait à faire ses vers. ques, La mort ses vieux amis et luiôta dans cefrappa qui restait de ses ses solides admira-contemporains plus teurs vinrent ces fameux où des ; jours classiquespuis en formulèrent ces célèbres ordonnancespolitique que accueillirent à deleurs adversairesromantiques coups ne fut vit sur lefusil. Ce de l'encre coulerplus qu'on bonmais du coula dans la et cesang qui rue,papier, Parceval faisait ses vers.toujours On de et il eut en Francechangea royauté, n'y plus UN SALON SOUS LA RESTAURATION. 11 seul (oui le mondeauquelqu'un poëme s'intéressât, le mais Parceval faisait encore ses vers.budget; Il de la désertion de ses ets'aperçut auditeurs, quand Où donc est un tel?il demanda : et : 11qu'on répondit est Lui!préfet... s'écria-t-il, qui pouvait ôtrepoëte! et tel autre? — Député. — Lui! faisait une et celui-là?qui tragédie! — Mort aux dejournées juillet. — Sans avoir achevé son Dieu !ode, grand — Mais le de nous tous ?plus jeune — 11 écrit contre Racine !