Une archélogie des pratiques théâtrales : J.-Ch. Moretti, Théâtre et société dans la Grèce antique. Une archéologie des pratiques théâtrales  ; n°1 ; vol.28, pg 210-211
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Une archélogie des pratiques théâtrales : J.-Ch. Moretti, Théâtre et société dans la Grèce antique. Une archéologie des pratiques théâtrales ; n°1 ; vol.28, pg 210-211

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Dialogues d'histoire ancienne - Année 2002 - Volume 28 - Numéro 1 - Pages 210-211
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Publié le 01 janvier 2002
Nombre de lectures 22
Langue Français

Extrait

Monsieur Jacques Annequin
Une archélogie des pratiques théâtrales : J.-Ch. Moretti, Théâtre
et société dans la Grèce antique. Une archéologie des pratiques
théâtrales
In: Dialogues d'histoire ancienne. Vol. 28 N°1, 2002. pp. 210-211.
Citer ce document / Cite this document :
Annequin Jacques. Une archélogie des pratiques théâtrales : J.-Ch. Moretti, Théâtre et société dans la Grèce antique. Une
archéologie des pratiques théâtrales. In: Dialogues d'histoire ancienne. Vol. 28 N°1, 2002. pp. 210-211.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/dha_0755-7256_2002_num_28_1_2538210 Actualités
en 1997. Un apport original est celui de la numismatique illustré par les travaux
de Soheir Bakhoum, notamment sa thèse soutenue le 14 juin 1986 devant
l'Université de Paris IV, intitulée Les thèmes isiaques à Alexandrie sous les
Antonins. Recherches numismatiques et historiques.
Le Phare passait pour être une des merveilles du monde dans l'Antiquité.
Le poète Poseidippos qui vivait à la cour de Ptolémée Philadelphie l'a
magnifiquement célébré dans une épigramme qu'a conservée un papyrus :
« Cette sauvegarde des Grecs, ce veilleur de Pharos, ô seigneur Protée, c'est
Sostratos de Cnide qui l'a érigé, fils de Dexiphanés de Cnide. C'est qu'en
Egypte tu n'as pas comme poste de guet des hauteurs sur des îles : non, la baie
qui accueille des navires s'étend au raz des eaux. C'est pour cela que, debout,
toute droite, se découpe sur le ciel une tour qui se voit à une distance infinie
pendant le jour ; pendant la nuit, bien vite au milieu des flots le marin aperce
vra le grand feu qui brûle au sommet et il pourra courir droit sur la corne du
taureau, et il ne saurait manquer d'atteindre Zeus Sauveur, ô Protée, celui qui
navigue dans ces parages » (traduction F. Chamoux dans Hommages à Claire
Préaux, Bruxelles, 1976, p. 214-222 ; cf. A. Bernand, Alexandrie la Grande, p. 115).
On a beaucoup écrit sur le Phare. Mais il faut avouer que nous ne
connaissons avec certitude ni son emplacement exact, ni les matériaux utilisés
pour sa construction, ni sa structure, ni l'origine de la lumière qu'il émettait,
ni les circonstances exactes de sa destruction. Ce célèbre momument demeure
encore en partie énigmatique.
Etienne Bernand
Janvier 2002
^s Une archéologie des pratiques théâtrales
[J.-Ch. Moretti, Théâtre et société dans la Grèce antique. Une archéologie des pratiques théâtrales,
Collection inédit, Art grec, Livre de poche/référence nO 585 (ouvrage publié avec le concours du Centre
National du Livre), Paris, 2001]
Dans une collection de livres de poche, Jean-Charles Moretti propose une
synthèse intitulée "Théâtre et société dans la Grèce antique". En 300 pages
environ, l'auteur présente l'aventure du théâtre grec dans sa spécificité mais
l'inscrit aussi dans la problématique des lieux et des modes de la représentation.
DHA 28/1, 2002 Actualités 211
Cette double approche, exposée dès l'introduction, est reprise dans une
conclusion qui aborde la question de la conservation et de l'utilisation
aujourd'hui d'édifices fragiles conçus pour d'autres systèmes de communication
et de représentation.
La première partie consacrée aux spectacles présente la diversité et
l'évolution des concours musicaux, leur organisation, l'émergence et l'affirma
tion du drame, de la tragédie et de la comédie. Un dernier chapitre énonce les
utilisations variées de l'espace théâtral et introduit ainsi l'étude du théâtre
comme édifice.
Dans la seconde partie pour étudier les édifices en tant que tels, l'auteur
adopte un plan chronologique. Il présente tout à tour le(s) théâtre(s) à l'époque
classique, hellénistique puis à l'époque impériale. L'organisation de l'espace est
à chaque fois associée à l'étude du décor et des décors et bien sûr au problème
de la mise en scène.
Logiquement la dernière partie est consacrée à l'organisation de la
représentation et aux organisateurs, à l'interprétation et aux interprètes,
à l'étude du public et de ses réactions.
Cette synthèse, précise, informée, accompagnée d'une chronologie, d'un
glossaire et d'une bibliographie, présente à un large public un dossier complet
qui pose aussi avec rigueur les problèmes très actuels de l'utilisation et de
la conservation d'édifices fragilisés par une utilisation trop souvent abusive.
P. S. : L'illustration est abondante, rigoureusement assujettie au texte, mais comme trop
souvent dans ce genre d'éditions, de qualité médiocre.
Jacques Annequin
^ Le dossier d'un portorium provincial
[Jérôme France, Quadragesima Galliarum, Collection de l'EFR 278, Rome 2001, 498 p., 6 pi.]
Cette enquête régionale, limitée à un département douanier de l'Empire,
se donne pour but, dans une introduction historiographique et programm
atique, de faire "l'histoire d'un portorium provincial et de ses structures".
Elle reprend tout d'abord l'ensemble des éléments du dossier épigraphique,
systématiquement revu et commenté. La seconde partie en fait la synthèse,
examinant tout à tour les systèmes douaniers préexistants à la quadragesima
DHA 87/1, 2002

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