Texte de la conférence - Association des pompiers

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Texte de la conférence - Association des pompiers

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• Publié par: adohoqed
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Extrait

Association des pompiers

professionnels de Québec

Conférence de Presse

17 Décembre 2003

10h30

Salle Petit Frontenac

Château Frontenac

Monsieur Pierre Peloteau, Président de l’Association des pompiers professionnels de Québec

Monsieur Roméo Noël, Consultant Expert en incendie, Directeur du SPIM de 1991 à 1996

Monsieur Pierre Peloteau

Je remercie tous les représentants des médias de s’être déplacés, aujourd’hui.

Mon nom est Pierre Peloteau, je suis pompier à la Ville de Québec et je représente les membres de

l’Association des Pompiers Professionnels de Québec.

Je vous présente également Monsieur Roméo Noël, consultant expert dans le milieu incendie. Monsieur

Noël a été directeur du Service de protection incendie de la ville de Montréal de 1991 à 1996.

Il est également membre actif de plusieurs organisations, tel que : l’International Association of Fire

Chiefs, la National Fire protection Association, de l’Association canadienne des chefs de pompiers, et

plusieurs autres.

Pourquoi nous avons invité les représentants des médias aujourd’hui?

Parce nous voulons vous faire part de notre appréciation du niveau de qualité de protection offert jusqu’à

maintenant, aux citoyens de la Nouvelle Ville de Québec.

La présentation devrait durer une vingtaine de minutes et nous serons disponibles pour répondre à vos

questions par la suite.

Commençons donc par un bref historique.

Vers la fin des années 80, le SPIQ de Québec comptait dans ses rangs pas moins de 240 pompiers dans sa

brigade incendie. Il avait alors un budget de fonctionnement d’environ $13 Millions et 165 000 citoyens à

desservir sur un territoire de 94 km carrés.

En 1993 et 94, suite aux ententes de service inter-municipales conclues avec Beauport, Charlesbourg et

Vanier, les pompiers ont dès lors dénoncés, et ce à maintes reprises, les lacunes du service incendie entre

autre sur les délais d’intervention et les effectifs.

Par la suite, en 2000, par le biais du projet de loi 170, les pompiers de Québec se sont montrés favorables à

un regroupement de tous les services d’incendie de la région afin de mettre enfin sur pied un service

d’incendie, conforme à ce qui se fait dans la plupart des grandes villes nord américaine. À tout le moins,

nous nous attendions à ce que le Service de protection contre les incendies de la Ville de Québec soit traité

sur le même pied que son confrère de Montréal. S’il est une façon pour la Nouvelle Ville de contribuer à la

sécurité de ses

citoyens, c’est bien de respecter la nouvelle loi sur la sécurité incendie.

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