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La fin de l’année 2011 marque le « boom » de la vidéoconférence. D’après une étude IDC, le marché de la visioconférence s’élèverait à environ 2,6 milliards de dollars, sans oublier que celui-ci est en pleine croissance (24,3%). De plus on observe une augmentation des entreprises qui se spécialisent dans la création de logiciel de vidéoconférence.
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oQuelavenirlavdioé?
La fin de l’année 2011 marque le « boom » de la vidéoconférence. D’après une étude IDC, le marché de la visioconférence s’élèverait à environ 2,6 milliards de dollars, sans oublier que celui-ci est en pleine croissance (24,3%). De plus on observe une augmentation des entreprises qui se spécialisent dans la création de logiciel de vidéoconférence.
On peut se demander à quoi est dû cet engouement pour la visioconférence et quels en seront les usages, autant au niveau professionnel que personnel.
L’évolution la plus marquante de cet outil au niveau professionnel se situe dans le domaine de l’e-santé ou plus particulièrement dans celui du téléconseil.
La pratique de la télémédecine est très en vogue dans certains pays d’Europe, comme la Suisse ou l’Angleterre, mais elle l’est surtout au Canada et aux Etats-Unis. Celle-ci à, pour le moment, plus de mal à s’imposer en France.
En effet les patients préfèrent le contact « physique » au contact « virtuel ». Ils bénéficient de meilleurs soins et communiquent peut être plus facilement lorsqu’ils sont face à leur praticien. Cependant il ne faut pas oublier que certaines personnes n’ont pas accès aussi facilement à des médecins. Les personnes isolées géographiquement ou à mobilité réduite n’ont pas nécessairement une grande facilité d’accès aux soins spécialisé. Sans oublier les expatrier qui souhaitent de plus en plus interagir avec des praticiens de leur pays d’origine.
C’est dans ces cas de figures que le téléconseil ou plus généralement la vidéoconférence, trouve sa place. Grâce aux nouvelles technologies le praticien peut voir et entendre le patient comme si tout deux étaient présent dans la même pièce. Ce confort visuel et d ‘écoute permet de mener à bien les séances comme si il s’agissait de séances faites en cabinet.
L’outil de vidéoconférence permet de faciliter les échanges entre patients et médecins éloignés géographiquement. De plus cet outil novateur facilite les échanges entre patriciens eux même, ce qui constitue un vrai plus dans les échanges entre médecins et spécialistes.
L’apparition de la visioconférence a permis la mise en place de programmes gouvernementaux qui font appels à la télémédecine. Les quelques exemples suivant en sont la preuve, en effet la télémédecine faciliterait l’égalité de l’accès aux soins pour les prisonniers, elle permettrait une mise en relation plus directe des hôpitaux psychiatriques avec les juges lors de procès impliquant un suspect instable psychologiquement.
L’utilisation de la vidéoconférence ne s’arrête pas là, en effet il serait question d’équiper les SAMU de ce système afin de pouvoir fournir un bilan d’ambiance lors d’un plan d’urgence.
Source: Experts-it.fr
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06 Jul 2012 byVideotherapie/ No Comments
Patients et médecins se mettent à la page numérique avec l’irruption des Smartphones. Le cout de la santé de plus en plus élevé pousse les patients à se prendre en charge avec Internet comme coach.
Qu’en pensent les français ?
D’après une enquête de l’observatoire Orange Terrafemina, un français sur trois se dit prêt à rejoindre ce mouvement. Ils sont déjà 20 % à consulter des sites spécialisés comme Le Figaro Santé en ligne pour trouver des conseils au quotidien. Ils apprécient aussi l’échange et les conseils bien-être sur les forums (9 %). Certains suivent un cours de sport, d’autres cherchent comment maigrir avant l’été en consultant des conseils de régime, tout cela en vidéo en ligne. Enfin, ils sont presque 10 % à utiliser des applications Smartphone pour leur bien-être corporel.
Le soin de leur corps et de leur santé préoccupe de plus en plus les français. Essentiellement les femmes jeunes, qui plébiscitent le bien-être en ligne. Comme les cadres et les professions libérales (42 %). «L’attrait de ces nouvelles solutions tient avant tout aujourd’hui à leur faible coût». Même s’ils apprécient «la liberté donnée dans la gestion de son temps», peu d’internautes se disent prêts à payer pour cette auto santé. Cela ne freine pas les créateurs d’applications. La plupart misent sur une interface ludique pour rendre sympathique cette nouvelle vigilance et inciter même à partager ses données avec le reste de ses amis connectés.
Une véritable révolution digitale.
Cependant, distinguer les applications sérieuses des plus fantaisistes peut être délicat. Toutefois, les consommateurs plébiscitent fortement la m-santé. Effectivement, selon une étude mondiale pour PwC Global Healthcare menée par The Economist Intelligence Unit, cette révolution digitale transforme le portable en outil de prévention et de diagnostic.
La moitié des consommateurs sondés prévoit que la m-santé va perfectionner « le coût de leurs soins », leur « qualité et la praticité » dans les trois prochaines années.
Aux États-Unis, on peut d’ores et déjà photographier les boutons de son enfant et obtenir un diagnostic, ou encore tester sa glycémie avec un capteur sur le portable.
En France, le Net est, à ce jour, plus tourné vers le bien-être. Et propose tous les outils d’un accompagnement sans blouse blanche.
Source : Le Figaro.fr
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« L’usager du service public de la santé n’est plus un objet de soins mais un citoyen pleinement acteur du système de santé » d’après Nora Berra, secrétaire d’état chargée de la santé du précédent gouvernement. On parle de plus en plus de la relation médecin-patient et surtout de son évolution grâce à l’avènement de l’e-santé. Transformation qui offre de nouvelles perspectives économiques, tant est si bien que l’on parle de marchés liés notamment aux populations à domicile (dans le cadre de la télésanté), qu’ils soient séniors ou atteints de maladie de longue durée.
Le terme même de patient a évolué avec l’apport du numérique et des outils de type collaboratif, on parle dorénavant de Patient 2.0. Ce sont des patients qui n’hésitent pas à s’informer (30 % à 60 % des Français ont recherché de l’information de santé sur le web – Baromètre Orange, février 2011), à échanger des avis, à s’auto diagnostiquer et à s’auto médicamenter par l’intermédiaire du web.
Les chiffres parlent d’eux même.
La révolution digitale entraîne une transformation au niveau de l’échange devenant plus « pointu » vis-à-vis d’un médecin qui a devant lui un patient avide d’informations concrètes et compréhensibles. En effet, 17 % des internautes recherchant de l’information de santé veulent être capables de poser des questions précises à leur médecin au cours de la consultation, 50 % le font après et 40 % avant de consulter, selon une étude de Viavoice pour Pasteur Mutuelle début 2012. De plus, cela permet au client d’avoir déjà sa conviction autour de sa pathologie et du traitement à recevoir.
25 % des internautes affirment ne pas avoir demandé l’avis d’un professionnel de santé suite à une recherche d’information sur internet jugée suffisante, 14 % des internautes affirment aller chercher des informations sur internet pour choisir médicaments et traitements sans
avis médical. La baisse du nombre de consultation et l’évolution de l’auto médication montre bien que cette révolution digitale prend de l’ampleur.
Changement de mentalité.
De nombreuses solutions ont vues le jour suite à l’essor du secteur de l’e-santé allant du site d’information grand public à des applications mobiles et autres capteurs autour de la collecte d’informations santé personnelles. En guise d’exemple, le CA annuel du site Doctissimo est de 10 millions d’Euros.
La recherche et le partage d’information est au centre de cette mentalité qui a véritablement trouvé une place avec les réseaux sociaux. Lieux d’échange qui permettent de créer une communauté via des forums sur lesquels les patients ou associations de patients peuvent partager des bonnes pratiques et des conseils.
Du côté des médecins.
Selon l’ObservatoireVIDALdes « usages Numériques en santé » réalisé en partenariat avec leConseil National de l’Ordre des Médecins, les médecins utilisent leur Smartphone à des fins professionnelles (94%) et au bénéfice de leurs patients. On y apprend également que 53% des médecins ont téléchargé des applications médicales et qu’un médecin sur deux communique son numéro à ses patients.
L’étude de BVA Healthcare nous apprend également que 28% des médecins libéraux interrogés visitent les forums de patients et 51% déclarent y trouver des informations utiles pour leur relation avec leurs propres patients.
Ces chiffres montrent bien que les professionnels de la santé et du bien-être intègrent de plus en plus les nouvelles technologies dans leurs méthodes de travail. D’autant que le CNOM recommande aux médecins d’accompagner les patients dans leurs recherches sur Internet, en les incitant à créer leur propre site professionnel et en y créant des liens vers d’autres sites recommandés afin d’orienter les patients vers des contenus de qualité.
Outre-Manche, leNHS (National Health Service), département de la santé du Royaume-Uni à l’intention de demander aux médecins d’encourager leurs patients à utiliser les applis mobiles pour suivre les signes vitaux. En UK, 15 000 patients utilisent déjà des applis et fournissent à leurs médecins les infos médicales. A terme, près de 500 applis seraient susceptibles d’être recommandées aux médecins pour leurs patients.
L’importance des réseaux sociaux.
Au-delà de la simple recherche d’informations scientifiques ou médicales pour leur pratique professionnelle, les médecins aspirent également à partager leurs informations, à questionner et solliciter des avis de leurs confrères via l’appartenance à des communautés sur le Web ou à des plateformes spécialisées. Medscape France, MeltingDoc, reseauprosante.fr, confrere.fr, Doc@Doc, egora.fr, entremed en sont des exemples.
De plus, « croiser » des professionnels de la santé sur Facebook ou Twitter est de moins en moins surprenant. Avec ce paradoxe éventuel de retrouver le médecin et le patient communiquer ensemble via ces réseaux, sans la limite du temps de la consultation et de ses considérations économiques. Situations qui soulèvent des questions parmi les instances médicales et notamment pour le CNOM pour qui un praticien n’a pas à s’engager dans des relations amicales avec ses patients, pour des raisons éthiques et déontologiques.
o La télémédecine s’installe en France Après dix ans de tâtonnement et plus de 250 expériences mises en œuvre, chaque agence régionale de santé doit proposer des programmes adaptés aux cinq priorités nationales.
En cas d’attaque cérébrale, la rapidité du diagnostic est cruciale. Mais peu d’urgentistes sont en mesure de réaliser l’examen neurologique qui s’impose face à un patient souffrant de troubles de la parole et d’autres signes annonciateurs de l’AVC (accident vasculaire cérébral).
o L’Aquitaine, leader de la télémédecine en France La région Aquitaine s’impose au niveau national dans le développement des techniques numériques du secteur médical. Elle concentre 50 % des effectifs de la filière.
Ne pas oublier d’emporter la dernière radio, l’ancienne ordonnance, voire les recommandations écrites du médecin de famille… Toutes ces formalités dépassent parfois le patient.
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