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Extrait

28
LUNDI 4 FÉVRIER 2008
24 HEURES
VOUS
VC1
Lesboissons«dopantes»v
LecoréenSamsunginverselestendances
TÉLÉPHONIE
On connaissait le téléphone
portable muni d’un appareil
photo, le constructeur change
la donne en intervertissant
les rôles. Voici l’appareil photo
qui téléphone.
La surenchère fait rage dans le
monde de la téléphonie mobile.
Chaque firme tente depuis long-
temps d’embarquer un maxi-
mum de fonctions dans ses nou-
veaux natels. Dans cette guerre
technologique, les mieux armés
demeurent les leaders Nokia et
Sony/Ericsson, mais le coréen
Samsung prouve au fil des ans
que la concurrence asiatique ne
chôme pas et que Séoul a de
sérieux atouts à faire valoir sur le
marché mondial.
Lorsque Nokia a sorti son N95
doté pour la première fois d’un
appareil photo 5 mégapixels, le
constructeur finlandais a pris
une longueur d’avance en dégai-
nant le premier. Quelques mois
plus tard, Sony/Ericsson a sorti
le K850i et Samsung son G600.
Mais plutôt que de lancer un
nouveau modèle ultraplat muni
d’un appareil photo 5 Mpix,
Samsung a empoigné le pro-
blème dans l’autre sens avec le
G800. En fait, le G800 est un
appareil photo qui est capable de
téléphoner.
Volume assez massif
Plus
volumineux
que
les
autres mobiles de la marque,
voire des autres modèles phares
de la concurrence, le G800 doit
sa corpulence massive au fait
qu’il abrite un appareil photo de
5 mégapixels muni d’un zoom
optique 3x et d’un flash au xénon
et d’une reconnaissance faciale.
Avec une distance focale plus
élevée, le G800 peut bien évi-
demment prendre de meilleurs
clichés que ses potes de cham-
brée. Avec le G800, Samsung
propose clairement un appareil
photo numérique qui sait pren-
dre des appels. C’est sans doute
pour cette raison qu’il ne con-
tient pas autant de fonctions
qu’un iPhone par exemple.
Une mémoire plutôt restreinte
– mais extensible par carte SD –
ni wifi ni GPS, le G800 est un
véritable artiste. Des petits man-
ques finalement pas si gênants.
JEAN-FRÉDÉRIC DEBÉTAZ
BOISSONS
ÉNERGISANTES
Red Bull a décuplé ses ventes
en une décennie en Suisse.
Alléchées, de nombreuses
marques ont lancé leur propre
version caféinée à l’extrême
pour s’attirer les faveurs des
jeunes. Leur consommation,
avec ou sans alcool, n’est pas
sans danger. Décodage et test
gustatif. Notre enquête.
YSEULT THÉRAULAZ
TEXTES
PATRICK MARTIN
PHOTOS
E
ntre 1995 et 2007, le
nombre de canettes de
Red Bull écoulées en
Suisse est passé de 9 à 91 mil-
lions! La boisson existe en fait
depuis 1987 et s’est vendue sous
le manteau jusqu’en 1995. Un
marché noir et un phénomène
de bouche à oreille qui ont
permis
à
la
marque
autri-
chienne de s’envoler littérale-
ment. Les
technofreaks
et autres
nightclubbers
n’ayant pas at-
tendu la commercialisation offi-
cielle pour se procurer le pré-
cieux élixir.
«A la base, le Red Bull n’avait
rien pour plaire, explique Pa-
trick Colelough, codirecteur de
CREA, l’école genevoise de créa-
tion publicitaire qui ouvrira ses
portes en avril. Il n’était pas
spécialement bon, pas beau et
assez cher par rapport à un
soda classique. Mais la marque
a profité de cette prohibition
pour s’implanter sur le mar-
ché.»
Interdite longtemps dans de
nombreux pays européens à
cause de sa composition ex-
trême
(lire ci-contre)
, cette bois-
son n’a à l’heure actuelle tou-
jours pas droit de cité en
France, pays ayant refusé d’as-
souplir sa législation. Cet inter-
dit a permis au phénomène Red
Bull de s’installer et de faire
naître des légendes urbaines co-
pieusement propagées sur inter-
net. «Le mélange de Red Bull et
de vodka censé procurer des
effets semblables à ceux de l’ecs-
tasy ou encore la mort supposée
de
certains
consommateurs
sont
certaines
des
rumeurs
ayant piqué la curiosité des jeu-
nes, poursuit Patrick Colelough.
On appelle ça du
buzz (ndlr:
bruit
en
anglais)
marketing,
c’est-à-dire de la publicité virale.
C’est une façon de communi-
quer très efficace.»
Marché en expansion
L’arrivée sur le marché ces
dernières années d’une pléthore
d’autres boissons énergisantes
n’a pas coupé les ailes au tau-
reau: entre 2006 et 2007, ses
ventes ont augmenté de 11%.
Cette invasion du marché a ac-
centué la banalisation de cette
consommation.
Coop et Migros affirment que
la commercialisation, en 2005,
de leurs propres boissons à prix
plancher n’a pas fait de tort aux
ventes du pionnier en la ma-
tière dans les magasins. «Ce
marché est en pleine croissance.
Surtout depuis l’an dernier»,
confirme
Martina
Bosshard,
porte-parole de Migros. Même
son de cloche du côté du distri-
buteur de Mad Drink, boisson
commercialisée en Suisse de-
puis 2006. «Nous avons vendu
970 000 canettes
la
première
année, explique le directeur des
ventes Charles-Edouard Jaggi.
L’an dernier, nous avons pro-
gressé de 34%.»
Plus étonnant encore, en sep-
tembre 2006, la marque de jus
de fruits biologiques Biotta,
connue pour prendre soin de la
santé de ses clients, a lancé un
cocktail surcaféiné, le Biotta Bio
Energy. Il se place déjà à la
troisième position des meilleu-
res ventes de la marque.
C’est qu’avec des promesses
de force, de vitalité et des slo-
gans racoleurs, le public cible,
les 15 à 29 ans, se laisse facile-
ment séduire par ces sodas
aussi excitants que caloriques.
«Leurs noms ressemblent à
ceux des groupes de rock, note
Patrick Colelough. Les couleurs
utilisées sont métalliques, les
logos font parfois penser à des
tatouages et ressemblent à ce
qu’on retrouve sur les snow-
boards. La consommation de
ces sodas s’est d’ailleurs totale-
ment banalisée, les jeunes boi-
vent ça comme de l’eau!»
Seulement, cette flotte-là con-
tient la dose maximale de ca-
féine autorisée par la loi, soit
32 mg par 100 ml. Raison pour
laquelle les fabricants sont dans
l’obligation, dès que cette valeur
dépasse les 25 mg par 100 ml,
de mettre en garde les femmes
enceintes, les enfants et de pré-
ciser: «Ne pas mélanger avec de
l’alcool.»
Une phrase qui prête à sou-
rire tant le mélange vodka-Red
Bull est devenu un classique des
»
De la plus appréciée à la moins bonne, notes et commentaires des dégustateurs
BIOTTA BIO ENERGY
(250 ml)
7,5/10
Biologique et légèrement
pétillant. Sans taurine,
ni glucuronolactone.
Les+
Bon goût de raisin,
bouteille refermable.
Les -
Aspect semblable
au vinaigre.
L’avis de Christophe
Gulli
Bouteille en verre
et mention bio
plus attrayants.
Prix
2 fr. 50 dans
les supermarchés.
MICHEL POWER
COFFEEBERRY
(250-330 ml)
6,6/10
Sans gaz, sans taurine
ni glucuronolactone.
Les +
Texture onctueuse.
Les -
Goût non identifiable.
L’avis de Christophe Gulli
Goût agréable,
sans dominante, jus idéal
pour le petit-déjeuner.
Prix
1 fr. 90 env. les 33 cl.
Disponible en kiosques
et bientôt dans
les supermarchés Casino
et dans les stations-service.
MAD DRINK
(250 ml)
3,6/10
Avec taurine, vitamines B2,
B3, B5, B6, B12
et glucuronolactone.
Les +
Goût plus agréable
que celui du Red Bull.
Les -
Trop mousseux.
L’avis de Christophe Gulli
Sucre moins présent
en bouche
.
Prix
1fr. 30 env. selon
le distributeur (adresses
sur www.maddrink.ch).
Disponible dans les super-
marchés Casino en mars.
TROJKA EXCITING
(250 ml)
3,4/10
Sans taurine
ni glucuronolactone.
Les+
Odeur convenable.
Les -
Semblable à
du sirop pour enfant.
Couleur repoussante
et chimique.
L’avis de Christophe
Gulli
Goût sucré
persistant.
Prix
1fr.80 dans
les supermarchés
Casino, notamment.
TROJKA ENERGY
(250 ml)
3,3/10
Avec taurine, sans
glucuronolactone.
Les +
Aspect
convenable.
Les -
Odeur
désagréable.
L’avis de Christophe
Gulli
Similaire au
Red Bull, goût moins
long en bouche.
Prix
1 fr. 80 dans
les supermarchés
Casino, notamment.
LA DÉGUSTATION
Toutes les boissons
énergisantes
sélectionnées
contiennent du sucre
et 32 mg de caféine
par 100 ml,
soit la dose maximale
autorisée par la loi.
Les dégustateurs:
Gilles Biéler, Antoine
Blanc, Pascale Burnier,
Rebecca Mosimann,
Laure Pingoud, Sandra
Weber et Christophe
Gulli, instructeur
des techniques de bar
à l’Ecole hôtelière
de Lausanne.
Ils ont eu sous
les yeux les différents
emballages et ont
donné une note
à chaque boisson.
Un résumé des aspects
positifs et négatifs
répertoriés
par plusieurs
dégustateurs suit
la note moyenne
obtenue.
DÉPENDANCE
Ces canettes renferment une grande quantité
de sucre, ainsi qu’une dose de caféine
comparable à celle d’un café serré.
LAUSANNE, LE 28 JANVIER 2008
Samsung
SGH-G800
Prix: 799 fr. (sans abo)
Tribande
Appareil photo
5 mégapixels
Mémoire interne de 145 Mo
(accepte les cartes
microSD)
136 grammes
DR
29
LUNDI 4 FÉVRIER 2008
24 HEURES
VOUS
VC1
volentdesuccèsensuccès
Propre et silencieux, le boguet nouveau a la fibre écolo
MOBILITÉ
Inventé à Neuchâtel, Mobilec
veut révolutionner le monde
du vélomoteur. Ce deux-roues
électrique est à la fois
pratique et peu onéreux.
Nom d’une pétarade, le monde
du boguet se prépare à une
petite révolution! Le dernier-né
des deux-roues accessibles aux
ados dès 14 ans promet de ne
polluer ni l’air ni les oreilles. Et
cela à prix doux.
Baptisé Mobilec, ce premier
cyclomoteur
électrique
a
le
même look qu’un scooter et
offre le même confort. Il est
doté de deux rétroviseurs, de
bons phares et de clignotants.
Un carénage en plastique – cus-
tomisable – protège le cadre et
les composants électromécani-
ques.
L’utilisation du Mobilec n’a
rien de compliqué. L’engin se
charge sur une prise secteur
avant de prendre la route. Un
pilote pesant 75 kilos peut par-
courir 30 km sans refaire de
«plein» de batterie. Enfin, et le
détail a de l’importance: ce
deux-roues avale des pentes jus-
qu’à
12%
sans
qu’il
faille
mouiller sa chemise en péda-
lant.
Côté finances, Mobilec fait
mieux que le «péteux» tradi-
tionnel. Il coûte 1995 francs –
contre 2300 à 3000 francs pour
un boguet neuf – et sa facture
d’électricité aux 100 km se
monte à 1 franc. L’équivalent
d’un vélo électrique. En comp-
tant la consommation, l’entre-
tient et les taxes, l’engin devrait
s’amortir en six ans à moins de
50 francs par mois, selon les
calculs du constructeur, l’entre-
prise neuchâteloise Sytrel.
Moins pétaradant que le bo-
guet traditionnel, moins coû-
teux que la voiture et plus cos-
taud que le vélo, Mobilec devrait
trouver sa place sur le terrain de
la mobilité, qu’elle soit urbaine
ou campagnarde. Et si l’engin
n’est plus fabriqué en Suisse –
ses prototypes l’ont été – son
assemblage se fait toujours ici.
Qui plus est, ce montage est
confié à une association tra-
vaillant avec des personnes han-
dicapées.
ANNE-ISABELLE AEBLI
Plus d’info sur le site internet
www.mobilec.ch
Le premier
vélomoteur
électrique a un air de scooter.
PHOTOSDR
soirées arrosées. Les établisse-
ments publics ont donc trouvé la
brèche permettant de contenter
leurs clients: en servant une ca-
nette d’
energy drink
et un shoot
de vodka à la même personne,
mais sans réaliser le cocktail
eux-mêmes. «On est à la limite
de la législation, admet Charles
Charvet, adjoint du chimiste
cantonal. Mais on ne peut rien
faire. Même si les deux boissons
ne
sont
pas
ingurgitées
en
même temps, le mélange se fe-
rait de toute façon dans l’esto-
mac.»
Dangereuse tendance
à sous-estimer l’ivresse
Si les effets sur l’organisme
sont loin de l’extase promise à
l’époque de la «prohibition», ils
ne
sont
pas
anodins
pour
autant. «Le pouvoir stimulant
de la caféine s’oppose à celui
anesthésiant de l’alcool, explique
Thierry Buclin, médecin adjoint
à la division de pharmacologie
et
toxicologie
cliniques
du
CHUV, à Lausanne. De la même
façon, l’alcool diminue les effets
excitants du café. Les consom-
mateurs auront donc tendance à
moins ressentir l’ivresse et à la
sous-estimer en se croyant, par
exemple, aptes à conduire. Un
ingrédient va donc moduler la
dangerosité de l’autre.»
Le
directeur
de
l’Institut
suisse de prévention de l’alcoo-
lisme et autres toxicomanies
(ISPA), Michel Graf précise: «La
quantité élevée de sucre pré-
sente dans ces boissons permet
à l’alcool d’entrer très vite dans
le sang et procure donc rapide-
ment un sentiment d’euphorie.
C’est aussi le cas lorsqu’on mé-
lange du coca avec du whisky,
mais la forte quantité de caféine
des boissons énergisantes donne
le sentiment d’être plus
fit
Sans oublier que consommés
avec ou sans alcool, ses sodas
peuvent entraîner une dépen-
dance semblable à celle ressen-
tie par les grands consomma-
teurs de café. «Chaque canette
ingurgitée correspond à un café
serré, explique Laurence Mar-
got, diététicienne aux Ligues de
la santé, à Lausanne. Alors com-
bien de café les parents sont-ils
d’accord de faire boire à leurs
ados?»
£
A bon entendeur
se penche
sur les dangers des boissons
énergisantes. A découvrir
demain à 20 h 10 sur TSR1.
www.abe.ch
www.redbull.ch
RED BULL
(250 ou 355 ml)
3,1/10
Avec taurine, vitamines
B12, B2, B6
et glucuronolactone.
Les+
Goût trop sucré,
trop chimique et agressif.
Les -
Couleur naturelle
semblable à celle
du jus de pomme.
L’avis de Christophe
Gulli
Goût de fraise
chimique persistant.
Prix
1 fr. 95 (250 ml)
dans les supermarchés.
BURN
(250 ml)
3/10
Sans taurine
ni glucuronolactone.
Les +
Goût de sirop
de grenadine.
Goût de framboise
pas trop désagréable.
Les -
Couleur
rouge foncée trop
chimique.
L’avis de Christophe
Gulli
Odeur et goût
très chimiques.
Prix
1 fr. 60 dans
les supermarchés.
ENERGY DRINK
GUARANA
(250 ml)
2,6/10
Sans taurine
ni glucuronolactone.
Les +
Aspect
semblable à celui
du jus de pomme.
Les -
Goût
de médicament.
Odeur de désinfectant.
L’avis de Christophe
Gulli
Goût persistant
désagréable.
Prix
1 fr. dans les
supermarchés Casino.
TROJKA RELAOD
(250 ml)
2,3/10
Avec taurine, vitamines
B3, B6 et B12,
sans glucuronolactone.
Les +
Goût moins sucré
que les autres
Les -
Couleur et goût
de chlore.
L’avis de Christophe
Gulli
Couleur attrayante,
goût quelconque.
Prix
1 fr. 80 dans
les supermarchés
Casino, notamment.
PRIX GARANTIE
ENERGY DRINK
(250 ml)
2,2/10
Avec taurine, vitamines
B3, B6 et B12,
sans glucuronolactone.
Les +
Couleur jaune
naturelle, semblable
à celle du jus
de pomme.
Les -
Goût
de médicament.
L’avis de Christophe
Gulli
Goût quelconque
Prix
1 fr. à la Coop.
M BUDGET ENERGY
DRINK
(250 ml)
1,9/10
Avec taurine,
vitamines B3, B6, B12
et glucuronolactone.
Les +
Couleur jaune
naturelle.
Les -
Trop mousseux.
Odeur atroce
et repoussante.
L’avis de Christophe
Gulli
Goût amer
et désagréable
en bouche.
Prix
1 fr. à la Migros.
»
Quelques ingrédients récurrents
TAURINE
C’est un acide aminé présent
dans l’organisme de plusieurs êtres
vivants, dont l’homme. Les boissons
énergisantes qui en contiennent
prétendent qu’en cas d’effort intense
ou de stress, le corps en manque,
d’où la nécessité d’un apport
supplémentaire. Aucune étude n’a mis
en évidence ce genre de carence. «On
ne sait rien de la toxicité de la taurine
lorsqu’elle est consommée à haute
dose», précise Thierry Buclin. Par
prudence, la France interdit donc
les boissons contenant de la taurine.
GLUCURONOLACTONE
Sucre présent
dans le corps, il participe au processus
de désintoxication de l’organisme.
Selon l’Agence française de sécurité
sanitaire des aliments: «Il peut avoir
des répercussions négatives sur
la santé, comparativement aux sucres
comme le glucose ou le fructose, qui
sont mieux absorbés.» La France
interdit aussi les produits contenant
du glucuronolactone.
VITAMINES
Groupe de vitamines
hydrosolubles améliorant notamment
les fonctions immunitaires
et nerveuses de l’organisme.
La quantité de B12 contenue dans
100 ml de certaines de ces boissons
correspond à deux fois plus qu’il n’en
faut au corps humain par jour.
«Les cas de carence en B12 sont rares,
explique Laurence Margot. Le corps
se débarrasse facilement du surplus.»
GUARANA
La graine de cet arbuste
contient une grande quantité
de guaranine, qui n’est autre que
de la caféine!
Y. T.
Le Mobilec
est doux pour l’air,
les oreilles et le porte-monnaie.
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