Enterrons l'enfant de la veuve avec sa mère

Avocksouma Djona Atchénémou

Description

Lorsqu'éclate la guerre civile au Tchad en 1979, Djona est emprisonné par les hommes d'Hissein Habré à l'abattoir de Diguel. Il s'en sort à bon compte pour avoir sauvé la vie de l'un de ses geôliers. Réfugié politique, il parcourt alors le monde à l'occasion de ses études universitaires (Congo, France, Canada). Malheureusement, " il lâche la proie en Occident pour l'ombre " au CIESPAC (Centre Inter-États d'Enseignement Supérieur en Santé Publique), où il affronte la nébuleuse " Françafrique ".

Sujets

• Histoire
• Littérature
• Autobiographie
• Mémoires
• Récit
• Témoignage

Informations

• Publié par: L'Harmattan
• Date de parution: 01 septembre 2013
• Nombre de lectures: 19
• EAN13: 9782336323169
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 3 Mo

Extrait

Avocksouma Djona Atchénémou

Enterrons l’enfant de la veuve avec sa mère

Orphelin en pays tchadien

Récit autobiographique

Préface de Raphaël Akpa Gbary

Graveurs de Mémoire Série : Récits de vie / Afrique centrale

Enterrons l’enfant de la veuve avec sa mère

Graveurs de Mémoire Cette collection, consacrée essentiellement aux récits de vie et textes autobiographiques, s’ouvre également aux études historiques *

La liste des parutions, avec une courte présentation du contenu des ouvrages, peut être consultée sur le sitewww.harmattan.fr

Avocksouma Djona Atchénémou Enterrons l’enfant de la veuve avec sa mère

Orphelin en pays tchadien

Récit autobiographique

Préface de Raphaël Akpa Gbary

© L’Harmattan, 2013 5-7, rue de l’Ecole-Polytechnique, 75005 Paris http://www.librairieharmattan.com [e-mail] [e-mail] ISBN : 978-2-343-00461-7 EAN : 9782343004617

Aux trois femmes de mavie:Maman Zlamandjou, Tante Maïda et Bernadette Hodda, mon épouse. A mon défunt père:Atchénémou, dit Kourba A mes enfants:Sana Ma-Ndjigueta, Y-Halpata, Saleina-Oulona, Tchitchiou, Amoulou, Isis Vetada et Jethro. A mes frères et sœur:Vounsia, Hathourang, Beissalam, Danane, Adina Adapko A mes nièces et neveux: Léva, Mandio, Weko, Vétada, Kadaki Orpa, Ngolsouma Samuel, Docksou Siméon, Sarah, Sabour, Samson, Saphyr, Salomon, Salama, Sepho, Soumada, Baktara, Hewa, Anne, Awati, Avounda,Zhamandjou, Maida, Kaltouma, Marie, Ou-Ou, Ngonga, Amigué. A mon frère de misère:Amoulah Boukar dit Mourly

Ma reconnaissance à : Jean Samgué, mon premier moniteur, Mandet Isaac Baktara, Yohanna Atchoumgué Baktara, David Lopma Baktara, Abdallah Ballo, Pafourmi Moïse, Maoundoé Naïndouba Moïse, Daniel Djio, Roger Hubert Ngourou, Hyacinthe Defoundoux-Fila, Henri Sosso, Moussa Faki Mahamat, Hassan Beh, Alain Lepère, Louis Claude et Elizabeth Gilard, Louis Massé, Dr Luis Gomes Sambo, Pauline Mba, Basgué Disso, Maître Vincent Gomes, Dr Kalambay Kalula, Jean Dominique Okemba, Aimé Mbongo, Maître Bassa Nadjiounoum, Pr Facho Balaam, Adam Chamchadine, N. Noël Ndjékéry, Pr François Canonne, Alain Levigouroux, Pr Gilles Dussault, Pr François Champagne, Dr Akpa Gbary Raphaël, Euloge Makita, Martin Djouob, Pr André Pierre Contandrioupoulos, Dr Mathias Somé, Pr Jean Louis Denis, Mme Kaboré Francine Yvette.