Le pass sanitaire, c’est la liberté ?

Stéphane Polsky

Description

Pourquoi se fait-on vacciner contre le Covid-19 - ou non ? Pourquoi se munit-on d'un pass sanitaire - ou non ? « Ce qu'il y a d'extraordinaire, c'est de constater combien tout ce que les résistants au discours gouvernemental ont annoncé dès le début de la campagne de "vaccination" s'est avéré et continue de se vérifier ! Les lanceurs d'alerte ? On les déprisait, on les traitait de complotistes.» Au milieu de l'immense confusion créée par nos gouvernants (médicale, économique, politique, et même familiale), Stéphane Polsky nous invite ici à mieux voir dans quelle mesure la décision que l'on croit prendre d'approuver ou non l'obligation vaccinale et/ou la présentation d'un pass sanitaire nous échappe. Les Big (Pharma, Data...), l'État et ses médias entrent aussi, et pour beaucoup, dans notre choix.Avec précision et finesse, et d'un ton pamphlétaire non dénué d'humour, l'auteur passe en revue les deux années de « crise sanitaire due au Covid-19 » qui viennent de s'écouler. Ce livre s'adresse aux personnes touchées par la propagande gouvernementale, qui le regrettent... et à tou.te.s celles et ceux qui en souffrent et refusent de s'y soumettre.

Sujets

• Crise sanitaire
• Vaccination

Informations

• Publié par: Le Souffle d'or
• Date de parution: 20 septembre 2022
• Nombre de lectures: 3
• EAN13: 9782364292154
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 4 Mo

Extrait

Couverture
Titre

Stéphane POLSKY
Le pass sanitaire, c’est la liberté ?
Retour sur la propagande vaccinale… et politique

www.yvesmichel.org
Du même auteur



Du même auteur :
Le 9-3 de Z à A , Éditions Les Mandarines, Brec’h, 2014
Le 9-3 éclaire l’Orient (en collaboration avec Leïla Hicheri),
Éditions Les Mandarines, Brec’h, 2015
Cahier de vacances des Gilets Jaunes (en collaboration avec Leïla Hicheri), Arts Mâtures, Paris, 2020

Ce livre est la seconde version – revue, augmentée, pimentée –, du livre numérique Le pass sanitaire, c’est la liberté ?
Essai sur la propagande vaccinale… et politique, publié aux Éditions Yves Michel en novembre 2021.
Dédicace

En hommage à Mauricette Doyer, victime pleine de vie, et en souvenir – et en avenir aussi, hélas – de chacune des millions de victimes de cet assassinat de masse.


Si « la barbarie nous suit comme une ombre », « tout pourrirait sans le sel radical, sans l’individu qui refuse de bêler selon le ton et la mesure. L’individu qui pense contre la société qui dort, voilà l’histoire éternelle, et le printemps a toujours le même hiver à vaincre ».
Alain (Émile-Auguste Chartier, dit ), Pour l’individualisme , 1911.


« La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera. »
Émile Zola.


En hommage à Nejeh ben farhat , Gilet Jaune.


Contre Emmanuel Macron et son ignoble monde.
Exergue

« La philosophie nous apprend à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous apprend à accepter comme évidentes des choses dont il serait raisonnable de douter. »
Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes , 1958.


« Pour sauver la masse, il fallait sacrifier l’individu. »
Jack London, La Peste écarlate , 1912.


Sommaire
1 – Introclusion partielle à ce qui n’est pas près de s’arrêter
2 – Dix raisons pour ne pas tous se faire vacciner
3 – Étranges informations contre informations étrangères
4 – De l’immunité collective des laboratoires pharmaceutiques
5 – Quoi ? quelles alertes ?
6 – Phase 3 sur 4 des essais cliniques. Peut-être, et donc ?
7 – Des effets secondaires… secondaires
8 – Ces pathologies au secours des vaccins
9 – Censure des canards
10 – Retours sur un chaos
11 – De la controverse impossible sur le Covid-19 en général et les vaccins en particulier
12 – Disqualification de tout discours divergent
13 – L’écartement des grandes figures d’opposition à l’imposture gouvernementale
14 – L’écrasement des recours juridiques
15 – Du pays pour réciter les fables de l’État
16 – Toute la force médiatique pour une vaccination libre
17 – Vers un abonnement vaccinal ?
18 – Des profits privés records
19 – Une commercialisation mondiale non régulée des vaccins
20 – Propagande ? Corruption !
21 – Un remède de… cheval
22 – Des alternatives possibles ? Impossible !
23 – Propagande vs Émancipation
24 – Pass pas sanitaire vaccinal : abrogé ? prorogé ? levé !
25 – Vers une surveillance individualisée de masse
26 – De la peur
27 – Ils continuent, ils persistent !
28 – Ode à Emmanuel Macron
29 – Populiste populacier
30 – De la mauvaise langue médiatique
31 – Cigarettes et Pokémon
32 – Complotiste !
33 – Le syndrome du bon blog
34 – Vie d’avant ? Non : Monde d’avant !
35 – Jamais plus vivant que dans la lutte
36 – Propagande partout, raison nulle part
37 – Une magnifique botte de carottes
38 – FranceSoir & cie vs propagande & co
39 – Résistance
40 – Résistance à l’économie
41 – Joie contestataire
42 – Violences policières
43 – « Apartheid » ? Étoile jaune ? Vraiment ?
44 – Des rassemblements « d’extrême droite »
45 – Division, oui : adhésion, non
46 – La dose ressortit au bulletin

1 – Introclusion partielle à ce qui n’est pas près de s’arrêter
Entre la publication numérique de la première version de ce livre, en novembre 2021, et celle, augmentée, sur papier, de la seconde, en septembre 2022, et plus généralement au long des deux années et demie de « crise sanitaire due au Covid-19 » qui viennent de s’écouler, ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est de constater combien, dès qu’elle sort du puits, la vérité se voit forcée d’y retourner. Régulièrement, elle perce, elle prend le pas sur le mensonge, même ; mais aussitôt, alors, la voilà, tapée, maltraitée, qui replonge dans les profondeurs. Comme à ce jeu forain où, debout devant une table à trous, les enfants armés d’un gros marteau en caoutchouc assomment les puces qui en jaillissent, armée du mensonge médiatique, la majorité de la population assomme la vérité qui pointe ; elle arrache, piétine et brûle la moindre graine plantée par les rétifs à la doxa qui éclôt dans le champ commun. « On flingue les meilleurs, on se tourne vers des médiocres, et puis on stérilise le débat pour qu’il n’y ait absolument aucune contradiction » , résume Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, dans une visioconférence organisée le 17 novembre 2021 par le collectif Libertad . 1
À l’image d’un Jean Castex pour qui, le 2 novembre 2021, « le meilleur moyen de soulager l’hôpital » , ce n’était pas de le reconstruire ou au moins de le préserver, mais « de ne pas tomber malade » , c’est de la bouche des gouvernants que sort le mensonge ; et la plupart des gouvernés, qui leur font une confiance aveugle, le croient et ne trouvent rien d’autre à redire à l’injection forcée, par exemple, ou au confinement des personnes non vaccinées, ou à la suspension sans revenus des soignants, que : rien, justement.
Or, tout, nous disons bien TOUT de ce que les résistants au discours gouvernemental ont annoncé dès le début de la « crise sanitaire » s’avère et continue de se vérifier. C’est lent, et le dénouement se fait attendre, certes, mais, si le mensonge prend l’ascenseur, nous dit un proverbe africain, la vérité prend l’escalier : elle met certes plus de temps, mais elle finit toujours par arriver. Car « toute vérité franchit trois étapes, précise Arthur Schopenhauer . D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis elle est considérée comme ayant toujours été une évidence » .
Contre le Covid-19, soi-disant que les confinements, les couvre-feux et autres attestations de sortie étaient la solution ultime ; – et finalement, rien, les restrictions ne présentent aucune autre utilité que d’appauvrir, d’user et tuer les populations ; la « stratégie zéro Covid » est un leurre ; et la vie et la santé ne peuvent se résumer au fait de ne pas être infecté par le Covid-19. Les lanceurs d’alerte le disaient : on les ignorait, on les trouvait irresponsables.
Contre le Covid-19, soi-disant que les injections immunisaient contre l’infection 2 ; puis réduisaient la transmission ; puis prévenaient les formes graves – d’où cette répartie d’Hélène Banoun, membre du Conseil scientifique indépendant (CSI), le 26 janvier 2022 : « Le vaccin empêche les formes graves, ce sont donc des formes légères qui envoient les malades en réanimation en Israël ! » – ; et finalement : rien, efficacité zéro, inexistante, tant sur le plan stérilisant qu’altruiste, toujours autant de morts en dépit de ces légendes urbaines 3 , et en prime un nombre toujours croissant d’effets secondaires – de moins en moins déniés à mesure qu’augmente le nombre de personnes frappées. Les lanceurs d’alerte le disaient : on les déprisait, on les traitait de complotistes.
Contre le Covid-19, soi-disant que les injections ne présentaient pas d’effets secondaires ; puis pas d’effets secondaires graves ; puis pas d’effets secondaires graves non connus ; puis pas de transcription à l’ADN – et finalement : tout, innocuité zéro, inexistante, dangerosité certaine, absolue, une liste longue comme dix aiguilles de conséquences possiblement mortelles 4 , et un pourcentage de risques – prétendument « infinitésimal » – devenu supérieur à celui des bénéfices. Les lanceurs d’alerte le disaient : on les méprisait, on les taxait d’obscurantisme.
Contre le Covid-19, soi-disant que, pour protéger les autres et retrouver une vie normale , une seule injection suffirait ; puis deux ; puis deux plus une dose de rappel ; puis quatre, finalement, et, la privation des libertés ayant été gravée dans le marbre, et les devoirs passant désormais avant les droits , c’est bien à un abonnement vaccinal que le droit de chacun à une vie sociale, culturelle, sportive, professionnelle, spirituelle, épanouie, libre, est désormais conditionné 5 . Car il ne devait pas y avoir de pass sanitaire, et finalement si ; car il ne devait pas y avoir de pass vaccinal, et finalement si ; car le pass ne devait être que provisoire, et finalement non ; car il ne posait pas, enfin-mais-on-n’est-pas-en-Chine, les prémices d’une identité numérique propre au contrôle social à l’européenne… Les lanceurs d’alerte le disaient : on les stigmatisait, on les insultait de paranoïaques.
Le plus évident pour la fin : contre le Covid-19, soi-disant qu’il n’existait pas de traitements ambulatoires précoces (TAP), qu’il ne fallait pas utiliser d’antibiotiques, qu’il ne fallait pas ou peu consulter son médecin (ou à distance de préférence), qu’il fallait rester chez soi, s’isoler, se gaver de paracétamol – soit une substance pouvant « entraîner des lésions graves du foie dans certains cas irréversibles », alertait l’ Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) en 2018 –, et, au pire, c’est-à-dire en cas de difficultés respiratoires, c’est-à-dire trop tard, composer le 15… Seuls les « vaccins » étaient prescrits, et en même temps étaient proscrits l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine (contre le Covid-19), la doxycycline (contre le monkeypox), – la ribavirine