Architecture militaire traditionnelle en Afrique de l Ouest
286 pages
Français

Architecture militaire traditionnelle en Afrique de l'Ouest , livre ebook

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Description

Cet ouvrage présente un panorama des différents types d'architecture militaire à caractère défensif de l'Afrique de l'Ouest, avec une description minutieuse des techniques de construction et des dispositifs de défense, qui apparaissent d'une grande ingéniosité, notamment chez les tata (fortifications en banco).

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Informations

Publié par
Date de parution 01 octobre 2012
Nombre de lectures 46
EAN13 9782296506107
Langue Français
Poids de l'ouvrage 5 Mo

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Extrait

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ThIerno Mouctar BAH
ARCHITECTURE MILITAIRE TRADITIONNELLE EN AFRIQUE DE L’OUEST
e e DuXVIIà la in duXIXsIècle
Défense Stratégie & Relations Internationales
ARCHITECTURE MILITAIRE
TRADITIONNELLE ENAFRIQUE DE LOUEST
CollectionDéfense,Stratégie &RelationsInternationales (D.S.R.I) (Dirigée parFançois Manga-Akoa)
Depuis la chute du Mur de Berlin le 09 novembre 1989 qui a entraîné celle du Bloc socialiste est-européen dirigé et dominé par l’Union soviétique, puis celle de l’URSS le 08 décembre 1991, signant ainsi la fin de l’affrontement entre les pays du pacte de Varsovie et ceux de l’OTAN, la guerre a pris plusieurs formes inédites jusqu’alors. Le terrorisme international, les guerres asymétriques, la guerre économique se sont exacerbés grâce au développement exponentiel des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Par ailleurs, la privatisation de l’usage de la force, jusqu’alors réservé à l’Etat, a rendu possible l’externalisation de plusieurs services de l’Etat. En effet, plus que jamais, se vérifie l’adage de Héraclite qui affirme que la guerre est la mère de toute chose. Tel un veilleur qui attend l’aurore, la collectionD.S.R.Iscrute l’horizon de ce nouveau siècle, décrypte et prospecte l’actualité internationale en ses aspects politiques, diplomatiques, stratégiques et militaires.
Déjà paus
PRAO Yao Séraphin, Le franc CFA, instrument de sous-développement,2012. Salim Oussène Sanka DANKORO,La scène internationale à l’heure des menaces terroristes, 2012. Kaïdar AYOUB et Mohi Eldine EL SHEIKH YAHIA,Comment venir à bout du conflit au Darfour ?, 2012. Mohamed Saleck OULD MOHAMED LEMINE,l’espéranceMauritanie : déçue. 2006-2008 : une démocratie sans lendemain, 2012. Victor HAMENI BIELEU,Politique de défense et sécurité nationale du Cameroun, 2012. Bernard FONTAINE,Les armes à énergie dirigée. Mythe ou réalité ?, 2011. Gabrielle FOY,L’influence de la communauté sur la géopolitique argentine, de 1850 à nos jours, 2011. Alphonse TONYE,Barack Obama : un homme, un peuple, un destin, 2011. Seddik LARKECHE,Épistémologie du risque, 2011. Sidi Mohamed SIDATY,Mémento des relations diplomatiques, 2010. Alain DE NEVE,L'Agence européenne de défense et la coopération dans le domaine capacitaire, 2010. Jérôme BELINGA,Glossaire raisonné anglais-français du jargon diplomatique, 2010. Abakar TOLLIMI,La résolution des conflits frontaliers en Afrique, 2010. Léon KOUNGOU,Le régime de non-prolifération nucléaire,2010.
Thierno MouctarBah
ARCHITECTURE MILITAIRE TRADITIONNELLE ENAFRIQUE DE LOUEST
e e Du XVII à la fin du XIX siècle
© L’Hamattan, 2012 5-7, ue de l’Ecole-Polytechnique, 75005 Pais
http://www.librairieharmattan.com diffusion.harmattan@wanadoo.fr harmattan1@wanadoo.fr
ISBN : 978-2-336-00086-2 EAN : 9782336000862
À MES PARENTS
EN SOUVENIR DE MON AMI SAMBA BALDE
EN GUISE DE PRÉFACE
SCÉNARIO POUR UN FILM : SAMORI Par SEMBÉNE OUSMANE
Thierno
Dakar, le 22 Octobre 81
J’ai bien reçu ton mot, et le communiqué au colloque de Montpellier 81. Auparavant, notre ami Barrym’avait procuré ta thèse. Merci de tout. J’ai été très content de ton communiqué : « La stratégie des Alliances ». Pour le film sur Samori, je pousse l’audace jusqu’à provoquerune rencontre physique entre Samori, Ahmadou, AlbouryNdiaye pour négocier cette alliance. Mais comme pour leur échange de correspondance, il n’yaura pas de suite :une concrétisation. Le cinéma historique, surtout pour nous, doit permettre cela. Nous connaissons les deux personnages et les doctrines qui les animent. Comme tu l’écris, seul Alboury symbolise « ce courant unitaire ». Hélas, il y a la présence de DayKaba à Ségouaucôté d’Ahmadou qui, sans trop le charger, l’accabler, fera échouer cette rencontre.Et lui, Day Kaba en 90-91, rentrera à Kankan avec les Français. Samori, des années plus tard, fera la même chose avecBa Bemba. La rencontre Ahmadou/ Samori aura lieuaprès la retraite de Samori de Sikasso ème entre la signature du3 traité de Nyako et la chute de Ségou. Malgré tout, il faut que le film soit très logique et d’une lecturevisuelle très limpide. Je veux éviter la légende dorée tout envoulant être très près de l’histoire. Aussi, ton travail sur l’artillerie estun point très très capital. Je te remercie infiniment. Grâce à toi, j’ai éluu: les 4n point très important caronades achetées à Freetown. Deuxétaient à Sikasso. Yves Person avance que Fisting (Major) aida Samori à pousser Tyeba dans la Forteresse avec les deuxcanons. Je le crois… et pour le cinéma, ceci me permet beaucoup de choses… etc. etc. Mais resteun point très obscur pour moi… que sont devenus ces canons ? Les deuxde Sikasso, les deuxdeBissandugu. Partant de Sikasso, Samori les a laissés? Et pour l’exode partant deBissandugu, que sont devenus les canons ?
Enfin je bosse durement. Le scénario est presque fini. Si tu passais à Dakar, je me ferais un très grand plaisir de te le faire lire. Je te suis très reconnaissant pour ton travail. Excuse, mon écriture, Je suis 10à 12 heures par jour à ma table de travail. Écris- moi…Écris-moi, j’ai besoin de tes conseils.
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Fraternellement Sembène
NOTES SUR LA TRANSCRIPTION DES NOMS ET TERMES AFRICAINS
Nous avons retenu une transcription phonétique aussi simple que possible en nous inspirant du système préconisé par R. Colin (Littérature africaine d’aujourd’hui et de demain A.D.E.C.- 1965) et du système de transcription adopté à la conférence de Bamako en 1966.
Voyelles a– Comme papa, e- Comme dans le, é- Comme dans thé, i– Comme dans lit, o–comme dans sot, u– comme dans cou, y etwse substituent à i etucomme semi-voyelles, exemple Kinyan et Wosébugu. Nasales : nous avons conservé le système français an– comme dans chant on– comme dans pont
Consonnes : mêmevaleur qu’en français b, k, d, f, l, m, n, p, r, t,v, z. s et g sont toujours durs.
Pour la transcription de noms africains, nous n’avons pas tenucompte des normes grammaticales françaises relatives à l’accord dupluriel. Ainsi nous écrivons les Toucouleur, les tata, lessanyé.
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