Révolutionnaires - Tome 2
340 pages
Français

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Révolutionnaires - Tome 2 , livre ebook

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Description

Lutter contre les inégalités, les injustices, l'exclusion, la misère, voici le combat acharné de Jean-Claude Bougault. Afin de mettre un terme à la domination des puissants au service du capitalisme sur les plus démunis, il appelle à une révolution pacifiste, mais radicale. Révolutionnaires propose des solutions avant-gardistes pour mener à bien cette révolution et permettre à la France d'entrer dans une véritable démocratie, conduite par une union populaire et basée sur le débat, l'égalité, le dialogue, l'échange. Il invite également à une réflexion globale sur le fonctionnement actuel de notre société et son absence de perspectives pour les plus pauvres.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 août 2013
Nombre de lectures 16
EAN13 9782342010183
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0082€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait












Révolutionnaires Jean-Claude Bougault










Révolutionnaires

Tome 2




















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14, rue des Volontaires
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IDDN.FR.010.0118130.000.R.P.2012.030.31500




Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2013






Ce livre reste ce qui peut se faire mais qui n’a jamais été fait,
et pourtant il va y avoir tant de choses à faire, avec ce qui n’a
jamais été abordé, loin s’en faut. Le grand capital est son
sommet. Mais alors, plus dure sera la chute. Il n’y aura rien pour
l’empêcher de tomber, aucun garde fou. Il est clair qu’il faudra
bien l’aider à s’effondrer. Les révolutionnaires veulent tout cela.
1Ils ont ça dans leurs tripes. S’il n’y a qu’une partie de mes
livres qui sont appliqués et dont on se servira, ce sera une grande
victoire tout de même. Quelle différence de tenue et de langage
entre le riche et le pauvre. L’un travaille et l’autre fait travailler
(nuance). Avec ça, cohabitent les miséreux et les privilégiés
mais la différence qu’il y a entre eux est gigantesque. Il n’y a
que la révolution égalitariste qui peut arranger cet énorme
malentendu. Excusez-moi du peu. Il y a un manque de justice
flagrant entre l’espoir et le désespoir. L’un et l’autre peuvent se
compléter pour donner infiniment de mieux être. Pourquoi
fautil que des gens s’entre-tuent de par le monde. La vie devrait
devenir : LA LIBERTÉ.

1 ème début du 2 volume
9














e6 cahier







Le capitalisme a toujours tiré les ficelles de leurs
marionnettes à la tête des états de ce monde où le bourgeois domine
vulgairement ou brutalement. Les dictateurs ont trop souvent
trouvé des tuteurs parmi les grands de ce monde dit civilisé qui
est surtout une gigantesque arène où tout le monde s’affronte,
qui pour un bout de terrain, qui pour de l’argent, qui pour plus
de pouvoir encore.
Que de sang répandu abondamment de par le monde et tous
les jours encore et toujours. Le juste paiera pour l’injuste afin
qu’il aie sa parcelle de gloire. Le monde restera le terrain de
chasse de ces privilégiés. Le pauvre, quant à lui, reste toujours
l’exclu des récompenses de ce système. Il travail le pour la plus
grande gloire du riche et, de ce fait, ne reste que la force
d’appoint du grand capital et de tous ses serviteurs plus ou
moins acolytes.
C’est bien connu, l’homme reste un loup pour l’homme alors
qu’il y a des milliards de brebis humaines. Beaucoup préfèrent
l’égalité devant la richesse de ce monde. Il est prouvé que l’on
peut nourrir tout le monde sur cette terre. A genoux, les riches
et videz vos poches de l’inutile et du nuisible ; donnez ! donnez
vite ce qu’il y a dans vos poches ! Rabaissez votre orgueil
délirant !

Dans la vie politique en général et surtout dans les
campagnes électorales, certains partis politiques devraient appliquer la
méthode coué pour eux et ne pas partir battus. On doit dire dans
tel parti : on ne peut que gagner car on dit la vérité aux peuples ;
la vie est dure pour les gens, faites-nous confiance et ensemble
nous bâtirons quelque chose de nouveau et de beau à la fois.
Nous nous mettons toujours et encore à la place des gens, car
c’est là qu’est notre vraie place. Nous sommes les seuls à être
justes et limpides devant le peuple. Nous gagnerons parce que
nous sommes les meilleurs et les plus responsables.
13 Le peuple lutterait alors pour quelque chose d’accessible
dans l’immédiat ce serait alors bien plus attractif et désirable
pour le peuple en son entier en ces temps capitalistes dévoyés.
Cela paraîtrait le meilleur espoir et la plus belle planche de
salut. Votez et gagnez pour et par le peuple. La victoire est pour
celui qui la veut vraiment. Quand le peuple veut quelque chose
de sain et d’honnête, il l’obtient assurément malgré toutes les
forces de l’adversité et des partis politiques réactionnaires.

La plus grande inégalité dans les élections nationales réside
dans les sondages préélectoraux. On a l’étrange sensation
d’avoir déjà voté avant même les scrutins quand les scores sont
déjà affichés à la télévision d’après des sondages dispensés à
profusion. Alors, on finit par se savoir bien inutile. Cela
augmente souvent les pourcentages de l’abstention.
Les grands candidats partent favorisés d’avance par
l’existence de ces mêmes sondages qui les portent en avant par
l’intermédiaire des médias. Pourquoi faut-il favoriser toujours et
encore les mêmes ? ceux-là mêmes qui ont le moins besoin
d’aide car ils pèsent déjà lourd sans les médias.
Eux, les obscurs, les sans grades, les petits candidats, vous
partez pour la cause avec un handicap. Vous êtes mal connus
alors que les grands sont connus et reconnus de réputation dans
les médias, les faiseurs d’anges et de favorisés, les meilleurs ;
ceux qui arrivent sur le poteau avec au moins quatre longueurs
d’avance sur le second.
Actuellement, à cause des sondages, les élections sont faites
et défaites au gré en partie des médias. On ne vote plus par
lassitude mais par désespoir. Avec lassitude donc, on compte les
coups que ce pouvoir nous assène, sur nous le petit peuple. On
subit sans trop réagir, bien avant le scrutin. Alors, pourquoi
aller voter ?…
En dix ans de militantisme au parti communiste à Issoudun,
je n’ai pas souvenance d’avoir fait la moindre parcelle de social
ni d’avoir aidé qui que ce soit à sortir de la misère ou de la
pauvreté. Je me suis bien dépensé pour un bien piètre résultat.
Je n’ai pas du tout progressé, du moins c’est mon
impression, pour conforter l’avenir des autres si ce n’est que m’être
aidé moi-même. Et l’on peut s’étonner que la plupart des gens
sont et restent individualistes envers et contre tous et toutes.
14 Par contre, ma maladie Psy a fortement régressé grâce à mon
militantisme intrépide. Cette situation de militant acharné m’a
donné un but dans la vie car mes valeurs étaient pures, c’est du
moins ce que je croyais. J’étais à fond pour la gauche, puis
contre la gauche caviar, et enfin pour la vraie gauche.
Finalement, je suis maintenant pour la gauche qui n’existe pas, du
moins pas encore, peut-être jamais si l’on n’y prend pas garde.
Je ne suis pas peu fier d’avoir réussi ma vie politique en me
jetant à corps perdu, d’abord aveuglément, avalant tout ce que
le parti communiste professait. Puis, la raison l’emportait sur
l’instinct. La volonté s’affermissait et je me forgeais une
personnalité réaliste et critique.
Je me suis oublié pour faire ressortir l’efficacité et le réel
dans ma façon de voir et de comprendre. Il y avait toutefois une
bonne ambiance de camaraderie dans notre bonne vieille section

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