Au Nom de l'Harmonie, tome 5 : Souffle de Vie Partie 2

Olivia Sunway

Description

Ma sœur, Carole, venait d'être contaminée par une maladie mortelle que personne ne pouvait soigner, pas même moi...

Et comme si ça ne suffisait pas, les Rebelles voulaient me recruter pour éliminer le couple royal. Ils avaient aussi contacté Morgan et je ne savais plus de quel côté étaient les gentils.

En parlant de Morgan, je ne savais pas comment le convaincre de me faire confiance, malgré l'attirance indéniable qu'il y avait entre nous. Peut-être était-ce à cause de la présence d'Alex qui faisait tout pour que je le déteste un peu plus chaque jour...

"Un 5ème tome qui clôture parfaitement les aventures de Vicky, Morgan, Carole et Marc. Comme toujours, Olivia Sunway nous réserve une histoire palpitante pleine de rebondissements !"

Sujets

• Littérature
• Vampire
• Fantasy
• Paranormal
• Fiction
• Lycanthrope
• Romantique
• Fantasy urbaine
• Romance
• Époque contemporaine
• Littératures de l'imaginaire
• Werewolf
• Fantasy (canción de Mariah Carey)

Informations

• Publié par: Editions Temporelles
• Date de parution: 01 avril 2021
• Nombre de lectures: 6
• EAN13: 9782490913084
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Du même auteur :
Au Nom de l’Harmonie, tome 1 : Zéphyr
Au Nom de l’Harmonie, tome 2 : Miroir
Au Nom de l’Harmonie, tome 3 : Descendance
Au Nom de l’Harmonie, tome 4 : Souffle de Vie Partie 1
Au Nom de l’Harmonie, tome 5 : Souffle de Vie Partie 2
 
Working Love
 
Olivia Sunway
 
 
 
 
 

 
 
 
 
ISBN : 9782490913091
Dépôt légal : mars 2021
© Temporelles 2021
Temporelles
52 rue Louis Baudoin
91100 Corbeil Essonnes
 
 
Table des matières
Prologue
*** Carole ***
Chapitre 1
*** Vicky ***
Chapitre 2
*** Carole ***
*** Vicky ***
Chapitre 3
*** Carole ***
*** Vicky ***
Chapitre 4
*** Vicky ***
Chapitre 5
*** Carole ***
Chapitre 6
*** Carole ***
*** Vicky ***
Chapitre 7
*** Carole ***
*** Vicky ***
Chapitre 8
*** Vicky ***
Chapitre 9
*** Carole ***
*** Vicky ***
Chapitre 10
*** Vicky ***
Chapitre 11
*** Vicky ***
Chapitre 12
*** Vicky ***
Chapitre 13
*** Carole ***
*** Vicky ***
*** Carole ***
Chapitre 14
*** Vicky ***
*** Carole ***
Chapitre 15
*** Vicky ***
Chapitre 16
*** Vicky ***
Chapitre 17
*** Vicky ***
*** Carole ***
Chapitre 18
*** Vicky ***
Chapitre 19
*** Carole ***
*** Vicky ***
Chapitre 20
*** Vicky ***
Chapitre 21
*** Vicky ***
Chapitre 22
*** Vicky ***
Remerciements
Prologue
*** Carole ***
Cela faisait des jours que j’essayais de faire craquer Marc. Il avait tellement peur de me contaminer qu’il gardait toujours ses distances. Dès que nos baisers devenaient un peu trop fougueux, il se détachait de moi. Cette tension entre nous était terrible et me rendait folle. Je ne savais plus quoi faire pour le convaincre. Mais, ce soir, j’étais déterminée.
Je sortis de ma douche, m’enduisis le corps d’une lotion au monoï, passai mes plus beaux sous-vêtements en dentelle bleu marine et envoyai un message à Marc pour lui demander de me retrouver chez moi dans quelques minutes. Avant de rejoindre mon salon, j’enfilai un peignoir en soie rose pâle et déposai un préservatif dans une poche.
J’avais le ventre noué, car j’avais peur qu’il me repousse encore une fois. Pourtant, lorsqu’il apparut avec Mehdi, à seulement deux pas de moi, une joie intense m’étreignit. Je lui souris avec chaleur en le détaillant de la tête aux pieds. Il portait une chemise classe, d’un sombre bleu nuit, qui s’accordait parfaitement avec mes sous-vêtements, et un jean délavé qui mettait en valeur ses jambes fines.
Mehdi me salua brièvement avant de s’éclipser et Marc avança lentement vers moi, le sourire aux lèvres. Il me prit tendrement dans ses bras, puis déposa un léger baiser sur ma bouche.
— Pourquoi es-tu en peignoir ? demanda-t-il d’un air suspicieux en s’écartant un peu pour m’admirer. Qu’est-ce que tu as prévu, ce soir ?
Je pinçai les lèvres, car je savais qu’il n’allait pas être content.
— Je pensais à une soirée pyjama…, dis-je d’un ton innocent.
Marc plissa les yeux. Il n’était pas dupe.
— Carole…, murmura-t-il d’une voix torturée. Tu sais que ce n’est pas prudent…
— Mais si tu es habillé, je ne risque rien ! me plaignis-je, au supplice.
Mes mains caressèrent lentement ses fesses, puis glissèrent jusqu’à sa braguette. Comme à chaque fois que je tentais ce genre de choses, Marc se détacha de moi, haletant.
— J’en ai besoin…, gémis-je, la boule au ventre.
Je choisis ce moment pour ouvrir mon peignoir et le faire descendre sur mes épaules jusqu’à mes pieds. Marc prit une inspiration tremblante en découvrant mon corps presque nu.
— Qu’est-ce que tu fais ? s’affola-t-il.
J’avançai d’un pas prudent jusqu’à le toucher de nouveau. Mes paumes s’infiltrèrent sous le tissu de sa chemise pour caresser ses abdominaux parfaits.
— Je tente le tout pour le tout, soufflai-je.
— Tu es folle…, murmura-t-il en fermant les yeux et en attrapant mes poignets.
— Oui, folle de toi.
Il les écarta de son ventre.
— OK…, mais interdiction de me toucher en dessous de ma chemise.
— Tout ce que tu veux tant qu’on fait l’amour.
Le corps de Marc fut pris de tremblements. Il était plus tendu que jamais lorsqu’il plongea ses yeux bruns dans les miens. Le désir que j’y lus me donna des frissons partout.
Il relâcha mes poignets pour attraper mon visage et m’embrasser. Sa langue plongea timidement dans ma bouche alors que je déboutonnais sa braguette. Je tirai sur son pantalon comme une folle pour enfin le caresser.
Marc haleta contre ma bouche et son corps se crispa quand j’attrapai son membre entre mes doigts. Il était doux, chaud et tellement dur que ça me fit un effet dévastateur. Mon ventre était noué à l’extrême et la chaleur qui se répandait entre mes jambes me mettait au supplice.
Mon pouce passa sur le sommet de son gland et étala la petite goutte qui s’en échappait.
— Bon sang, Carole…
Sa voix était rauque et tellement sexy que ça m’excita encore plus. Je le poussai jusqu’à atteindre mon canapé puis le relâchai enfin. Marc enleva son pantalon avec empressement avant de se laisser tomber assis, face à moi. Ses yeux n’étaient plus que désir et chaleur. Il m’admira une seconde avant de m’attraper par les hanches et de m’asseoir sur ses genoux. Je m’accrochai à son cou avant d’embrasser la peau chaude sous son oreille. Il lâcha un soupir tremblant et ses mains se crispèrent sur ma taille.
— Je ne sais pas si je serai à la hauteur…, marmonna-t-il.
— Laisse-toi faire et tout ira bien, le rassurai-je.
Je pris ses mains pour les poser sur mes seins. Il les caressa doucement avec une pointe d’hésitation en me dévisageant. Je ne savais pas s’il connaissait les trucs que les filles aiment en général, mais je n’allais pas m’arrêter à son manque d’expérience.
Ses pouces passèrent plusieurs fois sur mes tétons. La sensation était tellement exquise que j’en fermai les yeux.
— Tu aimes ? me questionna-t-il en m’observant toujours.
— Oui, continue…
Il déposa plusieurs baisers langoureux sur ma peau, caressa lentement mon ventre, puis dégrafa mon soutien-gorge. Ses yeux rencontrèrent de nouveau les miens, puis il se pencha pour prendre l’un de mes seins dans sa bouche. Un gémissement m’échappa.
J’attrapai son membre palpitant et fis quelques va-et-vient sur son pénis. Il haleta et suça plus fort mon téton, envoyant des milliers de décharges électriques dans mon bas-ventre.
Il s’arrêta pour me regarder, les yeux emplis d’ardeur. Je libérai son sexe et me levai pour aller chercher le préservatif tandis que Marc m’observait sans rien dire.
Je m’agenouillai devant lui et enfilai la capote sur son sexe. Je me relevai pour enlever ma culotte en dentelle et la déposai à ses pieds. Marc me regardait avec une sorte d’adoration qui me réchauffa le cœur. Je grimpai à califourchon sur ses cuisses et l’embrassai avec fougue en descendant doucement sur lui. Il grogna et attrapa ma nuque d’une main pour approfondir notre baiser. Lorsque je m’enfonçai sur lui, des spasmes de plaisir se répercutèrent dans tout mon corps. J’étais en transe, hypnotisée par les sensations qu’il me procurait. Nous n’échangeâmes plus un mot, nos corps parlaient pour nous et le plaisir montait à une vitesse folle. Mes mains caressaient ses muscles parfaits, à travers sa chemise, à mesure que je bougeais sur lui.
Marc se calait à mon rythme, se laissant guider par mes mouvements de plus en plus rapides et profonds. Je gémis en crispant mes doigts sur sa poitrine. Je sentais sa peau à travers les boutons de sa chemise.
Mes muscles se contractaient un peu plus à chaque nouveau coup de reins. Puis Marc poussa brusquement à l’intérieur de moi plusieurs fois et je basculai dans un puissant orgasme. Je m’accrochai à lui, complètement ailleurs, savourant les sensations exquises qui explosaient dans chaque parcelle de mon corps. Il trembla dans mes bras tandis que nous ralentissions le rythme, essoufflés et vidés. Marc s’adossa au canapé et m’attira tout contre lui en déposant un doux baiser dans mes cheveux.
— Alors ? demandai-je au bout d’un moment. Comment tu as trouvé cette première fois ?
J’étais encore un peu groggy et somnolente.
— Extraordinaire…, murmura-t-il dans mes cheveux.
— Tu vois que ça valait le coup.
Marc me serra contre lui et nous restâmes de longues minutes à savourer cette proximité. Mes doigts me picotaient, mais je n’y prêtai pas attention.
Ensuite, je ramassai mon peignoir tandis que Marc faisait un tour dans la salle de bain. J’allumai la télé en attendant qu’il revienne. Lorsqu’il s’installa de nouveau près de moi, je me blottis contre lui. Il ne s’était pas rhabillé, mais portait toujours sa chemise.
Nous nous endormîmes devant un film.
 
Le lendemain, j’avais mal partout. Marc était déjà levé et avait préparé du café. Lorsqu’il revint dans le salon, il avait remis son jean et tenait deux tasses de café fumant dans ses mains. Il en déposa une devant moi et m’adressa un sourire rayonnant.
— Tu avais raison, commença-t-il en s’asseyant à côté de moi. Tant que je porte des vêtements, tu ne risques rien…
Je lui rendis son sourire. Une petite brûlure me piqua les doigts au moment où je voulus saisir la tasse. J’eus un mouvement de recul, suivi d’une grimace de douleur, qui n’échappèrent pas à Marc. Il me dévisagea.
— Il y a un problème ? s’inquiéta-t-il.
Il attrapa mes doigts douloureux et retourna ma main sous tous les angles. Aucune blessure n’était visible et cela sembla le soulager.
— Tout va bien. Arrête de t’inquiéter, le taquinai-je, malgré le mauvais pressentiment qui m’étreignait.
Je forçai un sourire et cela le rassura. Il relâcha ma main et but une gorgée de café.
Lorsque notre petit-déjeuner fut terminé, Marc rentra chez lui avec Mehdi et je filai sous la douche pour me préparer. Il me restait seulement trente minutes pour être à l’heure à la boutique.
Cette fois, la chaleur de l’eau sur mes doigts me provoqua une douleur insupportable. J’inspectai de nouveau ma main pour découvrir de minuscules traînées roug