À vendre #2
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Description

Liza et Simon, Vérité et conséquences



Pendant longtemps j’ai cru qu’il était préférable de ne pas savoir, mais j’avais tort...


La vérité c’est sale, ça pue et bien trop souvent ça te terrasse.


La vérité c’est comme un uppercut de surprise qu’on te plaque à la gueule, ça te prend les tripes avec la force d’une rafale.


Mais une fois l’onde de choc passée, tu te relèves et continues à avancer. Tu as vu ton ennemi, tu sais à présent comment l’affronter.



La peur de savoir ne sera jamais plus forte que l’ignorance.


Le mensonge dont on enrobe les mauvaises actions, celles que l’on cache à tes yeux sous prétexte de te protéger. C’est le cancer qui va te gangréner l’esprit jusqu’à ce que tu succombes à son poison.



Leur passé vient de les rattraper, compromettant leurs chances de continuer à vivre dans l’illusion qu’ils avaient choisi de partager. Le monde de Simon vient de percuter celui de Liza et ils vont devoir faire avec cette douloureuse réalité.



Note de l'éditeur : second tome de cette trilogie érotique

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 73
EAN13 9782384400638
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : 01 39 60 70 94
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
À vendre #2
Copyright de l’édition © 2022 Juno Publishing
© 2022 Madèl Frog
Relecture et correction par Sandrine Joubert, Ma plume Correctrice
 
Conception graphique : © Mary Ruth pour Passion Creation
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-38440-063-8
Première édition : février 2022
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Note de l’Auteur
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
Note de l’Auteur
 
 
Chers lecteurs,
 
Je tenais tout d’abord à vous remercier pour l’accueil chaleureux que vous avez apporté au tome 1 des aventures de Liza et Jamie, vos remarques et avis bienveillants m’ont accompagnée tout au long de la rédaction de ce nouvel opus.
Un grand merci également à l’équipe Juno pour leur confiance, en particulier Valérie et Sandrine pour toutes ces heures à s’arracher les cheveux sur mes corrections et Maïwenn pour sa patience envers mes caprices de diva pour la couverture.
Avant de vous laisser le découvrir, je tenais à revenir sur un point. Certains d’entre vous ont été gênés par le fait que je m’octroie quelques libertés grammaticales. Aussi je tenais à m’excuser auprès de ceux que j’aurais malencontreusement pu offenser et sachez que dans ce tome-ci…
J’ai récidivé !
Eh oui, bien souvent les « On » remplaceront les « Nous ».
En aucun cas « cela » ne sera employé à la place de « ça ».
Et les négations manquantes seront, à priori, toutes volontaires.
J’ai toutefois été raisonnable avec les « putain » qui semble-t-il avaient une fâcheuse tendance à remplacer la ponctuation. Celle-ci ayant décidé d’elle-même de se faire la malle, pardon pour ça aussi !
Pour être au plus près de mes personnages et de leur liberté d’expression, et respecter une dynamique y compris dans la narration, je continue de privilégier la plupart du temps :
« Qu’est-ce qu’on pense de ça ? Putain, je te jure que tu veux pas savoir »
à
« Que pensons-nous de cela ? Je te jure que tu ne veux pas le savoir »
N’y voyez surtout ni provocation ni manque de respect de ma part, et cela étant dit…
Je vous souhaite une putain de bonne lecture ;)
 
Madèl.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
« Bonne nuit, mon amour, j’ai arrêté de compter les jours, mon psy dit que c’est malsain. Je lui ai répondu que j’aimais ce qui est malsain, cet enfoiré a demandé si tu étais malsain pour que je t’aime à ce point. J’avais envie de lui foutre mon poing dans la gueule… il a de la chance que je l’aime bien. ;) »
 
 
À vendre #2
 
 

 
 
Madèl Frog
 

 
Chapitre 1
 
Simion
 
En vol
 
 
Je me lève et me dirige vers la cabine dans un état second. Ça y est, le deal est conclu. Je suis passé en mode Simon. Mon cerveau a intégré que je dois obéir sans réfléchir. Je suis une marchandise que je viens de vendre pour beaucoup d’argent, je ne ressens plus aucune émotion et je me sens étrangement bien. Je suis un objet, et un objet, ça ne pense pas, ça ne souffre pas, ça ne s’inquiète de rien, soulagé du poids de toute responsabilité, y compris celle d’être heureux.
J’ouvre la porte de la cabine et reste figé de surprise. Elle est là, assise sur le lit, et me regarde en souriant, comme si toute cette putain de situation était normale. Je me retourne vers Sergueï.
— C’est quoi ce bordel, qu’est-ce qu’elle fout là ?
— C’est un cadeau d’Andréa, un extra. D’après elle tu aimes les trios, et un cadeau ne se refuse pas, surtout avec une bouche pareille.
— Et elle a signé un contrat ou elle a juste le droit d’être une esclave ?
— Tout de suite les grands mots, tout est en règle, profite. Il n’y aura pas beaucoup de blondes là où on va, et en plus je l’ai déjà attribuée à mes hommes, alors elle sera bien occupée pendant les trois mois à venir.
— Espèce de…
Elle me coupe la parole tentant de calmer le jeu
— Simon ! Tout va bien, t’inquiète pas, je suis d’accord. C’est un contrat que j’ai accepté, ne t’en mêle pas s’il te plaît.
Je referme la porte derrière moi pour ne plus entendre le rire de Sergueï. J’ai envie de le tuer et de la frapper. Mais bordel, qu’est-ce qui lui a pris d’accepter une chose pareille.
— Qu’est-ce que tu fais là Sylvia ? Ils t’ont enlevée, c’est ça ?
— Non, pas du tout, c’est Andréa qui me l’a proposé. Je suis payée 15 000 dollars pour 3 mois et j’ai une garde-robe toute neuve à faire pâlir Paris Hilton. Je vais pouvoir voir du pays et en plus j’aurai le droit de garder toutes les fringues ! C’est génial que tu sois là toi aussi, on va pouvoir travailler en duo, comme au bon vieux temps.
— Ouais, génial. Qu’est-ce que t’as pas compris dans le mot dangereux, hein, pourquoi j’ai pris la peine de te mettre en garde contre lui et ses hommes la dernière fois ? J’ai failli y passer, putain, et toi tu acceptes comme une fleur.
— J’ai signé un contrat Simon, et j’ai bien stipulé que je refuse d’être frappée, comme tu me l’as conseillé. Franchement, quand j’ai vu ce qu’il a fait à Juan la dernière fois, je m’attendais à pire. Et puis de toute façon, je suis juste là pour parader devant les Saoudiens, pour faire croire que je suis sa petite amie.
— Et les gardes du corps, tu en fais quoi ?
— Hum, ils sont plutôt mignons, j’en fais mon affaire. Allez, arrête de jouer les rabat-joie, on va vivre dans des palaces, s’éclater avec des mecs canon et en plus on sera sapés comme des rois. Si ça se trouve, je vais rencontrer un émir plein aux as, c’est une occasion en or, alors ne me gâche pas ce moment en faisant la gueule. Je t’en voudrais toute ma vie, si tu faisais foirer ce contrat, OK !
— Tu savais qu’il nous a menacés, mon amie et moi, avant de m’enlever, je présume avec la complicité d’Andy ? Il y a trois heures, je faisais un jogging dans un endroit de rêve avec une personne importante pour moi. J’avais décidé d’arrêter ce boulot depuis l’agression de Sergueï, je n’avais repris aucun client et je m’apprêtais à quitter l’agence. Je ne suis pas là de mon plein gré, Sylvia, et on ne part pas en vacances, putain ! Alors désolé de te casser ton délire, mais pour moi, c’est pas la joie, là. T’as ton téléphone avec toi ?
— Non, ils me l’ont confisqué.
— Tu les as vus casser ta carte sim ?
— Non, enfin j’en sais rien, ils ont juste pris mon téléphone.
— Il va falloir que tu te débrouilles pour le récupérer, c’est ma seule chance d’appeler Andy sans qu’ils le sachent.
— Tu m’engueules parce que j’ai accepté un contrat dangereux, et maintenant tu veux que je joue les espionnes en fouillant les affaires de gardes du corps surentraînés ?
— T’as raison, laisse tomber, je m’en occuperai, tu me diras juste ce que c’est comme téléphone et je me débrouillerai.
Sur ce, je me désape et prends dans l’armoire le costume qu’il m’a acheté. C’est un trois pièces borsalino à rayures fines avec une chemise noire. Non, mais je rêve, il veut me faire passer pour un assistant ou pour un mafieux ! Je vais mourir de chaud là-dedans en plus. Je le jette violemment contre la porte de la cabine. Sylvia pousse un cri de stupeur alertant les gardes du corps qui entrent en trombe, suivis par Sergueï. Je me retourne, les mains sur les hanches, sans les regarder pour leur montrer mon dos zébré de violet.
— Je ne porte pas ça,
lâché-je, en pointant du doigt le tas de fringues que je viens de jeter.
— C’est un costume de gangster, pas d’assistant, il me faut des fringues adaptées à mon poste et à la chaleur. En attendant, je reste en tee-shirt et, si ça ne vous convient pas, je peux aussi rester à poil, ça ne me dérange pas.
Je me retourne et note l’air tourmenté de Sergueï, c’est la première fois qu’il voit les marques qu’il m’a faites et je sens son embarras. Il parle à l’oreille de numéro 1 et celui-ci revient avec mon pot de crème cicatrisante qu’il a dû trouver dans mes affaires en fouillant mon sac. Il le lance à Sylvia qui n’a pas prononcé un mot depuis qu’elle a vu mes bleus.
— Mets-lui de la crème, et restez tranquilles, je ne veux plus rien entendre jusqu’à Madrid. Rhabille-toi comme tu étais, on avisera une fois là-bas.
Ils sortent tous les trois et me laissent avec une Sylvia en panique. J’ai e

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