Andelora
129 pages
Français

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Description




Alors qu’elle débarque des Philippines pour devenir masseuse, Andelora va s’éprendre de Pierre, l’homme qui lui propose un emploi et l’aide à s’installer.


En échange, il exige sa soumission totale et de satisfaire toutes ses demandes. Même si elle accepte, très vite la situation ne la satisfait plus et elle n’aura de cesse de se battre pour retrouver son indépendance.



A RESERVER A UN PUBLIC AVERTI - CONTIENT DES SCENES POUVANT HEURTER LA SENSIBILITE DE CERTAINS





Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 20
EAN13 9782374475646
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0026€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

ANDELORA É rotique

Eric De Lioncourt





ANDELORA É rotique


ERATO-EDITIONS

ISBN format papier : 978-2-37447-565-3
ISBN numérique : 978-2-37447-564-6
Date de publication : Février 2022
© Erato-Editions - Tous droits réservés
Couverture : © Erato-Editions - Crédits photos : Adobe Stock
Suivi éditorial : E. Saracino - Corrections Occitanie Corrections

Cette œuvre est protégée par le droit d’auteur et strictement réservée à l’usage privé du client. Toute reproduction ou diffusion au profit de tiers, à titre gratuit ou onéreux, de tout ou partie de cette œuvre, est strictement interdite et constitue une contrefaçon prévue par les articles L 335-2 et suivants du Code de la Propriété intellectuelle. L’éditeur se réserve le droit de poursuivre toute atteinte à ses droits de propriété intellectuelle devant les juridictions civiles ou pénales


NOTES DE L’AUTEUR
*Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs.
Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que défini par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat.
Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
Dernier point en ces périodes de Covid et de Sida ou pour se protéger des MST, je suppose que toute personne qui lira ce livre appliquera les règles d’hygiène et de protection élémentaires.
*Ceci est une œuvre de fiction fait pour divertir tous les noms et lieux qui apparaissent dans ce livre correspondent à des personnages de fiction, Si des lieux cités existent, les commentaires n’engagent que leur auteur.

A RESERVER A UN PUBLIC  AVERTI 

CONTIENT DES SCENES POUVANT HEURTER LA SENSIBILITE DE CERTAINS   


1
Comme chaque matin depuis trois ans, je prenais le métro place Guichard, pour descendre aux Cordeliers en face du Palais de la Bourse, afin de rejoindre le cabinet ‘Janson et Compagnie’. C’était le point o ù la Rue de la république devenait plus froide, les magasins cédant la place aux banques, assurances et cabinets d’avocats ou de médecins.
Le cabinet qui m’employait se situait dans un immeuble cossu style Haussmann sur la rue de la République, une voie piétonne du centre-ville. Il avait été créé par un médecin et un kinésithérapeute.
La tranquillité de Lyon me changeait de Manille, où j’avais vécu auparavant . La vie y était plus calme, la ville beaucoup plus petite et à visage humain.
Pierre Janson avait facilité mon embauche trois ans auparavant, lors de mon arrivée en France. Je l’aimais. En quelques mois, en plus d’ être mon patron il était devenu mon amant et je rêvais de l’ épouser un jour.
Pour l’instant je lui étais entièrement soumise, ce qui m’amènait à faire des choses impensables.
*
J’arrivais au cabinet vers neuf heures, me changais, enfilais une blouse blanche et ne gardais que ma lingerie noire.
Chaque jour, je découvrais la particularité de mon travail et les goûts de certains clients dont quelques uns étaient des amis personnels de mon patron.
Mon portable se mit à vibrer, Pierre voulait me voir avant que je ne débute ma journée.
Je l’observais à mon entrée dans la pièce. Il était grand, sportif et musclé, approchant la cinquantaine. Sa barbe noire bien taillée, encadrait son visage aux traits fins. Son épaisse chevelure brune lui confèrait une autorité naturelle, c’était un homme qui ordonnait et n’aimait pas ne pas être obéi. Je connaissais ces exigences pourtant je l’aimais et j’avais plaisir à lui être soumise.  
— Andelora comment va être ta journée ? m’interrogea-t-il.
— Comme d’habitude, j’ai des rendez-vous à partir de neuf heures trente, échelonnés toutes les heures jusqu’à dix-huit heures.
— Donc... tu commences dans trente minutes.
— Oui, avec Madeleine Durantele, une patiente que vous m’avez recommandé de soigner.
— En effet, je veux que tu obéisses à tous ses désirs. C’est une amie proche et cela depuis des années. En attendant enlève ta blouse et viens me sucer.
Il se l è va, verrouilla la porte de son cabinet et je me préparais en retirant ma blouse, pour que Pierre puisse se faire plaisir en admirant mon corps, chose dont il ne se lassait pas.
— Baisse ton string, tourne-toi et écarte tes fesses que j’admire ton cul.
Je lui obéissais, écartais mes globes puis me promenais devant lui. Il se l è va, m’attira à lui et caressa longuement tout mon corps, s’attardant longuement sur mes seins et mon cul.
— Je t’aime, j’aime ton obéissance, je crois que je ne peux plus me passer de toi.
Ces mots me remplissaient d’espoir, je n’avais plus honte. Intérieurement, je me disais que moi aussi je l’aimais et qu’un jour nous serions ensemble. Les mots suivants me ram enèr ent à la réalité.
— Suce-moi, montre-moi comme tu sais faire. Viens là, mets toi à genoux et prends-la.
Je m’accroupissais, dégraf ais son pantalon et prenais son sexe dans ma bouche. Il avait déjà une belle érection et dès mes premiers coups de langue, je le sentis gonfler en moi. Je l è chais lentement son gland puis ma langue caressait sa verge avant de dévorer ses testicules. L’entendant râler et sentant sa main appuyer sur ma nuque, j’engouffrais à nouveau tout son sexe. Il donnait le rythme et je le suçais de plus en plus rapidement. J’avais vraiment envie de le faire venir et de le satisfaire, à la suite de mes succions et il vint enfin dans ma bouche.
— Ah que c’était bon, tu es une vraie salope et ma suceuse préférée.
Il souffla, se réajusta avant de prendre confortablement dans son fauteuil en cuir noir derrière son bureau et passa sa main dans son épaisse chevelure. L’ayant comblé, je remis ma blouse.
— À dix-huit heures ne te sauve pas. Tu me suceras à nouveau et nous irons diner avant de finir la nuit chez moi.
Ces quelques mots me remplirent de bonheur, Pierre était exigeant, mais en même temps, il savait très souvent être affectueux et attentionné.
J’avais en mémoire son aide pour mes papiers la première année, puis son intérêt pour moi, les années suivantes.
Savoir que j’allais passer la soirée avec lui et toute la nuit chez lui me remplissais de bonheur.
Je sais cela n’était pas politiquement correct, quand à l’heure du mouvement ‘Me Too’ on ne parle que d’ émancipation féminine, mais moi, cette sensation d’être soumise, me plaisait et ne m’empêchait pas d’être amoureuse de Pierre.
Au fond de moi j’étais heureuse de lui appartenir et d’obéir à ses désirs. Pierre était tout pour moi et je l’aimais. Nous avions plus de dix ans d’écart, mais la différence d’âge ne me faisait pas peur. J’avais trente-cinq ans et je désirais vivre avec lui,
— Je vois qu’ à dix-sept heures tu reçois Patrick Escoffier. Cet homme a besoin de se décontracter, aussi je compte sur toi. Fais-lui ton massage complet comme pour Madeleine, cela le remettra en forme. Maintenant va vite, ne la fais pas attendre et sois ponctuelle ce soir, j’attends notre soirée avec impatience, mon cœur.
Je l’embrassais puis rejoignais mon cabinet en croisant Madeleine Durantele dans la grande salle d’attente.


2
C’ était une belle et élégante femme aux cheveux blonds mi-longs, son visage montrait une bouche sensuelle de merveilleux yeux bleus, une bouche charnue et des traits fins.
Vêtue d’un tailleur bleu marine de chez ‘Balenciaga’, elle reflétait bien l’ élégance lyonnaise discrète tout en étant terriblement sexy. Elle avait la cinquantaine mais faisait dix ans de moins.
J’ouvris la porte et appelais ma cliente. Je me rappelais les paroles de Pierre concernant son amie et étais décidée à prendre vraiment soin d’elle.
— Madame Durantele, entrez je vous prie.
La femme se leva, entra dans le cabinet en se déhanchant. Elle s’assit sur la chaise devant mon bureau et l’entretien commença.
— Que puis-je pour vous ?
— J’ai régulièrement mal au dos. Je m’en suis ouvert à Pierre Janson votre patron lundi soir et il m’a immédiatement conseillé un massage complet, me disant que vous étiez une experte de la remise en forme. J’ai donc pris en rendez-vous avec vous.
— Je vois. Si vous voulez bien, je vous demanderai de passer dans la salle de soins et de vous déshabiller. Installez-vous sur le lit, j’arrive.
Quelle ne fut pas ma surprise de la voir allongée entièrement nue sur le lit. Je compris enfin le réel sens des mots de Pierre ce matin et décidais de satisfaire cette femme. Je la fis mettre sur le ventre et commençais à caresser lentement le haut de son dos avec de l’huile d’amande douce. Elle se relaxait, fermait les yeux et commençais à gémir. Je laissais glisser mes mains jusqu’à ses reins. Puis m’enhardissant, j’enduisais ses fesses de cette huile, ouvrant délicatement sa raie et la caressant.
— Hum, c’est très bon, mais vous n’avez pas trop chaud ?
Comprenant ce qu’elle voulait, j’enlevais ma blouse et reprenais son massage juste en sous-vêtements. Elle se mit à caresser mon pubis et mon cul. Je ne lui opposais pas de résistance. Son corps m’excitait et j’ étais prête à lui faire l’amour.
Délicatement je frôlais son sexe et Madeleine ouvrit plus ses jambes. Je lui demandais de se tourner et de se mettre sur le dos. J’enduisais délicatement sa poitrine d’une pommade à la lavande et massais ses seins volumineux. Elle fermait les yeux et me caressait l’entrejambe, elle me murmura dans l’oreille.
— Plus bas, plus bas, caresse moi.
Sachant que je devais lui obéir, je caressais avec délicatesse son sexe humide et ouvert, tandis que ses doigts, écartant mon string, pénétraient mon vagin et le caressaient,.Elle attira mon visage vers le sien et m’embrassa.
— Pierre m’a dit que tu exaucerais toutes mes volontés et que tu étais une excellente suceuse. Vas-y, montre moi

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