DéBLOCKée
142 pages
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DéBLOCKée , livre ebook

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Description


Derek Block doit protéger ceux qu'il aime.



Frankie Jordan craint de perdre ceux qu'elle aime.



Il y a encore trop de zones d’ombre.



Mais pourront-elles les séparer ?



Dernier tome de cette romance sulfureuse



Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 13
EAN13 9782384401468
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0026€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : 01 39 60 70 94
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
DéBLOCKée #5
Copyright de l’édition française © 2022 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2015 Marni Mann
Titre original : Unblocked
© 2015 Marni Mann
Traduit de l’anglais par Mariane Plet
Relecture française par Anthony Meugnier
 
Conception graphique : © Tanya pour More Than Words Graphic Design
Tout droit réservé. Aucune partie de cet ebook ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN 978-2-38440-146-8
Première édition française : mai 2022
Première édition : août 2015
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Remerciements
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Remerciements
 
 
Cette série est loin d’être un projet solo. Je pourrais presque écrire un sixième épisode avec toutes les personnes qui ont contribué et qui m’ont soutenue tout au long de ce voyage.
Steven Luna, je ne sais vraiment pas ce que je ferais sans toi. Tu représentes tout (et même plus) pour ces livres et pour moi. Merci d’avoir si bien pris soin de mes mots, de traiter mes personnages comme si c’était ta famille, d’être là chaque fois que j’ai besoin de toi.
Jesse James, cette série a commencé à cause de toi. Ton amitié, ton soutien sans fin, ton amour pour les onion rings - cela signifie tout. Tu signifies tout. À beaucoup d’autres tours d’onion rings, ma jumelle.
Irene Oust, Jx PinkLady et Deanna PinkLady, vous êtes les femmes les plus cools, les plus généreuses et les plus gentilles. Je vous apprécie toutes ainsi que tout ce que vous faites pour moi.
Donna Cooksley Sanderson, tu es avec moi depuis le début. Je chéris ton amour constant et tes paroles d’encouragement, et j’attends avec impatience le jour où je pourrai enfin t’étreindre en personne. xxx
Un merci spécial à Allie Burke, Shari Ryan, Tess Thompson et Melissa Mann. Je n’aurais pas pu le faire sans vous quatre, votre soutien, votre amitié et sans aucun doute votre amour.
Maman et papa, votre confiance et votre réconfort, vos conseils et votre honnêteté sont grandement appréciés. Les lectures, les relectures et les re-relectures, les éclats de rire, je n’échangerais rien.
Brian, tu n’arrêtes jamais de croire en moi, même quand je le fais. Tu me rattrape chaque fois que je commence à tomber. Tu essuies chaque larme et embrasses chaque sourire. Je t’aime plus que tout. Merci de partager ce rêve avec moi.
Mes Midnighters, vous faites chavirer mon monde tous les jours. Merci de protéger constamment mes arrières. Je vous aime tous.
Aux blogueurs qui prennent le temps de lire, de relire et de partager notre travail, nous sommes très reconnaissants de tout ce que vous faites pour notre communauté d’écrivains. Vous êtes tous si incroyables et de tels champions, nous vous en remercions.
Pour mes lecteurs, vous êtes la foule la plus fidèle, la plus incroyable et la plus inspirante. Merci de m’avoir fait confiance, d’avoir tellement aimé mes mots et d’avoir partagé ce voyage avec moi.
 
 
DéBLOCKée
Épisode #5

Marni Mann
 

 
Chapitre 1
 
DEREK
 
 
Je ne savais pas combien de temps s’était écoulé depuis que j’avais raccroché au nez de Randy. Le téléphone était toujours dans la paume de ma main et sa voix résonnait toujours dans mes fichues oreilles. La colère dans ma poitrine m’empêchait d’inspirer profondément. Cet enfoiré. Il savait mieux que quiconque comment me taper sur les nerfs.
Il se croyait si intelligent d’avoir utilisé Taylor pour me soutirer des informations. C’était un coup audacieux, pas intelligent. Il n’avait rien gagné d’autre qu’une confirmation de ma relation avec Frankie… une confirmation que je ne laisserais pas la mettre en danger.
Si Randy s’approchait de mon petit trésor rose, je le tuerais.
Je fis les cent pas, effectuant des allers-retours entre la cuisine et le salon. Puis je les refis, ma colère augmentant à chaque pas. À mon troisième voyage jusqu’au congélateur, je sortis la vodka que Taylor avait sirotée et j’avalai quelques shots.
J’avais l’impression que les choses m’échappaient. Hayden se mettait en danger tout en découvrant de nouvelles victimes chaque jour ; Randy déterrait des squelettes que j’avais cachés pendant des années et Frankie se sentait trahie. Elle avait le sentiment malsain de ne pas mériter la vérité… mais elle la méritait et bien plus encore. Je n’étais simplement pas prêt à la partager avec elle. Prêt ou pas, il fallait que cela sorte maintenant. Notre relation ne pourrait pas faire face à un autre revers.
Je parcourus mes contacts et je trouvai son numéro. Après quatre sonneries, je tombai sur sa boîte vocale, je raccrochai et rappelai. Je tombai sur la boîte vocale une deuxième fois. Si Frankie ne décrochait pas, je savais qui le ferait. Je parcourus à nouveau mes contacts.
— Bonjour, M. Block, dit Brea.
J’apportai la vodka jusqu’à la table de la cuisine et m’assis, faisant tournoyer la bouteille sur la surface lisse en acajou.
— Frankie est avec toi ?
— Non… Je pensais qu’elle était chez toi.
Le soupçon d’inquiétude dans sa voix me révéla qu’elle disait la vérité.
— Elle était ici.
Je pressai la bouteille contre mes lèvres et j’avalai.
— Mais elle est partie.
— Eh bien, je ne lui ai pas parlé depuis qu’elle a quitté le bureau et c’était avant qu’elle aille chez toi. Tu dois être la dernière personne à l’avoir vue.
Je vérifiai l’heure sur le micro-ondes ; il était encore assez tôt pour qu’elle sorte.
— Y a-t-il un endroit où elle aime se cacher ? Peut-être un bar ou autre chose ?
— Tu as essayé de l’appeler ? Ça marche pour la plupart des gens, tu sais.
Je n’avais aucune patience pour ce genre de questions. Mais c’était la meilleure amie de Frankie, alors je devais avoir cette satanée patience.
— Oui, Brea, j’ai essayé de l’appeler. Elle ne répond pas, c’est pourquoi je t’appelle.
Brea soupira.
— Quand elle sort, je suis presque toujours avec elle. Et comme je ne suis pas avec elle, je dirais qu’elle est probablement à la maison en train de prendre un bain, ou sous les couvertures avec son téléphone éteint.
C’était tout ce que j’avais besoin de savoir.
— Merci. Je vais m’assurer de vérifier la baignoire, aussi.
— M. Block ?
Je remis le bouchon sur la bouteille de vodka et me dirigeai vers le congélateur.
— Nous avons dépassé le stade de la formalité, Brea. Appelle-moi, Derek.
— OK, Derek… elle a entendu beaucoup de choses ce soir et donc beaucoup de choses à digérer d’un coup. Je la connais mieux que quiconque, elle a besoin de temps pour tout assimiler. C’est peut-être brutal, mais tu vas devoir lui donner ça.
Je me figeai au milieu de la cuisine. Du temps ? J’emmerde le temps.
— Peu importe ce qu’elle pense ou ce qu’on lui a dit ou ce qu’elle essaie de reconstituer, ce ne sera pas la bonne histoire. Elle a besoin d’entendre la vérité de ma bouche.
— Et elle la voudra, j’en suis sûr. Mais c’est elle qui décidera quand cela arrivera.
— Bon sang.
Je jetai la bouteille dans le congélateur, sans me soucier de savoir si elle était cassée et je claquai la porte. Je ne voulais pas d’une marionnette ou d’un esclave, mais quand j’appelais, je voulais qu’elle décroche ce foutu téléphone. Encore une situation que je ne pouvais pas contrôler : quelqu’un lui avait donné des informations sur moi et je ne lui avais pas dit la vérité. Je détestais cela. Et je détestais de lui avoir caché la vérité chaque fois que j’avais eu l’occasion de lui dire.
— OK. Tu la connais mieux. Je vais lui donner de l’espace.
— Je sais que ce n’est pas facile. Mais crois-moi, je ne le suggérerais pas si je ne pensais pas que c’était ce qu’il y a de mieux pour elle. Et pour toi.
J’avais fait confiance à Brea dans le passé et cela s’était avéré être une bonne chose. Je lui ferais encore confiance. Je n’avais pas le choix.
Je pris une bière sur le comptoir du salon, passant à quelque chose que je pourrais boire en plus grande quantité et j’entrai dans mon bureau. Je ne dormirais pas ce soir, alors autant travailler.
— Je vais faire les choses bien, lui promis-je.
— Je sais que tu le feras, Derek, dit Brea. Je pense que Frankie le sait aussi.
 

 
Chapitre 2
 
FRANKIE
 
 
— Mlle Jordan, dit le concierge, vous avez fait un bon jogging ?
Je souris puisqu’il tenait la porte ouverte, ma poitrine se soulevant alor

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