Réflection fête

Sullivan Rabastens

Description

Le mari de madame la maire prend plaisir à voir sa femme succomber aux assauts du jardinier.

PUISQUE J’AVAIS LA DATE et l'heure de leur rendez-vous, la curiosité a été la plus forte, je suis arrivé avant eux, et me suis dissimulé dans le petit bureau attenant, celui de la secrétaire, déjà partie à cette heure tardive. De là, j’entendais tout et, entrouvrant la porte, je voyais quasiment tout. Grâce au grand miroir de l'entrée,j'étais aux premières loges pour assister à leurs ébats.

Rabastens poursuit sa série L’édile. Mairie lupanar, un beau jardinier et une élue au corps affolé, à cela s’ajoute un mari voyeur... Fiesta du plaisir et chaude ambiance municipale...

Sujets

• Voyeurisme
• Fiction

Informations

• Publié par: Ska Éditions
• Date de parution: 26 mars 2015
• Nombre de lectures: 13
• EAN13: 9791023404104
• Langue: Français

Extrait

SullivanRabastens Réflexion fête Nouvelle 3eme épisode sérieL’édile QQQ CollectionCulissime

Q = romance rose QQ = libertinérotique QQQ = pornobscène

Résumé de l’épisode précédent : Madame le maire a donné rendez-vous à son beau jardinier qui lui a révélé tous les fantasmes qu’elle lui inspire. Elle ne sait pas que son mari l’a découvert. Mais peu importe ; trop occupé de son côté à baiser secrétaires et infirmières, l’époux volage lui donne in petto sa bénédiction…

11 mai Madame le maire, Toutes ces interminables soirées qui nous séparaient de notre première rencontre, je les ai passées à humer votre culotte, à respirer vos effluves, ce doux fumet divin, épicé, subtil, e t surtout aphrodisiaque, vu le nombre d'érections suivies d'orgasmes qu'il a déclenchées. Jamais je ne pourrai oublier ce jeudi soir. Jamais ! Je dois vous avouer que j'ai eu peur un instant ; à la dernière minute, je me suis demandé si je devais y aller, puis surtout si vous ne vous moquiez pas de moi, vous, l'élue de la ville, la première dame, si belle, si femme, et moi, simple jardinier de votre commune. Et si ce n'était qu'un jeu pour m'humilier ? Mais je bandais tellement en pensant à vous, mes pulsions ont fait le reste, j'ai poussé la porte capitonnée de votre bureau, et grands dieux, heureusement qu'elle est capitonnée cette porte, cela a couvert tous nos cris.

Je me revois encore entrer dans votre bureau. Vous êtes là, à la fenêtre, vous vous retournez à mon arrivée, vous portez un chemisier blanc qui comprime votre poitrine et une jupe droite. J’ai cru, presque, que vos seins allaient jaillir et me sauter au visage. Je n'osais plus bouger, j'étais comme paralysé. Vous m'avez souri et vous êtes avancée vers moi, j'ai posé mon arrosoir, et nous sommes embrassés, puis, tout le reste... Tout le reste qui s'est enchaîné, votre liqueur Madame, je crois que c'est devenu ma drogue, mon péché mignon, jamais je ne pourrai oublier le goût de votre chatte. J'en ai vu des abricots, reniflé, croqué… mais d’aussi juteux que le vôtre, jamais. J'ai découvert ce plaisir de me régaler de l'orgasme de ma partenaire, votre sexe est devenu ma fontaine d'amour. Et votre bouche Madame, bien sûr, on m'avait déjà sucé, j'avais déjà goûté à ce plaisir, mais avec une telle frénés ie, une telle gourmandise, jamais, même si, lorsque vous avez introduit votre majeur dans mon cul, j'ai eu honte un instant. Mais cela a déclenché quelque chose que je ne soupçonnais pas, j'en ai joui dans votre bouche, je me suis déversé en vous et vous n'en avez perdu aucune goutte, continuant de me pomper pendant mon orgasme et ma débandaison, ce fut divin. Fou, inoubliable ! J'ai profité de ce répit pour m'occuper de vous, mais je ne vais pas vous faire là le récit de nos ébats passés, non, je préfère vous parler de nos folies à venir, car souvenez-vous de notre pacte « Aucun tabou, aucune limite, juste deux êtres qui veulent jouir », >>>>>

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