Servi à point

Alexandre Navarro

Description

J’ai tellement voulu la servir que je me suis perdu dans son propre plaisir.

J’ai plongé dans des méandres émotionnels jamais vécus avant ELLE, sûrement par excès de confiance, de tolérance, de séduction et de désirs.

Cette relation m’a fait basculer de la passion à la déraison en passant par la manipulation.

La rencontre avec cette femme a été l’occasion de tester mes limites.

Plus rien ne me choquait ! Jusqu’où était-elle prête à aller pour me ridiculiser ?

Sujets

• Romance
• Romance érotique
• BD Erotique
• Toute la romance
• Littérature
• Fiction
• Plaisir
• Manipulation
• Adulte
• Erotica
• Plaisir, Yvelines
• Romantica
• SERVIR

Informations

• Publié par: Libertine Editions
• Date de parution: 07 mai 2021
• Nombre de lectures: 3
• EAN13: 9782377805983
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Servi à point

 
 
 
 
Alexandre Navarro
 
 
Servi à point
 
 
Couverture : Chloé S.
 
 

 
 
© Evidence Editions  2021

 
Mot de l’éditeur
 
Libertine éditions est la maison érotique qui entend tous vos fantasmes. Ici pas de demi-mesure, toutes les formes de sexualité sont autorisées et assouvies.
 
Puisque chacun trouve son plaisir dans des scénarios intimes, chaque lecteur trouvera de quoi animer sa libido ou la rallumer.
Entre histoires vraies et fantasmes inavoués, il n’y a qu’un doigt. Du porno au hors-limite, en passant par le BDSM, le SM et plus encore… Masculin, féminin, le plaisir à deux, trois ou plus. Peu importe, seul le plaisir compte !
Pour faire durer vos lectures, vous trouverez nos ouvrages en format numérique, papier, audio, CD, DVD et plus encore.
Que votre lecture soit chaude et enivrante, c’est tout ce que nous vous souhaitons.
 
Site Internet : www.libertine-editions.fr
 

Crédit photo : Jérôme Lamanolo
 
 
 
 
Avertissement

Texte réservé à un public majeur et averti
 
 
 
 

 
 
 
« Quand ça finit bien, c’est que ce n’est pas fini. » Les mots de ce mafieux italien me revenaient à l’esprit. Assis à la table de la trattoria, à 20 h, je me retrouvais seul, plus tôt que prévu, après avoir passé les minutes les plus pesantes de toutes mes histoires amoureuses. J’avais pourtant cru que cette soirée romantique durerait jusqu’à la tombée de la nuit et surtout qu’elle nous conduirait jusqu’à mon lit. Mon imagination débordante m’avait encore joué des tours. Il ne me restait plus que quelques souvenirs aux goûts mensongers et une amertume que je pressentais persistante.
La serveuse venait à peine de nous apporter les antipasti pendant qu’un disque vinyle d’Umberto Tozzi me faisait rêver de carnaval et de gondoles. La mienne était en train de tanguer et je me retrouvais seul à ramer, démasqué, sans gondolier pour m’écouter ou me faire la conversation. Ni les Ti amo d’Umberto ni le chianti n’avaient suffi à la retenir cette fois-ci. Le « grand jeu » de ce soir s’était fini en fiasco. Ma Valentine avait décidé de quitter le navire, sans aucune précaution ni envie de s’expliquer et avec l’assurance de celle qui s’en voulait de ne pas avoir écouter les premiers signes annonciateurs d’une dérive fantasmatique. En bon Valentin latin et trop gentil, je commençais déjà à me faire à l’idée et que ce ne serait sans doute pas la dernière belle fleur ...