Another Scottish Wedding Disaster

Emily Jurius

Description

Logan, l’ainé de la fratrie Mac coy, le chef de son clan, passe son temps à réparer les conneries de son frère. Ça ne peut plus continuer.

Il doit trouver un moyen de calmer les ardeurs d’Ewen. Et il lui est servi sur un plateau, quand Stella Mac Faden, la fille de son allié le plus proche, réapparait dans sa vie. Rebelle et sauvage, elle refuse de l’envisager, pourtant un mariage pourrait tout arranger.

Enfin, s’il n’y avait pas ce soupçon de je ne sais quoi qui perturbe Logan et enflamme Stella.

A-t-on le droit de ressentir du désir pour la future femme de son frère ? Comment lutter contre cette attirance ?

Sujets

• Policier & Thriller
• Thriller
• Romance
• Toute la romance
• Contemporary
• Époque contemporaine
• Fiction
• Littérature

Informations

• Publié par: Juno Publishing
• Date de parution: 09 mars 2023
• Nombre de lectures: 5
• EAN13: 9782384403905
• Langue: Français

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : [phone]
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
Another Scottish Wedding Disaster
Copyright de l’édition © 2023 Juno Publishing
© 2023 Emily Jurius
Relecture et correction par Sandrine Joubert, Agathe P.
 
Conception graphique : © Mary Ruth pour Passion Creation
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-38440-390-5
Première édition : mars 2023
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Dédicace
Remerciements
Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Épilogue
Épilogue 2
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
À toutes les amoureuses des Men In Kilts,
Ce roman est pour vous.
 
 
 
 
 
 
Remerciements
 
 
Un grand merci à l’équipe Juno, à mes fidèles lectrices et bienvenue aux nouvelles.
J’espère que vous aimerez autant Logan et Stella que Jack et Mercie.
À très vite, il reste encore un frère Mac Coy…
Bisettes.
Emily
 

 

 

 

 
Prologue
 
LOGAN
 
 
Ce que je peux kiffer la vie de clan ! Je ne comprendrai jamais Nora qui a préféré s’exiler, et encore moins Jacky qui vit reclus au fin fond de son trou paumé, avec pour seule compagnie, un mouton. Une saloperie de putain d’ovin. Il ne cesse de nous envoyer des photos de son enclos et de ses installations. Il ferait mieux de le bouffer ce sale bestiau. Non, vraiment, je ne comprendrai jamais mon petit frère, jamais. Non seulement, il nourrit son animal comme s’il le vénérait, mais en plus il est obligé de lui courir après quand il se barre. Il a de la chance qu’il n’y ait pas de prédateurs sur nos terres écossaises, sinon il ne ferait pas long feu, l’animal. Un bon coup de fusil, voilà de quoi il a besoin.
Bon, j’aime bien ma nièce quand même. Ils lui ont donné le prénom de mon frère Neil, parti bien trop tôt et si au début, j’ai trouvé cela super con, je me suis vite fait à l’idée. Elle est plutôt cool et surtout elle fait enrager ce petit con de Jacky. Rien que cela, ça la place en haut du podium. Quand je le vois courir après elle et se plier en quatre pour contenter ses quatre volontés, je me dis que ce petit con n’a que ce qu’il mérite. Abandonner son clan, sa famille, c’est encore un peu en travers de ma gorge. Même si je n’ai pas vraiment eu le choix.
Et puis il a quand même bien flippé quand il a cru que j’allais lui faire épouser la fille Mac Faden. Cela dit, pas autant que lorsqu’il pensait que je voulais me taper sa femme, Mercie. Je lui avais dit pourtant qu’il ne devait surtout pas y toucher, qu’elle était chasse gardée. Et tout cela, c’est la faute de notre cadette Nora qui n’a rien trouvé de mieux que de s’enticher d’un rosbif. Ah non, bravo la famille, vraiment. La plus jeune des Mac Coy avec un Anglais vivant à l’autre bout du pays et Jacky, le plus agaçant avec sa sœur, Mercie. Quand on dit que le monde est petit. D’ailleurs, je me suis assuré qu’il ne restait aucun autre enfant caché dans la famille de James et Mercie, je n’ai pas envie que mon dernier frère Ewen finisse lui aussi, par leur succomber.
Et puis à force, les gosses finiraient par devenir presque frères et sœurs. Il paraît que ça ne fait pas bon ménage tout ça. Bon, en même temps, elle est carrément craquante cette petite. Je vois encore la tronche dépitée de mon frangin quand il a appris que c’était une fille. Il était tellement persuadé qu’il aurait un petit mec, qu’il en a fait une déprime. Ce qui nous a bien fait rire, je le reconnais. Je sais, pour le voir régulièrement derrière l’écran de mon téléphone, que cette période est révolue et qu’à l’instant où il a vu sa petite bouille, il en a oublié qu’elle aurait pu être un mec. Et je crois que ce n’est même plus un problème pour lui En revanche, je plains les mecs qui vont essayer de tourner autour d’elle, dans quelques années.
Le seul qui ne m’aurait jamais trahi nous a quittés malheureusement et Neil me manque chaque jour, sans que je puisse jamais en parler à quiconque. C’est très étrange le deuil et la période qui l’accompagne. Nous avons tous des façons différentes de les vivre et même si je ne suis pas celui qui s’en sort le plus mal, je souffre quand même. Et je me sens coupable. Parce que sans notre mode de vie, sans nos activités « commerciales », jamais tout cela ne serait arrivé.
Parce que lorsque l’on naît à la tête d’un clan, on apprend vite que nous avons plus de responsabilités et de devoirs que de droits. En tout cas, m’apitoyer sur la mort d’un de mes frères ne fait pas partie des choses auxquelles je peux prétendre. Et que je trouve cela juste ou pas, tout le monde s’en branle, je suis le chef, je dois cheffer.
Moi, je dois me montrer fort, puissant et intraitable.
L’inverse de lui en somme. Et quelque part, alors que je lève la tête face aux étoiles de notre Écosse natale, je souris. J’ai choisi de transformer ma douleur en ironie depuis la mort de Neil. J’ai détourné mon chagrin en discutant avec mon frère chaque fois que je lève la tête vers le ciel. À croire que tous les boniments que l’on m’a fait avaler quand je n’étais qu’un gosse ont laissé des traces. Me voilà à discuter dans le plus grand silence avec mon frère mort. Tu parles d’un leader. Un colosse au pied d’argile.
Pourtant je suis leur chef, celui qui règne sur notre territoire, sans cesse menacé par les reliques de nos anciennes guerres et nos terres hostiles. Ne sachant jamais de quoi le lendemain sera fait, j’avance à pas feutrés dans la vie, comme sur cette bruyère que je chéris et je vais me recueillir au seul endroit au monde qui arrive à apaiser mes tourments, face à l’océan.
Les vagues cognent contre la falaise en contrebas, le vent est glacial et pourtant, immobile, seul, dans la nuit noire, je suis là, plus vivant que jamais. Les rafales me font presque courber le torse et les affronter est le seul moment de la journée où je me sens vraiment vivant. Comme si me confronter aux éléments était la seule chose dont j’ai besoin pour revenir sur terre. Le tumulte des vagues qui cognent et se fracassent sous mes pieds, cet océan déchainé, se fait l’écho de mes troubles intérieurs et de cette faiblesse que je tais, tout en tentant de panser ma blessure.
Je suis Logan Mac Coy, cette falaise est la mienne, une partie de l’Écosse m’appartient. Je suis puissant, viril, convoité, respecté et craint.
Enfin, je suis surtout très seul.
 

 
Chapitre 1
 
LOGAN
 
 
— Log, y a une merde avec Ewen.
Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai entendu cette phrase dans ma vie. Mais depuis la mort de notre frère, celui dont il était le plus proche, Ew » est en train de péter les plombs. Au début, je pensais qu’il extériorisait son chagrin avec ses poings. Ce que je pouvais comprendre, étant donné que j’ai ressenti moi-même tellement de culpabilité, que j’en suis venu à frapper dans un mur de ma propre maison. Mais il a commencé à aller trop loin et j’ai dû demander à un des hommes du clan de lui coller au train pour surveiller ses moindres faits et gestes. Et preuve en est que j’ai bien fait. Nous avons échappé de justesse à une sombre histoire de harcèlement envers une des cousines Mac Faden, notre clan le plus proche. De très peu et je ne peux risquer un nouvel écart de sa part. D’abord parce que cela foutrait une sacrée merde dans notre alliance, mais aussi et surtout, parce que ce n’est pas acceptable ici. Aucun de mes hommes n’a le droit d’avoir la main leste, de forcer ou pire encore. Nous respectons tous les membres de notre communauté. Les hommes, les femmes, les enfants, les vieux, je mets un point d’honneur à ce que chacun soit en sécurité sur nos terres. Et je n’accepterai pas de déroger à cette règle, même pour mon frère.
Avec les étrangers, c’est autre chose, d’ailleurs je me plais à le répéter à Jacky chaque fois qu’il se pointe avec sa nana et sa gosse. Je me marre en lui rappelant qu’en quittant notre terre, notre clan, il est devenu un sale traitre. Mais je ne le fais que pour l’emmerder. Parce qu’ici, tout le monde sait que Mercie et la petite sont de la famille. En vrai, je les aime bien