Détruire le bad boy

Holly Renee, Claire O'Malley

Description

Je mangeais des restes de gâteaux et de macarons pour le petit-déjeuner.

J’étais sûre à 90 % qu’il ne faisait qu’une bouchée des filles comme moi.

J’étais couverte d’éclaboussures de peinture, de pâte à gâteaux et de sueur la première fois que je l’ai rencontré.

Il était couvert de tatouages et portait un sourire qui semblait contenir un secret que je ne comprendrais jamais.

La règle numéro 1 était de ne jamais, sous aucun prétexte, tomber amoureuse de l’homme à qui je payais un loyer.

Alors, je l’ai rangé dans le compartiment « Fantasmes » et j’ai laissé tomber.

Mais il n’a pas rendu les choses faciles.

Il était arrogant, drôle, et le plus grand dragueur que j’ai jamais rencontré.

Et la plupart du temps, je ne savais pas si j’étais juste un jeu pour lui.

Si je ne le connaissais pas mieux, je dirais qu’il était en mission pour ruiner ma vie.

Et peut-être mon cœur, aussi.

Sujets

• Romance
• Romance contemporaine
• Toute la romance
• Littérature
• Fiction
• Époque contemporaine
• Comédie romantique

Informations

• Publié par: Juno Publishing
• Nombre de lectures: 69
• EAN13: 9782384400935
• Langue: Français

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : [phone]
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
Détruire le bad boy
Copyright de l’édition française © 2022 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2019 Holly Renee
Titre original : Where Bad Boys Are Ruined
© 2019 Holly Renee
Traduit de l’anglais par Claire O’Malley
Relecture et correction par Lou Ledrut, Miss Salbury
 
Conception graphique : © Tanya pour More Than Words Graphics Designs
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-38440-093-5
Première édition française : mars 2022
Première édition : septembre 2019
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Dédicace
Remerciements
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
À Giovanna Bovenzi Cruz
Tu es avec moi depuis le début.
À travers chaque livre, chaque panique et chaque idée.
Merci de tout mon cœur.
HP pour la VIE.
 
 
 
 
 
 
Remerciements
 
 
Merci beaucoup à tous mes lecteurs ! Merci d’avoir choisi ce livre et de m’avoir donné ma chance !
Merci à tous les blogueurs qui ont pris le temps de partager, lire et commenter mon livre. Vous méritez tous bien plus que ce que vous obtenez, et je ne peux même pas trouver les mots pour exprimer ma gratitude.
À mon mari, Hubie, je ne pourrais jamais assez te remercier. Ta foi en moi signifie plus que tu peux l’imaginer. Je t’aime.
Merci, merci, merci à Cheryl Lucero ! Je n’aurais pas pu le faire sans tes commentaires et ton aide !
Merci à Regina Wamba d’être incroyablement talentueuse et de toujours donner vie à mes visions !
Merci Ellie McLove d’avoir cru en moi ! Je ne peux pas exprimer ce que signifie ton soutien.
xo, Holly
 
 
Détruire
le bad boy
Good Girl #3
 

 
Holly Renee
 

 
Chapitre 1
 
CHARLIE
 
Le bad boy d’à côté
 
 
— Qu’est-ce que vous en pensez ?
Je clignai des yeux en tournant lentement sur moi-même avant de la regarder. Les murs étaient d’un blanc immaculé et le sol avait l’air de ne pas avoir était balayé depuis plusieurs années, mais il était totalement impossible que cet endroit rentre dans mon budget. Bien sûr il me faudrait beaucoup de travail pour le transformer en local de mes rêves, mais c’était de loin le plus beau lieu que j’avais pu visiter durant deux années de recherche.
Et j’en avais fait des visites.
Des endroits sympas, des lieux horribles et le plus souvent des locaux affreux.
— Mme James.
Je relevai la tête de l’annonce que j’avais imprimée pas plus tard que ce matin.
— Je crois qu’il doit y avoir une erreur quelque part.
— Mon Dieu. Ne m’appelez pas Mme James. Je m’appelle Livy, corrigea-t-elle en pointant son doigt vers sa poitrine.
Pour la première fois depuis que j’étais entrée, j’observai la femme qui se tenait devant moi plutôt que la superficie. Elle était jeune, sûrement dans la même tranche d’âge que moi et magnifique.
Vraiment magnifique.
— OK Livy, repris-je en prenant une profonde inspiration. L’annonce indique que vous louez cet endroit pour mille dollars par mois.
Elle hocha la tête avant de la pencher sur le côté comme si elle essayait de deviner où je voulais en venir. Bienvenue au club frangine.
— Vous êtes folle ?
Une lueur de surprise passa dans son regard et je me rendis compte que j’aurais certainement mieux fait de me taire. Cependant, ma mère m’avait toujours dit que lorsque les choses semblaient trop belles pour être vraies, il y avait fort à parier que ce soit le cas. Pourtant ce local était vraiment trop bien et j’avais besoin de savoir à quoi m’attendre avant de me prendre un retour de bâton en pleine face.
— Non. Cet endroit est resté vide pendant des années.
Elle leva les yeux au ciel comme si elle était exaspérée à cette idée.
— Au départ, mon mari et Brandon l’avaient acheté dans l’idée d’agrandir le salon de tatouage, mais ils ne l’ont pas fait. Et ce local a juste servi d’espace de stockage depuis tout ce temps.
Je reportai mon attention vers le mur qui séparait ce local du salon de tatouage à côté et essayai d’imaginer ce qui pouvait se trouver par-delà ce mur. Je n’avais jamais mis ne serait-ce qu’un pied dans un salon de tatouage et, je pouvais bien me l’avouer, cela m’intimidait un peu.
Voire beaucoup.
— Je cherche juste la bonne personne à qui le louer. Nous voulons quelque chose qui s’accorde bien avec le salon juste à côté. Vous voyez ?
Je sentis mon cœur s’alourdir à ses mots.
— Il y a un espace à l’arrière.
Elle me fit signe de la suivre et je m’exécutai.
— On dirait que l’espace est agencé pour une cuisine, mais il pourrait parfaitement être transformé.
Je parcourus du regard ce vaste espace. Elle avait raison. Il était parfaitement agencé pour une cuisine. Des placards blancs étaient déjà disposés le long d’un mur avec un grand évier au centre. L’emplacement pour un four était vide, néanmoins ce serait facile de régler ce problème.
— Pourquoi voulez-vous louer ce local ?
Elle passa sa main sur le dessus du plan de travail avant de s’appuyer dessus.
— Vous me l’avez peut-être déjà dit, mais j’ai reçu tellement de demandes que j’ai du mal à suivre, ajouta-t-elle.
— C’est, euh… dis-je en hésitant.
Elle avait reçu des tonnes de demandes ? Cela voulait dire qu’il valait mieux que je m’arrête là avant de trop m’enflammer. J’avais déjà connu cette situation et je ne voulais pas laisser mes espoirs s’envoler pour les voir anéantis juste après.
— Je vais ouvrir une pâtisserie.
Je m’attendais à ce qu’elle m’éclate de rire au nez, qu’elle me dise qu’une pâtisserie était vraiment la dernière chose qui pouvait trouver sa place à côté d’un salon de tatouage, parce que, pour être réaliste, c’était bel et bien le cas. Mais sa réaction fut loin d’être celle à laquelle je m’attendais.
Elle resta immobile et me fixa.
Bizarrement.
Je repoussai une mèche de cheveux derrière mon oreille en me demandant si j’étais en mesure de la devancer pour atteindre la porte si elle se révélait être une serial killeuse.
— Vous êtes en train de me dire que vous voulez ouvrir une pâtisserie ici ? demanda-t-elle en pointant un doigt vers le sol.
Je pris le temps d’examiner les murs blancs pour éviter de croiser son regard.
— Oui ?
Je ne savais pas pourquoi je l’avais formulé comme une question, mais je me sentis soudainement comme une imbécile d’être seulement venue jusqu’ici.
J’aurais dû trouver quelque chose de bien plus cool à lui répondre, du genre :
— Ce n’est pas une pâtisserie classique. Nous aurons un DJ le soir et ce sera l’endroit le plus cool depuis la création de Starbucks.
Cependant, cela aurait été un mensonge et elle aurait bien fini par le découvrir à un moment ou un autre.
— Une pâtisserie, répéta-t-elle à moitié pour elle-même comme si elle réfléchissait à ce que je venais de dire.
Je me repliai sur moi-même. Elle leva les yeux vers moi, aussi sérieuse qu’une documentaliste, et me demanda :
— Vous aurez toujours des cupcakes ?
— Bien entendu. Ce serait vraiment une pâtisserie pourrie sans cupcakes.
Un gigantesque sourire se dessina sur son visage alors qu’elle s’écartait du comptoir pour me tendre la main.
— Si vous me promettez que je peux avoir autant de pâtisseries gratuites que je le veux, le local est à vous
Mes mains étaient toutes tremblantes alors que je restai à fixer la sienne tendue vers moi.
— Vous êtes sérieuse ?
Il s’agissait là de la visite la plus bizarre que j’aie pu faire, et j’en avais pourtant fait plusieurs dans des quartiers plus que limites.
— Ma belle, il y a une chose que vous devez bien retenir me concernant, reprit-elle d’un air parfaitement sérieux. Je ne plaisante jamais quand il s’agit de glaçage. Jamais.
Je ne pus retenir mon éclat de rire alors que je lui serrai la main.
— Je n’arrive pas à croire que ce soit vraiment en train de se passer.
Je commençais à perdre mon sang-froid et j’étais à deux doigts de me mettre à sauter dans tous les sens sans relâcher sa main.
— Pareil pour moi. Quand Parker m’a dit que je pouvais mettre ce local en location, je ne pensais pas avoir autant de c