Oublier le passé
266 pages
Français

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Oublier le passé , livre ebook

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Description


Sam Walsh a mis fin à des décennies d'autodestruction, a enfin tourné la page et est maintenant prêt pour la vie de couple marié. Mais l'amour et le mariage ne sont qu’un commencement, et la vie est sur le point de devenir plus compliquée.




Les vœux du mariage peuvent-ils dompter un esprit libre ?



Tiel Desai n'aurait jamais imaginé se marier à nouveau, et avant même qu'elle ne puisse cligner des yeux, elle se retrouve emportée dans le tourbillon d'un mariage à la Walsh. Et comme si ce chaos ne suffisait pas, elle est également occupée à séduire sa future belle-famille, à s'adapter à son nouveau travail et à faire face à une série de déceptions.




Ils construisent un avenir, mais pourront-ils jamais anéantir le passé ?



Sam et Tiel ont vaincu leurs démons et ont appris à s'aimer, mais l'amour suffira-t-il pour résoudre tous les problèmes qui se présentent à eux ?



Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 22
EAN13 9782384401505
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : 01 39 60 70 94
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
Oublier le passé
Copyright de l’édition française © 2022 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2016 Kate Canterbary
Titre original : Restored
© 2016 Kate Canterbary
Traduit de l’anglais par Claire O’Malley
Relecture et correction par Anthony Meugnier, Miss Salsbury
 
Conception graphique : © Francessca Webster pour Francessca’s PR & Design
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-38440-150-5
Première édition française : mai 2022
Première édition : août 2016
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Dédicace
Prologue
L’amour…
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
… Le mariage…
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
… et tout ce qui vient ensuite.
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
Pour ceux qui rangent les vêtements de bébé.
 
 
Oublier
le passé
Les Walsh #5
 
 
 

 
 
 
Kate Canterbary
 

 
Prologue
 
TIEL
 
 
Mai
J’avais oublié la manière dont le soleil du matin filtrait à travers les fenêtres de l’ancienne caserne pour venir baigner le lit de Sam d’une lumière chaleureuse.
C’était intense, presque aveuglant, mais je ne voulais surtout rien y changer. Je voulais graver chaque détail de ce moment dans ma mémoire, parce que rien de ce que j’avais vécu au cours des trois derniers mois n’avait su, ne serait-ce que s’approcher du niveau de perfection qu’était le corps de Sam enroulé autour du mien en cet instant.
Pas le fait d’avoir décroché un doctorat.
Pas le fait d’avoir convaincu Seraphina, l’élève que je voyais deux fois par semaine pour des leçons de guitare, de m’expliquer pourquoi elle aimait tant One Direction.
Pas le fait d’avoir dit à ma sœur d’aller se faire voir quand elle avait annoncé qu’elle attendait une petite fille et qu’elle m’avait lourdement suggéré de revenir dans le New Jersey pour être sa nounou.
Rien n’était aussi parfait que de retrouver mon homme, précieux et pervers. Enfin.
— Tu sens bon, murmura-t-il et sa barbe de bûcheron me chatouilla le cou.
— J’en doute sérieusement, dis-je.
Sam se retourna à côté de moi et passa sa cuisse couverte d’un jean sur mes jambes. Il était encore habillé, nous l’étions tous les deux, et une partie de moi appréciait le fait que je n’avais pas besoin d’être nue et excitée pour me sentir aussi proche de lui. Nous savions tous les deux que nous avions beaucoup de choses à nous dire, mais lorsque nous étions arrivés à la caserne la veille au soir, nous savions que nous aurions le temps de parler plus tard. Nous toucher, poser nos têtes sur le même oreiller, simplement être ensemble, c’était ce qui avait compté le plus alors.
Je n’avais pas aussi bien dormi depuis des mois.
— Tu dis toujours ça, mais tu sens ton odeur et tu m’as tellement manqué…
Ses mots étaient étouffés contre ma peau et, alors que j’avais envie de lui demander si sentir mon odeur signifiait sentir le vieux pepperoncini, ses lèvres remontèrent le long de mon cou et je n’eus plus du tout envie de penser. Je le serrai contre moi, tirant sur ses vêtements jusqu’à ce qu’il soit pressé tout contre moi et que sa bouche couvre la mienne.
— Je dois te dire, dit-il en poussant un gémissement. Je dois te parler de quelque chose que je…
— Sam, soupirai-je.
Je savais exactement où il voulait en venir. Je connaissais Sam et je savais que ces trois derniers mois avaient probablement dû être marqués par des tortures qu’il s’était auto-infligées. Si je me montrais honnête avec moi-même, j’avais fait la même chose.
— J’ai merdé, dit-il en collant son front contre le mien. Il y a tant de choses que j’aurais dû faire différemment, mais ça…
Je scrutai son regard, espérant y voir ce dont j’avais besoin.
— Nous avions rompu, dis-je. Tout ce qui a pu arriver est du passé. Ce qui compte, c’est que tu sois là maintenant et que nous passions à autre chose.
— Mais…
— Tu n’as pas besoin de dire quoi que ce soit d’autre, murmurai-je. Nous avons tous les deux merdé. Nous avions tous les deux tort. Nous allons faire en sorte que ça marche.
— J’ai vomi sur une femme, dit-il.
Qu’est-ce que j’aurais bien pu faire d’autre à part éclater de rire ? Il fallait vraiment qu’il me raconte cette histoire.
— Tu as quoi ?
Il soupira et laissa reposer sa tête sur mon épaule.
— Il y a quelques mois, avant de quitter la ville, je suis sorti et je me suis soûlé. Mais vraiment soûlé. Soûlé à en être stupide . J’ai eu la brillante idée de me soûler avec des shots pour tenter de tout oublier…
Il laissa sa phrase en suspens et me regarda avec une expression qui était un mélange assez inconfortable de dégoût et de regret.
— J’ai laissé quelqu’un me caresser le sexe et pendant tout ce temps je me suis dit que la seule chose que je voulais, c’était toi, et puis je lui ai vomi dessus…
Je n’aimais pas vraiment entendre que quelqu’un avait touché Sam, mais quelque chose dans le fait qu’un vomi était venu interrompre une branlette relevait du magnifique en matière de karma. Je savais que Sam n’était pas resté assis chez lui à pleurer sur ses plans de construction lorsque nous nous étions séparés. Ce n’était pas le genre de gars qui écrivait de la poésie ou qui campait devant la porte d’une fille ; il était plutôt du genre à se lancer dans des aventures imprudentes et autodestructrices de ce type.
Mais c’était peut-être plutôt la personne qu’il avait été .
— Beaucoup ?
Cet homme solide qui me clouait au lit, c’était nouveau. Il me faudrait des semaines et des mois, voire des années, pour cataloguer tout ce qui était nouveau et l’intégrer dans la symphonie complexe qu’était Sam.
— Oui Tiel, pas mal, dit-il tandis que je tremblais de rire. Je suis content que tu trouves ça si drôle. Je suis là, à me dire que tu vas m’arracher les couilles et me les enfoncer bien profond alors que toi tu te moques de moi. C’est vraiment parfait.
Je fis passer mes ongles sur ses côtes.
— Est-ce que ça irait mieux si j’enlevais mon tee-shirt ?
Sam sourit en hochant la tête, tandis que j’ôtai mon tee-shirt et défaisais mon soutien-gorge. Il grogna et je le retrouvai, ce seul son qui faisait vibrer une corde au plus profond de moi et qui réveillait tous ces désirs endormis dans une transe frénétique.
— Je t’aime, dit-il en baissant la tête vers ma poitrine. Je t’aime.
Ses lèvres s’approchèrent de mon mamelon et il le prit doucement et tranquillement dans sa bouche.
— Je t’aime.
Je passai mes doigts dans ses cheveux hirsutes et j’enroulai mes jambes autour de sa taille.
— Je t’aime aussi.
Ses doigts descendirent le long de mon ventre avant de venir ouvrir les boutons de mon jean. Sa main se glissa à l’intérieur, me caressant juste assez pour que je sente l’excitation s’emparer de mes nerfs et de mes muscles.
— Sam ? Sam ? Sam  !
J’entendais bien des sons, mais sans parvenir à les placer dans un ordre rationnel. Les seules choses qui m’importaient étaient Sam et l’orgasme qui était à une seconde de me submerger. C’était une sensation que j’avais presque du mal à reconnaître après avoir passé les trois derniers mois noyée dans le café et les recherches en musicothérapie, mais c’était aussi une sensation que j’étais sacrément heureuse de retrouver.
— Tu es sérieux bordel ? Tu rentres à la maison et tu ne te donnes pas la peine de me… Oh, merde …
Soudain, la bouche de Sam délaissa ma poitrine et il tira la couverture sur moi.
— Ça ne t’arrive jamais de frapper Riley ?
— Tu peux me montrer une porte sur laquelle frapper Sam ? demanda Riley avec un grand geste de la main.
Cette ancienne caserne de pompiers était une succession d’espaces ouverts, avec comme seule forme de division des pièces les arches en briques. Cent ans plus tôt, l’espace que Sam utilisait comme chambre à coucher abritait trente lits superposés pour les hommes qui devaient aller affronter les innombrables incendies sur les quais et dans les usines alentour. Je n’avais pas besoin d’en savoir beaucoup plus sur l’histoire ou l’architecture de cet étrange bâtiment dont Sam et Riley avaient fait leur maison pour savoir que construire des murs ne serait pas en adéquation.
Il releva le menton dans ma direc

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