Voyeur

Fiona Cole, Julie Nicey

Description

Je ne savais pas qu’elle était mon élève la première fois que j’ai payé pour la regarder à Voyeur.

Mais une fois qu’elle est entrée dans ma classe, j’ai tout de suite su que je devais arrêter d’y aller. Arrêter de la regarder. Arrêter de la désirer. Mais c'était impossible.

Tout en elle me donne envie, et quand je réalise qu’elle me veut aussi, la tentation devient irrésistible. Cependant, elle ne sait pas que l’homme qui l’observe derrière la vitre est son professeur.

Je dois juste espérer que lorsqu’elle découvrira la vérité, elle voudra la même chose que moi. Parce que maintenant que j’ai tout vu d’elle, je ne peux plus regarder ailleurs.

Sujets

• Romance
• Romance contemporaine
• Toute la romance
• Romans sentimentaux
• Romans d'amour
• Nouvelles de genre
• Romans de genre
• Contemporain
• Époque contemporaine
• Fiction
• Littérature

Informations

• Publié par: Juno Publishing
• Date de parution: 08 septembre 2022
• Nombre de lectures: 28
• EAN13: 9782384402380
• Langue: Français

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : [phone]
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
Voyeur
Copyright de l’édition française © 2022 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2018 Fiona Cole
Titre original : Voyeur
© 2018 Fiona Cole
Traduit de l’anglais par Julie Nicey
Relecture et correction par Agathe P., Miss Salsbury
 
Conception graphique : © Qamber designs
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-38440-238-0
Première édition française : septembre 2022
Première édition : avril 2018
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Dédicace
Remerciements
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
Pour Rachel et Georgeanna.
À la vie, à la mort !
 
 
 
 
 
 
Remerciements
 
 
Avant tout, comme toujours, ma famille. Mon mari, qui me soutient toujours autant et c’est la principale raison pour laquelle je peux vivre cette aventure appelée écriture. Je t’aime. Puis il y a mes filles magnifiques qui sont mon rayon de soleil et je me pousse toujours plus fort, juste pour les rendre fières. J’espère que vous grandirez plus fortes que Wonder Woman et Bat Girl.
Karla Sorensen : merci beaucoup pour tous tes discours d’encouragements, toutes les fois où tu m’as tenu la main et m’as dit que tout irait bien. Merci d’avoir été là quand les choses sont devenues difficiles et m’avoir encouragée à continuer. Je t’aime et je suis si chanceuse de t’avoir dans ma vie. #Équipe de rêve
Georgeanna et Rachel : vous êtes ma santé mentale et les meilleures amies que l’on puisse souhaiter. Nous sommes peut-être séparées par des kilomètres, mais vous serez toujours mon « à la vie, à la mort ». Merci d’être les meilleures assistantes et partenaires de beuverie lors des dédicaces. Merci de m’avoir aidée avec la trame de ce livre huit mois auparavant lors d’un long trajet en voiture. Je vous aime tous les deux de tout mon être.
À mes bêta : Julia, Michelle, Becca et Serena. Julia, je ne te remercierai jamais assez de m’avoir faite entrer. Je sais que l’école est folle, et pourtant, tu prends toujours du temps pour moi. Michelle, tu es intervenue et tu m’as donné des retours fabuleux. Ils étaient constructifs et positifs. Je suis peut-être revenue vers eux à des moments où je me demandais si je devais ou non mettre le feu à ce livre. Voyeur est toujours en vie grâce à toi ! Becca, merci d’avoir réussi à lire Voyeur avec tout ton travail. Je sais à quel point ton temps est précieux et je n’ai pas de mots pour te remercier assez d’avoir toujours trouvé le temps de m’aider.
Serena, comme toujours, tes commentaires me donnent vie. Les messages me font sourire pendant des jours et éclater de rire. Je les aime et j’apprécie toutes tes suggestions. Tu vas toujours au-delà et il n’y a pas de mots pour vraiment exprimer à quel point cela compte pour moi. Merci merci merci. J’adore ton autorité et toute l’aide que tu m’apportes avec mes fautes d’orthographe sur mes teasers ! Ha ha ! Merci !
Karen : Je ne sais pas comment j’ai eu autant de chance que tu corriges mes livres, mais mon Dieu, c’est le cas ! J’ai tellement plus confiance en mon travail en sachant que tu l’as corrigé. Merci pour tout ton travail acharné et pour avoir réussi à trouver du temps pour mes livres.
Alexis : Merci pour toute ton aide à la relecture. Tu parviens toujours à capter les moindres détails et tu m’aides à livrer un livre « propre ».
Mon groupe de lecteurs : Mesdames, vous êtes incroyables, solidaires, hilarantes, merveilleuses et mille autres adjectifs. Je vais vers vous quand je suis déprimée ou frustrée, et vous réussissez toujours à me redonner confiance en moi. Merci d’avoir passé du temps avec moi et d’avoir supporté mes vidéos de « ralâges » en direct.
Aux blogueurs de tous genres : Merci de partager mon travail. Vous faites tourner cette communauté. Merci pour tout votre soutien, vos gentils mots, vos photos et vos teasers. J’aime que vous soyez incroyables au point de prendre du temps dans votre vie bien remplie afin de nous soutenir, les auteurs, sans autre raison que votre amour des livres.
Merci à tous les lecteurs de cette belle communauté. Je ne pourrais pas faire cela sans vous. Vous êtes tous si encourageants et incroyables. Merci beaucoup d’avoir tenté votre chance avec mes livres. Je suis toujours plus qu’honorée que vous consacriez du temps et de l’argent à mes personnages et aux mondes que j’ai créés. C’est incroyablement incroyable et je vous suis éternellement reconnaissante.
 
 
Voyeur
Bienvenue au Club Voyeur #1
 

 
Fiona Cole
 

 
Chapitre 1
 
Oaklyn
 
 
— Comment ça, l’argent n’est plus là ?
— Je suis vraiment désolée, ma chérie. La chaudière a lâché, et on s’est dit que ça irait, mais ensuite c’est la voiture qui a fait des siennes. On n’avait plus d’économies, et impossible de réparer la voiture, alors on a dû en acheter une nouvelle ou ton père n’aurait pas pu aller au travail. Puis il a fallu payer le loyer et le chèque… était juste là.
Je serrai le téléphone que je n’avais plus les moyens de payer dans ma main, en essayant de contrôler ma peur et ma panique.
— Maman, c’était l’argent de ma bourse. C’est avec ça que je suis censée vivre.
Je n’arrivais pas à croire que le chèque avait été envoyé à la mauvaise adresse. Je l’avais mise à jour dès que j’avais emménagé dans mon minuscule studio. Et pourtant, il avait été envoyé chez mes parents, en Floride. Une tonne de regrets m’envahit l’esprit et je maudis ma poisse. J’étais là-bas la semaine précédente pour Thanksgiving. Pourquoi ne l’avais-je pas reçu à ce moment-là ? Et pourquoi ne me l’avaient-ils pas fait suivre sans ouvrir le courrier ?
Qu’est-ce que j’allais faire maintenant ?
— Je suis vraiment, vraiment désolée, ma chérie. On a paniqué, et on a pris une mauvaise décision. On… On peut toujours vendre la voiture. On va trouver un autre moyen.
Dans ma tête, je hurlai Oui ! Mais je savais que je ne leur demanderais jamais ça. Comment vivraient-ils si mon père n’avait plus de travail ? Et même si l’université avait toujours été mon rêve, je pourrais m’en passer. J’aurais dû être furieuse, et c’était le cas, mais je ne pouvais pas les blâmer. J’avais toujours vu mes parents galérer en attendant la paie suivante, et je savais que si je le lui avais demandé, elle aurait revendu la voiture. Dieu seul savait ce qui arriverait alors, et je n’avais aucune envie de prendre le risque.
— Non, maman. Ne fais pas ça.
— Mais qu’est-ce que tu vas faire ?
— Je ne sais pas, avouai-je en m’affaissant contre le mur du dortoir de mon amie.
J’étais sortie pour prendre l’appel, mais comme j’étais au bord des larmes, je regrettais de ne pas être restée à l’intérieur où personne ne m’aurait vu m’effondrer.
— Est-ce que tu peux faire un autre prêt ? suggéra ma mère, sa voix remplie d’espoir.
Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un éclat de rire étranglé. Un autre prêt ? J’avais demandé toutes les bourses, toutes les subventions et tous les prêts étudiants possibles. J’avais travaillé comme une dingue au lycée dans l’espoir que mon compte en banque croule sous les bourses. J’avais aussi accepté tous les prêts octroyés par la FAFSA 1 .
Tu n’avais pas besoin d’aller dans un autre État , me rappela ma conscience. Eh bien, c’était trop tard à présent. J’avais voulu m’éloigner, laisser derrière moi la routine dans laquelle j’étais embourbée à la maison, et je m’étais donné les moyens de le faire. Dommage que ces moyens se soient envolés à présent. Il ne restait plus rien des dix mille dollars. Huit mille pour payer mon dernier semestre – c’était plus cher parce que je venais d’un autre État – et deux mille pour vivre jusqu’à l’été suivant.
— Non, maman.
— Je suis désolée, bébé.
Je savais qu’elle l’était ; je pouvais l’entendre dans la fêlure de sa voix, mais je ne pouvais pas lui accorder ce qu’elle demandait pour le moment. Mon rêve était en train de s’écrouler devant mes yeux, et je n’arrivais pas à me concentrer sur quoi que