Zandor
386 pages
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Zandor , livre ebook

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Description

Avant de trouver lamour, Cyrus, Jase, Zandor et Xavier Steel travaillent dans leur studio de tatouage familial Forever Steel , toute la journée et, parfois, jusque tard dans la nuit. Lorsque le studio ferme, ces bad boys tatoués, percés et dominateurs s'amusent. Et, pas quun peu.


Faites la connaissance de Zandor Steel. Il a passé l’année précédente en Italie à réaliser presque tous ses fantasmes sexuels. Mais tout n’était pas qu’amusements et jeux. Zandor était là pour superviser la construction d’un casino haut de gamme pour les riches et les célèbres.


Mais les rumeurs de problèmes avec ses frères l’inquiètent et Zandor rentre chez lui afin de les aider. C’est le moins qu’il puisse faire.


Jase et Cyrus avaient été les mentors de Zandor. Lorsqu’il s’agissait de femmes, ils lui ont appris à éviter les attachements et à faire la différence entre la luxure et l’amour. Alors, lorsqu’au moins un de ses frères est sur le point de s’installer, Zandor espère pouvoir lui faire reprendre ses esprits avant qu’il soit trop tard.


Jusqu’à ce qu’il se heurte à une résistance.


Belle du sud, Bekah George pourrait bien être l’égale que Zandor cherchait dans la chambre à coucher. Elle n’est ni intimidée ni effrayée par ses préférences. Mais alors qu’il commence à baisser sa garde et qu’il envisage la possibilité qu’il y a plus dans la vie que le sexe époustouflant et sans engagement, Bekah révèle un aspect d’elle-même que Zandor ne veut pas voir.


Avait-il raison d’éviter les engagements, ou est-il déjà tombé trop fort pour la laisser partir ?

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 373
EAN13 9782376764380
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0041€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Publié par JUNO PUBLISHING 19 avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, 92100 Boulogne-Billancourt Tel : 01 39 60 70 94 Siret : 819 154 378 00015 Catégorie juridique 9220 Association déclarée http://juno-publishing.com/ Zandor Copyright de l’édition française © 2018 Juno Publishing Copyright de l’édition anglaise © 2014 MJ Fields Titre original : Zandor © 2014 MJ Fields Traduit de l’anglais par Rose Seget Relecture française par Jade Baiser, Raphaël Rivière Conception graphique : © K23 Designs
Tout droit réservé. Aucune partie de cet ebook ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing : http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-37676-438-0 Première édition française : janvier 2019 Première édition : janvier 2014 Édité en France métropolitaine
Table des matières Avertissements
Prologue
Tétons
Régime
Momma va me botter les fesses
Mon premier
Caresser dans le sens du poil
Pitbull
Une caresse pubienne
Brave
Le diable est apparu
Une traînée comme toi
J’ai l’impression que c’est la première fois
Baiseur câlin
Petites discussions
Salut mon vieux cœur
Laisse-la partir
Ce n’est pas une question d’argent
Boulet de démolition
Va te faire foutre
Talons aiguille
Royaux
Vivre un enfer
Quoi, quoi ?
La saison des pulls
Compter les étoiles
Délicieusement douloureux
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé
Avertissements
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les person nages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur , ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement ex istées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
Cet ebook contient des scènes sexuellement explicit es et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains l ecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de sto cker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
Zandor Une affaire de famille ~ Tome 3
MJ FieldS
Prologue
ZANDOR Passer une grande partie de l’année en Europe fut u ne expérience extraordinaire. J’avais beaucoup appris, ce qui nous aiderait consi dérablement pour notre entreprise familiale récemment créée ; j’avais également dével oppé mes réseaux dans ce milieu qui ne faisait pas de cadeau.
Mais mes frères me manquaient tout comme la vie au bord de l’océan.
J’avais passé pas mal de bon temps avec Xavier, dan s des clubs plutôt chauds, où Sabato Costa m’avait introduit. Sabato était unserial baiseur,mais différent de moi. Il draguait, invitait les filles à dîner et à boire , mais leur accordait à peine un 69. Nous étions allés déjeuner tous les deux, nous avions un peu trop bu et cela s’était terminé dans un club sexy.
Au départ, j’avais pris ce lieu pour un club classi eux de strip-tease, jusqu’à ce que je comprenne que les filles qui étaient attachées à des croix ou suspendues par des cordes, étaient là pour leur plaisir. Elles n’étaie nt pas payées, mais membres du club. La plupart n’avaient pas beaucoup de limites et éta ient plus expérimentées que moi dans le monde du BDSM. J’avais déjà croisé des femm es qui aimaient être battues, fouettées ou recevoir une fessée. Mais celles-ci vo ulaient qu’on leur fasse mal et qu’on laisse des traces de coups. Certaines souhaitaient même qu’on joue avec des couteaux. Le sang, ce n’était pas mon truc. J’avais testé pas mal de choses jusqu’à ce que je trouve ce qui me plaisait vraiment.
Ce que je préférais, c’était attacher une fille et lui dénier sa jouissance. J’adorais la confiance immédiate qu’accordaient les filles da ns les clubs, le fait qu’elles adorent que leur partenaire prenne son temps pour leur donn er du plaisir. Je n’étais pas du genre rapide. Cela ne me suffisait pas de prendre u n pied rapide avec une femme. J’aurais pu utiliser la masturbation pour ça. J’aim ais la séduction progressive. Donner et recevoir du plaisir. Pas simplement par des care sses, mais par les mots aussi. J’adorais voir l’excitation d’une femme monter jusq u’à ce qu’elle jouisse.
Mon frère avait connu une vie sentimentale difficil e et cela avait fait de moi l’amant que j’étais aujourd’hui. J’étais très précautionneu x dans le choix de mes partenaires sexuelles ; je recherchais surtout des femmes qui n ’étaient pas libres, plus matures qui ne voulaient que du plaisir. J’adorais leur permett re de redécouvrir leur sexualité. Je les aimais trop pour faire semblant de croire qu’il n’y en avait qu’une qui m’étais destinée.
J’essayais de comprendre ce qui avait pu conduire m es frères – car c’étaient eux qui m’avaient servi d’exemples – à complètement cra quer pour une fille. Tous les deux avaient souffert à cause d’une fille une première f ois, et ils avaient juré qu’on ne les y reprendrait plus. Jase était marié, bon sang, et si je ne rentrais pas très rapidement, je pensais que Cyrus le serait bientôt aussi.
J’étais un amant, pas un mari ni un copain. Je n’av ais jamais donné de faux-espoirs aux femmes et je n’avais jamais dû mentir p our baiser. Chacun d’entre nous avait son truc dans la vie, son hobby, ses obsessio ns, un dérivatif nécessaire quand on a besoin de décompresser. Le mien, c’était le sexe.
Lorsque j’étais revenu à la maison, il était trop t ard. Cyrus avait déjà craqué. Je m’étais retrouvé obligé d’acheter un club de strip-tease pour protéger la chérie de Cyrus et d’embaucher du personnel au salon de tatouages p our que Jase et lui aient plus de temps pour eux. J’aller y bosser moi-même, même si cela n’avait aucun rapport avec Steel Incorporatede la nouvelle.. Nous séparions soigneusement notre ancienne vie d Cela nous permettait de nous protéger des inévitabl es réactions potentiellement
négatives qu’un tel afflux de pouvoir et d’argent p ouvait provoquer. On gardait le salon pour ne pas perdre la tête. Nous avions décidé d’embaucher de nouveaux employés , parce que nous étions tous surmenés à ce stade. Je ne m’attendais pas et ne souhaitais surtout pas entendre cet accent du Sud à l’accueil. Je m’attendais encor e moins à voir toutes mes certitudes s’envoler et disparaître dans un grand coup de vent.
Tétons
ZANDOR
Je filai vers l’arrière-boutique du salon. C’était l’heure de la fermeture ou presque. La soirée avait été très chargée, nous avions tous plu sieurs clients en attente. Il s’agissait surtout de piercings de tétons. Aucune idée de la r aison d’un tel engouement, mais je n’allais pas me plaindre d’avoir à manipuler des se ins pendant trois heures. J’adorais ça !
Vous pouviez les appeler comme vous vouliez : des s eins, des roberts, des nénés, des lolos, des nibards, des pare-chocs, des doudounes, des loches. Pour moi, c’étaient des tétons.
Je les adorais. Tous. Refaits, lourds, en forme d’a ubergine, comme des œufs au plat, oscillant, petit, en gant de toilette, en poi re… Comme vous voulez. Il n’y en avait pas deux paires identiques, même quand la chirurgie était passée par là.
Et pas de tétons sans mamelons. Je les adorais auss i, bien sûr. Plats, gonflés, courts, longs. Peu importe. J’adorais les toucher, les sucer, les mordre et baiser une paire de seins. J’aimais beaucoup aussi leur mettre des pinces et les enlever surtout. S’ils étaient tout petits, vous pouviez les faire d urcir, les étirer et les rendre hyper sensibles. J’adorais faire couler de la cire chaude dessus et la retirer avec mes dents. J’aimais follement les caresser avec mon gland et j ouir dessus.
J’adorais. Les. Tétons ! — Qu’est-ce que tu fous ? demanda Cyrus en entrant dans la salle réservée au personnel. — Je nettoie la cafetière, répondis-je en sachant p arfaitement que cela m’avait pris plus longtemps que prévu, mais j’avais la tête ailleurs. Et je pensais à des tétons. — C’est vrai que tu en as vu beaucoup ce soir, rica na Cyrus. — Tu crois ? Putain…
Je m’interrompis lorsque Bekah entra dans la pièce.
— Pas la peine de t’arrêter pour moi. J’étais là au ssi, tu te souviens ? Elle m’adressa un sourire et se dirigea vers le pla card pour prendre sa veste. — Oui, Z, parlons de tétons, ricana à nouveau Cyrus . Quel est ton genre favori, frérot ?
Je lui jetai un coup d’œil avant de lever les yeux au ciel. — Les tiens, Cyrus. Quand me laisseras-tu le plaisir de les percer ? — Quand tu le feras toi-même, frérot.
Ben tiens, pourquoi pas ?
— Hé, Bekah !
J’adorais prononcer son prénom. — Oui ? Elle était en train d’enfiler son imperméable noir. Les imperméables noirs, c’était sexy. Cela arrivait juste au-dessus du genou. Ce serait génial si elle portait des talons-aiguilles rouges, des bas résille et…
— Zandor ? dit-elle, en me regardant bizarrement.
— Tu vas me percer un téton.
Elle s’apprêta à sortir de la pièce et hésita :
— Euh… Je ne crois pas…
— Je ne t’ai pas demandé ton avis. Allons-y. Je marchai jusqu’à mon box, retirai ma chemise et m ’allongeai sur la table. Elle me rejoignit rapidement, les yeux ronds comme des soucoupes en déglutissant péniblement.
— Tu crois que je suis assez expérimentée ?
Je levai les yeux vers Cyrus qui me regardait, un s ourire narquois aux lèvres. — Tu en as vu faire une dizaine ces dernières heure s. Dix personnes, vingt tétons. Tu vas y arriver. — Et si je… — Bekah, tu crois que tu peux arriver à suivre mes instructions ? Elle hocha la tête. Je ne doutais pas de ses capaci tés. Bekah pouvait obéir aux ordres. Je la formais depuis deux semaines.
— Va chercher le matériel, Bekah. De l’alcool, une serviette, une aiguille de quatorze, des gants. Je veux un anneau, pas une bar re. N’oublie pas les pinces et un pack de glace. Elle secoua nerveusement la tête alors qu’elle s’em parait d’un plateau qu’elle alla nettoyer. Elle commença à préparer tout ce dont ell e avait besoin. Ses mains tremblaient légèrement. — Ne t’inquiète pas, je suis certain que tu vas y a rriver, sinon je ne te le demanderais pas. Tu m’entends ? Elle hocha la tête et posa le plateau sur la petite table près de moi. — Très bien. Vas-y, désinfecte-moi.
Je me rallongeai et relevai la tête vers Cyrus qui faisait tout son possible pour se retenir de rire. Lorsque je lui fis un clin d’œil, il explosa littéralement.
Bekah sursauta et le plateau vola dans les airs ava nt de retomber par terre. — Oh mon Dieu, je suis désolée… Je ne voulais pas… — Arrête, respire un bon coup et recommence. Cyrus, tu peux y aller et les autres aussi. Nous fermerons lorsque nous aurons terminé. Elle jeta un coup d’œil vers la porte puis reporta son attention sur moi. — Peut-être qu’il devrait… — Arrête, respire un bon coup et recommence. Si je n’étais pas certain que tu es parfaitement capable de le faire, je ne te le deman derais pas. Elle avala péniblement sa salive puis s’exécuta com me une gentille petite fille obéissante. Elle prit son temps lorsqu’elle désinfecta la zone de mon téton. J’aimais beaucoup ça.
— Un seul ou les deux ?
— À ton avis ?
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