Les murmures d’une âme fertile

Mar Sow King Torodo

Description

Entre Oral et Scénique, le Slam, comme son nom l’indique, est unoutil de démocratisation et un art de la performance poétique.Dans ce recueil, l’auteur, à travers un songe intense et un profondsilence, peint certains de ses innombrables murmures que luiconfia son âme. Ce recueil montre les marques de l'amour qu’ilporte pour la littérature et à cet art du langage mélodique qu’est leslam.Je slame mon état d'âme,Je slame mes rires et larmes,Le slam est mon arme.Je slame avec charme;Je dénonce et je réclame,J'annonce et je proclame,Que le slam s'enflamme !

Sujets

• Littérature Sénégalaise
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• Sénégal
• Littérature africaine
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• Littérature Africaine
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Informations

• Publié par: Editions Artige
• Date de parution: 01 janvier 2023
• Nombre de lectures: 4
• EAN13: 9782490673780
• Langue: Français

Extrait

Les murmures d’uneâme fertile

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Tous droits réservés pour tous pays © CopyrightLes éditions Artige de Chidid Guédiawaye, Gadaye Cité Municipale Dakar Sénégal Conception:Alioune Badara Chidid Les murmures d’uneâme fertile…2022 Indicatif de l’éditeur:978-2-490673-08-7 Editeur:Les éditions Artige ISBN:978-2-490673-78-0 Tél:[phone] Boite Postale: GW 15000 E-mail:[e-mail]

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Mar SOW King Torodo

Les murmures d’uneâme fertile

Recueil de Poèmes

Les éditions Artige

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PREFACE

Une voix qui susurre, une main tremblante et sereine téléporte Mar à la mare de son âme. La plume errante tel un oiseau qui voltige cherchant un arbre où se poser. Dans le silence de l’ombre, le poète s’interroge. Son écritoire bégaie, il cherche à se fixer, ce qui l’amène à flâner, à toucher à tout : l’amour,la culture, la patrie… De ses premières productions, «Prémices», à son inspiration, «Muse » - les deux parties qui composent le recueil- l’ambition est grande, mais Mar est jeune et la jeunesse est ambitieuse. Les thèmes auxquels il touche interpellent son âge et son milieu. Comme tout jeune de son âge, l’aventure avec l’écriture commence par les sentiments. Timide, solitaire, la poésie lui permet de traduire l’ineffable. Le poète cherche refuge dans le firmament de son art. La forme, parfois il s’en libère. Poète, slameur, il flotte dans les vagues des mots entrainés par le rythme, les sonorités et l’harmonie. Mar idéalise l’amour. La femme panse et compense le vide du poète. Elle définit son existence. Puis l’amour devient électif, le poète entre dans le monde céleste : nuages, anges, cieux, « Amour » et valse avec le suprasensible. Il écoute le souffle divin. Le poète s’ouvre au vent de la «nuit». Il écoute les ondes qui jaillissent au cœur des ténèbres, tend l’oreille pour percer les mystères de la nuit. Illuminé, il communie avec l’âme deses aèdes, les mânes des ancêtres. 8