PLUME DU CID

Mahamat Nour Youssouf Bandaye

Description

Un amour entre un poète et la poésie commencé en secret et quifinit par se faire mots sur du papier, nous fait voir le sens desrelations familiales, l’amour qu’on a des êtres chers qui sontgravés dans nos mémoires pour l’éternité, les relationsinterhumaines teintées d’hypocrisie, d’incertitude et de franchise,la beauté de la nature dont aucun détail n’échappe au poète, lesplaies qui font souffrir son beau pays le Tchad ainsi que soncontinent, la richesse de Dieu pour sa race... Mais l’auteur ne selimite pas simplement à cela, car guidé par ses muses, il livre aussides secrets, des solutions vitales pour l’humain, pour son pays etpourquoi pas pour l’univers. Écrit dans un style dont le reflet setrouve dans presque tous les mouvements littéraires à savoir leromantisme, le réalisme, la négritude, c’est plus qu’un livre qu’onvoudrait éternel en feuilletant ses pages.

Sujets

• Littérature Tchadienne
• Tchad
• Littérature africaine
• Art poétique
• Littérature Africaine
• Littérature africaine

Informations

• Publié par: Toumai Editions
• Date de parution: 01 septembre 2020
• Nombre de lectures: 3
• EAN13: 9782376700937
• Langue: Français

Extrait

P LUME DU C ID

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M AHAMAT N OUR Y OUSSOUF B ANDAYE

P LUME DU C ID

(Poèmes)

Éditions Toumaï L’Éditeur de nouveaux talents

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Éditions Toumaï Avenue Taïwan B.P : 5451 N’Djaména-Tchad Tél : [phone] e-mail:[e-mail]

 ISBN :

Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Toumaï en septembre 2020

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Enfants du Tchad

C’est à votre demande que ce livre a été écrit.

À part le Saint Coran, tous les autres livres du monde ont la même manière de lecture.

« Il y a deux amours qui ne peuvent pas se cohabiter dans le même cœur: l’amour de la musique et l’amour de la lecture du Coran. Car l’un chassera l’autre», m’expliquait mon maître d’école coranique, Seïdna Adam.

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Dédicace

Aux poètes impeccables perdus dans la nuit des âges. Aux parfaits hommes des lettres et des adages. * À mon père Joseph B. Seïd, del’ouverture. À mon grand-père Léopold S. Senghor, de la culture. ** À mon formateur Victor-M. Hugo, de la structure. À mon ami Ahmadou K. Kourouma, del’écriture. *** À mon oncle Nimrod B. Djangrang, de la littérature. À mon intime Seydou K. Badian, de la lecture. ***** Avec les sentiments de ma plus profonde humilité. Je dédie ce livre à votre très grande charité.

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Remerciements

Comment pourrais-je dire merci à tout le monde quand il y a autant des gens à remercier ? Évidemment, par ce livre, je veux dire merci à mon Seigneur qui m’a crééet qui m’a donné l’opportunité d’écrire ce livre. Enfin, je n’oublierai pas également de dire merci à monpère et à ma mère qui représentèrent dans ma vie deux puissants modèles à imiter.

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Prologue

En présentant toutes mes salutations à ma chère mère et à mon père, je commencerai par illustrer l’importance de cet ouvrage. Car, chaque chose dans cette vie terrestre ason importance. Les premiers mots d’un livre sont très importants. Ils donnent l’impression d’un commencement. Ils sont aussi assez importants que les mots qui marquent la fin d’une histoire. Même si, après mûre réflexion, les premiers mots sont bien souvent oubliés, négligés ou effacés par le courant de cette histoire(qu’elle soit captivante ou pas). À cet effet, je décide de marquer mon histoire, en reflétant ma pensée concernant ce début oublié, négligé ou effacé. Je décide d’exprimer mon avis, ma réflexion concernant un sujet aussi banal que le commencement d’un poème.car au fond, les poèmes sont Banal, infinis, les miens ne sont semblablesqu’à desgrains de sable sur un fleuve. Monimagination n’est sans nul doute bien développée et l’idée dese réveiller à minuit me donne la totale liberté d’écrire, surtout ce que je

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