AU-DELÀ DES APPARENCES - L’obscurité de la lumière

Bineta Barry

Description

Dans un monde insensé, de cruauté, d’hypocrisie et de mensonge, ilva falloir nécessairement s’armer de la bravoure, de la confiance ensoi pour pourvoir s’en sortir. C’est d’ailleurs ce qu’a fait Bbarso,une brave jeune femme à qui la vie a joué un sale jeu, à un momentdonné de sa vie pour s’en sortir, dans cet ouvrage. Bbarso, conseillèreen développement personnel, est le personnage principal de ceroman « AU DELÀ DES APPARENCES ». Violée par un membrede sa propre famille puis mise hors de sa propre maison par sesparents, Bbarso a sombré, mais dans cette souffrance si immense,elle a eu le courage de se relever à tête haute, elle a su faire face àtoutes les épreuves de la vie et se faire un nom mais également ellea su aider toutes les personnes en situation pareille quand elle s’enest sortie. « AU DELÀ DES APPARENCES » est un roman où l‘auteureraconte donc des histoires en nous trasportant vers un mondeféerique et parfois même lugubre. Des thèmes très actuels et trèsimportants y sont aussi abordés comme la trahison, l’amour, lamort, la souffrance, l’entreprenariat, le développement personnel, lafamille, l’indépendance de la justice, l’Etat de droit, les données àcaractère personnel, la parité…

Sujets

• Littérature Sénégalaise
• Littérature sénégalaise
• Roman
• Amour
• Mort
• Développement personnel
• Souffrance
• Entrepreneuriat
• Trahison
• Histoires
• développement personnel
• Développement personnel

Informations

• Publié par: Editions Artige
• Date de parution: 01 janvier 2022
• Nombre de lectures: 527
• EAN13: 9782490673520
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

AU-DELÀ DES APPARENCES L’oďsĐuritĠ de la lumiğre

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Tous droits réservés pour tous pays © CopyrightLes éditions Artige de Chidid Guédiawaye, Gadaye Cité Municipale Dakar Sénégal Conception:Alioune BadaraChidid Au-delà des apparences… 2021 Indicatif de l’éditeur:978-2-490673-08-7 Editeur:Alioune Badara Chidid ISBN:978-2-490673-52-0 Tél:[phone] Boite Postale: GW 15000 E-mail:[e-mail]

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Bineta BARRY

AU-DELÀ DES APPARENCES

Roman

Les éditions Artige

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DEDICACES Je dédie cet ouvrage à mes MAMANS A cette personne sage qui m’a donné la vie, A ma maman Marème Sow, Je n’ai jamais pu parler d’elle et je n’arrive pas jusqu’à présent à parler d’elle sanspour autant pleurer, C’est une personne avec une sagesse incomparable, une vraie walkyrie, une Warrior, Une personne douce et tendre mais très forte qui peut tout supporter, Une personne digne, pieuse, ouverte, gentille qui s’est toujours battue pour nous mettre sur le droit chemin et dans de bonnes conditions nous ses enfants, pour que nous ne souffrons pas, Une personne avec toutes les valeurs du monde DIOME, FOULLA,FAYDA, NGOR, KERSA j’en passe, J’ai perdu mon père il y’a très longtemps, quand j’étais encore une toute petite fille, je ne savais même pas c’était quoi la mort, je ne savais pas, je ne comprenais rien du tout de la mort, Mais Je n’en avais pas souffert parce que j’ai une maman qui a su être une maman et un papa, Ça ne m’a jamais manqué d’avoir un père parce que j’ai ma maman, la personne donttout le monde rêverait d’avoir, Ça n’a pas été facile, ça a été très dur, mais grâce à elle, grâce à sa bravoure,on s’en sort toujours difficileque peut être la situation, Elle a su jouer le rôle à la fois du papa et de la maman, La vie était difficile mais elle s’est toujours sacrifiée pour nous, Elle m’a appris à toujours voir le bon côté des choses, à garder le sourire dans mes pires moments, de ne jamais me

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plaindre, jamais de la vie, de me suffire de ce que j’ai et d’en être fière, de ne jamais tendre la main, Elle m’a appris à être une bonne personne, C’est grâce à elle si j’en suis aujourd’hui ici, Elle c’est ma maman MAREME SOW, Merci beaucoup maman, merci d’être qui tu es, On t’aime tout simplement, je t’aime tout simplement. Par ailleurs, je ne pourrai jamais parler d’elle sans pour autant parler de sa sœur, ma maman RAMATA SOW, parce qu’en fait elles ne constituent qu’une seule personne, Une maman aussi douce, tendre, pieuse, généreuse, une vraie walkyrie également, Elles sont deux lumières issues d’une même et unique torche, L’une est l’autre et l’autre est l’une, Elle n’a pas été seule pour éduquer ses enfants, pour affronter les aléas de la vie, elle a toujours eu une personne qui est à ses côtés, une sœur plus que parfaite et viceversa. Elles se sont accompagnées, elles s’accompagnent, et s’accompagneront toujours sans l’ombre d’un doute dans toutes les circonstances. Elles sont un miroir, mon miroir, Elles sont des références, mes références. Quand je parle de vous, je parle aussi demes frères et sœurs, qui ne sont que les chers reflets de ces deux précieuses lumières issues de la même torche, je suis aussi fière de vous, fière de vous avoir dans ma vie, Je ne pourrai pas les remercier assez, mais quand même je peux prier chaque jour Dieu pour qu’il leur accorde une très, très longue vie et santé. Je suis très heureuse et fière d’avoir de tels parents. A ma défunte maman SALAMATA FALL, leur petite sœur, Une femme dont les qualités me dépassent mais grave, qui s’est aussi toujours battue pour ses enfants,

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Une femme dont la seule minute que tu passes avec elle te marque toute ta vie, Une femme intéressante que j’aimais particulièrement écouter, passer du temps avec, une femme que j’aimais tout simplement de tout mon cœur, J’avais l’impression de l’avoir connue depuis ma naissance tellement qu’elle était généreuse, qu’elle était pétillante, remarquable, mais je viens tout juste de me rendre compte que je n’ai eu la chance de la côtoyer qu’en espace de trois petites années. Elle a été juste incroyable avec tout le monde, Elle a juste été magnifique et courageuse, Merci beaucoup à toi ma maman SALAMATA FALL, Que la terre te soit légère et que Dieut’accueille dans son paradis maman.

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REMERCIEMENTS A mes professeurs de la faculté des sciences juridiques et politiques : professeur BACHIR NIANG, professeur MAMADOU DIANGAR, professeur NGOUDA MBOUP et professeur ABDOU AZIZ KEBE Je me rappelle quand j’ai su qu’onm’avait orientée à la faculté de droit, la faculté des sciences juridiques et politiques, je me disais quenon ce n’était pas possible, il devait y avoir une erreur. Ondevait m’orienter normalement à la faculté des lettres soit au département des lettres modernes parce je ne vivais que de la littérature, soit au département espagnol parce que j’aimais cette matièremais aussi j’avais fait de cette matière ma première langue au BAC. J’étais perdue parce que je ne savais pas c’était quoi le droit. Qu’est-ce que je pouvais bien apprendre dans cette faculté ? Je ne comprenais rien du droit et à quoi sert-il, en plus certaines personnes me disaient que quasiment tous les étudiants orientés dans cette faculté cartouchaient. Je me rappelle de mon premier cours dans cette faculté, je m’étais levée à 5h du matin pourtant je n’habitais pas aussi loin, j’étais arrivée à 6h 45 minutes, j’ai trouvé l’amphi B très noire de monde, je n’avais pas de place, j’étais assise àterre même le professeur,je n’arrivais pas à le voir, je ne faisais qu’entendre sa voix et là j’étais de suite choquée, désorientée. Ah non, je me disais que je ne vais jamais réussir ici, quec’était impossible. Les jours passèrent et je n’ai jamais eu de place où m’asseoir, les professeurs,ils dictaient trop vite les leçons et ça m’a encore plus secouée, mais persévérante que je suis, je ne m’absentais jamais, certes je doutais complétement de moi, mais je n’avais pas du tout le courage d’abandonner aussi rapidement. Un jour un professeur, le professeur BACHIR NIANG qui fait partie des professeurs qui dictent trop mais trop rapide en

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