Cal a perdu sa jeune femme Irène. Il est anéanti. Une femme qu'il aimait tant. <> C'est pourcela que de temps en temps Irène revient parler à Cal et veiller sur lui. Une nuitpluvieuse il est conduit par Irène à secourir une femme victime d'un accident.Cette femme, c'est Mia. Enceinte et abandonnée à elle-même, Cal lui viendra enaide, payera ses frais médicaux et ira même jusqu'à l'héberger chez lui.Cependant Félix l'ancien compagnon de Mia cherchera à la récupérer et sonenfant avec. Mais Mia ne veut plus retourner avec lui-même s'il prétend encorel'aimer. << L'amour n'est pas une prison. Il est la plus belle forme de liberté quiexiste.>> Liberté qu'elle n'a pas avec Félix car elle est méprisée et exploitée.Si on parle d'amour fou, on parle aussi de pleurs à certains moments dansl'histoire. La vie de Mia n'a pas été un long fleuve tranquille. Face à l'amour deCal et aux harcèlements sans fin de Félix, Mia ne peut que pleurer tantôt detriste, tantôt de bonheur. << Il y a un temps où les larmes deviennent inutiles. Ence moment-là, il faut agir au lieu de subir.>>Une histoire captivante, pleine de rebondissements avec des personnages decaractère et très attachants. Je vous laisse lire pour découvrir cela de vous-mêmeet découvrir la fin.
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Extrait
Couverture à Venir
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Ernestine MBAKOU CET AMOUR FOU
Roman
MEN EDITION
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Du MEME AUTEUR : J’ai vendu mon âme au diabletome 1, MEN Edi-tion, Cameroun, 2019. Roman de : 151 pages Langue : Français ASIN : B07SHSZJ2V Vendu à plus de 1 000 exemplaires physiques et numériques à travers le monde. Obsession, Proximité, Cameroun, 2018. Roman de : 190 pages Langue : Français ASIN : B07BJMT4YK L’amour ne traverse pas l’océan, Shanaprod, Ca-nada, 2020 Roman de : 262 pages Langue : Français ISBN-10 : 2925010008 ISBN-13 : 978-2925010005 L'auteur publie constamment des Ebooks sur son site internet :www.ernestinembakou.cm
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CHAPITRE 01
"... Rien ne me fera renoncer à toi. Je te rechercherai dans chaque bruissement de tissus, dans chaque effleurement de l'air, dans chaque murmure du vent. Je te trouverai là où tu seras pour te prendre dans mes bras et ne jamais t'oublier... Cal poussa un lourd soupir et s'éloigna de la fenêtre. Ces mots, il venait de les murmurer à lui-même. Déjà deux ans !
Il ne savait qu'il allait survivre au temps... Il croyait que les
choses iraient mieux un jour.
Non, ça n'allait pas mieux. Il avait mal. Il ne pouvait pas
décrire sa douleur. Il ne savait pas quand elle allait s'estomper.
Rien, ni personne ne parvenait à lui faire oublier.
L'absence d'Irène était comme une plaie béante qu'il devait
porter en permanence.
Survit-on à la mort de nos bien-aimés ? Quelqu'un avait dit un jour que le temps venait à bout de tout, c'était faux. Le temps ne pouvait pas le guérir. Il ne pouvait pas soigner sa plaie, sa blessure, sa peine. Sa moitié était partie.
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Il n'était plus qu'une épave.
Il se leva et poussa un autre soupir.
Il pleuvait des cordes.
Il regarda la fenêtre vitrée, les gouttes de pluie y ruisselaient
et donnaient envie d'y passer les doigts.
Il crut l'avoir vue.
Il s'approcha de la baie y posa la main. Il ferma les yeux Irène adorait la pluie. Elle était si contente lorsqu'il pleu-vait... Il ne comprenait pas pourquoi. Elle riait en lui disant
"Allez, viens avec moi sous la pluie"
Lorsqu'il esquissait le geste de se mettre à l'abri.
Elle lui disait en riant
"Peureux !"
Il l'avouait sans honte. Il n'aimait pas la pluie.
Le bruit de son téléphone qui sonnait le fit sursauter.
Il ouvrit les yeux et quitta la fenêtre. Il avait eu l'impression que quelqu'un voulait lui parler. C'était sûrement le fruit de son imagination. Il quitta la fenêtre et chercha son téléphone des yeux.